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ACTUALITES du VENDREDI 03 FEVRIER 2012

 

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Une tempête de neige provoque la paralysie quasi totale du réseau routier à Médéa

le 03.02.12 | 12h11

| © D.R
 

Le trafic routier est "quasiment paralysé", vendredi  matin, dans la wilaya de Médéa ou la majorité des axes routiers sont fermés,  en raison de la tempête de neige qui frappe la région, depuis l'aube, a indiqué  le directeur des travaux publics, Noureddine Boubaa.

La tempête de neige qui sévit dans la région, depuis les premières heures  de la matinée de vendredi, a rendu "très difficile" le travail des équipements de déneigement, pourtant déployés en grand nombre sur le terrain, dès le début  de la tempête, a affirmé ce responsable, précisant que l'intervention des chasses  neige "a eu peu d'effet" sur le terrain.

Toutes les tentatives entreprises, jusqu'à présent pour dégager les principaux axes routiers de la wilaya, sont "restées vaines", vu les quantités ininterrompues de poudreuses qui ne cessent de tomber, depuis plusieurs heures,  sur l'ensemble de la région. 

Selon M. Boubaa, les équipes de déneigement travail d'arrache pied pour essayer de maintenir ouverte à la circulation la route nationale N° 01, reliant les régions du nord du pays au sud, mais les chutes abondantes de neige ont  rendues la tache très difficile, malgré les nombreuses rotations effectuées  par les chasses neige sur cet axe névralgique.  

Le cumul de neige a provoqué la fermeture totale de l'axe El-Hamdania-Berrouaghia,  sur la RN01, mais également des tronçons des routes nationales N° 18, 62, 64  et 64A, desservant plusieurs localités de la wilaya.  

Ces perturbations climatiques ont provoqué aussi l'isolement de nombreuses  localités, le cas notamment de Tizi-Mahdi, Benchica, Robia, Ouled Deid, Si-Mahdjoub, Ouled Brahi, Baata, Ouamri, d'après les services de la gendarmerie qui font  état de la fermeture de la totalité des axes routiers mènent à ces localités, notamment les CW38, 238, 08 et 88.   

Une situation "chaotique" prévaut au chef lieu de wilaya ou tous les accès à la ville sont fermés en raison du cumul de neige. Des branches d'arbres, qui ont cédées sur le poids de la neige, jonchent le sol, a-t-on constaté.

Par ailleurs, un début de tension sur certains produits, comme le pain  et les fruits et légumes, est observé, ce matin, au niveau des principales agglomérations urbaines, provoquant une "ruée" sur les rares boulangers et commerces qui ont  bravé le froid et la neige.

APS
 
 

Rébellion Touareg : Retour à la case Alger

le 03.02.12 | 01h00

 
 

Alger, garant des derniers accords de paix de 2006, a repris hier sa médiation entre les rebelles touareg et le gouvernement malien. Bamako joue l’apaisement, mais la situation reste tendue sur le terrain.

Une délégation conduite par le ministre malien des Affaires étrangères, Soumeylou Boubeye Maïga, était hier à Alger pour y rencontrer des rebelles touareg qui ont repris les hostilités dans le nord du Mali, selon une source proche du gouvernement malien citée par l’AFP. «Le ministre des Affaires étrangères, Soumeylou Boubeye Maïga, conduit à Alger une délégation malienne pour rencontre une délégation de l’Alliance du 23 mai», dont des éléments combattent aux côtés du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) contre l’armée malienne dans le nord du Mali, a-t-on indiqué. L’Alliance du 23 mai est une organisation d’ex-rebelles touareg qui avait repris les armes en mai 2006, avant de signer des accords de paix en juillet de la même année avec le gouvernement malien, grâce à une médiation algérienne, connus sous le nom des «Accords d’Alger».

Hamada Ag Bibi, porte-parole de l’Alliance du 23 mai, conduit la délégation qui doit rencontrer M. Maïga à Alger. «Si sur le terrain, la défense du territoire national reste pour nous une priorité, il ne faut jamais refuser de donner une chance à la paix», a indiqué un haut responsable malien sous le couvert de l’anonymat. Le MNLA et d’autres rebelles touareg ont lancé, depuis le 17 janvier, une offensive dans le nord-est et le nord-ouest du Mali en attaquant plusieurs villes : Ménaka, près de la frontière nigérienne, Aguelhoc et Tessalit, près de la frontière algérienne, puis Léré et Niafounké, près de la frontière mauritanienne. Ces attaques ont provoqué d’importants exodes de population ayant trouvé refuge dans des campements au Mali, mais aussi au Niger et en Mauritanie.


«Pas d’amalgame»


Quelque 4500 réfugiés y ont été recensés hier avec l’aide du Haut-Commissariat aux réfugiés de l’ONU dans la région frontalière de Vassala. Selon certaines sources, le flux des populations continue tous les jours et la situation des réfugiés est très difficile, mais l’armée et les services de santé mauritaniens sont à pied d’œuvre pour leur venir en aide. La veille, le bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU avait annoncé, à Niamey, qu’un millier de personnes, dont une trentaine de militaires et un sous-préfet, avaient gagné le Niger ces derniers jours. Souvent critiquées à cause de leur manque de communication au sujet de la rébellion touareg, les autorités maliennes n’ont pas perdu de temps cette fois-ci.

Face à cette situation critique provoquée par les premières attaques depuis l’accord en 2009 ayant mis fin à la rébellion touareg et qui auraient été favorisées par le retour de Libye de centaines d’hommes lourdement armés et très entraînés, qui faisaient partie des troupes militaires d’El Gueddafi, après la chute, puis l’assassinat de ce dernier, le président malien Amadou Toumani Touré a appelé ses compatriotes à ne pas s’en prendre aux civils touareg après des actions de représailles menées mercredi près de Bamako dans un discours radiotélévisé prononcé mercredi soir et entièrement consacré à la situation dans le nord du Mali. Le président malien a ainsi appelé ses concitoyens «à éviter le piège de la confusion et de l’amalgame pour ne pas faire le jeu de ceux qui ont choisi de troubler la quiétude» du Mali. Mercredi à Kati, où les épouses et les enfants des militaires maliens qui combattent dans le nord manifestent depuis 48 heures leur colère, deux maisons et une clinique appartenant à des Touareg ont été saccagées.


Risque de représailles


«Je voudrais convier toutes les Maliennes et tous les Maliens à savoir faire la part des choses. Ceux qui ont attaqué certaines casernes militaires et localités au Nord ne doivent pas être confondus avec nos autres compatriotes touareg, arabes, songhoïs, peuls qui vivent avec nous», a dit le président Touré, ajoutant qu’au Mali, «on n’a plus besoin de prendre des armes pour se faire entendre», la démocratie offrant «toutes les voies d’expression à tout citoyen». Malgré la promesse du Président que «l’Etat mobilisera tous les moyens aux plans de l’équipement, de la logistique et de l’entretien» pour permettre à l’armée «d’accomplir efficacement» sa «mission de préservation de l’intégrité territoriale et de protection des personnes et de leurs biens», les familles des militaires engagés dans le Nord étaient encore dans les rues pour le troisième jour consécutif, afin de dénoncer le silence sur la situation de leurs proches et la «mollesse du pouvoir» face aux rebelles touareg. Elles étaient nombreuses hier à Bamako, et surtout à Kati, ville de garnison où des propriétés de Touareg ont été saccagés ces derniers jours et où épouses et enfants de militaires ont scandé des slogans hostiles au président ATT. «Au lieu de faire des discours, le président ATT doit maintenant passer aux actes», a déclaré l’épouse d’un sergent.
 

Accords d’Alger de juillet 2006 :

 

Les Accords d’Alger «pour la restauration de la paix, de la sécurité et du développement dans la région de Kidal» sont des accords fixant les modalités du développement du Nord-Mali. Ils ont pour but une normalisation des rapports entre la zone de Ménaka dans le Nord du Mali et l’Etat malien et font suite au soulèvement touareg du 23 mai 2006 à Kidal et à Ménaka.

Sous une médiation algérienne, les Accords ont été signés le 4 juillet 2006 entre les représentants de l’Etat malien présents à Alger, avec pour chef de délégation le ministre de l’Administration territoriale et des Collectivités locales, Kafougouna Koné, et les représentants de l’Alliance démocratique du 23 mai pour le changement.

Ces accords reconnaissent, entre autres, l’intégrité du territoire malien par crainte de l’apparition d’une forme de séparatisme, et promettent des avancées pour le développement de la région. Ils sont, cependant, dénoncés par certains, notamment par le Rassemblement pour le Mali d’Ibrahim Boubacar Keïta, car «portant atteinte à l’intégrité territoriale».

Aussi, des organisations non gouvernementales maliennes, regroupées au sein du Conseil de concertation et d’appui aux ONG du Mali, avaient émis des critiques sur cet accord, car il comporterait un risque d’effritement de l’autorité de l’Etat et ne serait qu’un moyen de gagner du temps et non une solution durable au problème. Elles leur reprochaient également de faire fi du pacte national de 1992 entre le gouvernement de la République du Mali et les Mouvements et fronts unifiés de l’Azawad.

 

Mehdia Belkadi avec agences
 

Raffarin : vers un partenariat avec l’Algérie basé sur le respect de sa souveraineté

le 03.02.12 | 01h00

L’envoyé spécial du président français et ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, a affirmé hier à Alger que la France tient à développer un partenariat économique avec l’Algérie basé sur «le respect de sa souveraineté et de ses règles».

«Les relations de partenariat (entre entreprises algériennes et françaises) visent à créer une dynamique entre les acteurs des deux pays, tout en respectant la souveraineté de l’Algérie et de ses règles», a déclaré M. Raffarin lors d’une séance de travail avec Mohamed Benmeradi, ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement. La déclaration de M. Raffarin confirme que les règles décidées par l’Algérie en 2009 pour encadrer les investissements étrangers relève de sa souveraineté économique et ne constituent plus, pour les entreprises françaises, un obstacle à l’investissement dans le pays.

En 2009, le gouvernement avait institué, à travers la loi de finances complémentaire, la règle dite des «51-49%» pour encadrer les investissements étrangers en Algérie. Une vingtaine d’accords, conclus entre des entreprises algériennes et françaises à l’occasion du Forum de partenariat économique Algérie-France, tenu en mai dernier à Alger, «sont à un stade très avancé», a rappelé hier Mohamed Benmeradi. Parmi ces futurs partenariats figure, ajoute le ministre de l’Industrie, la signature d’un accord entre le groupe agroalimentaire algérien (SIM) et un groupe français pour fabriquer, à compter de 2013, en Algérie des aliments de bétail. Un autre accord a été signé grâce au forum entre l’Institut national de l’élevage et son homologue français pour développer la filière lait en Algérie, a-t-il ajouté. Une forte participation avait marqué les travaux de ce premier forum de partenariat économique Algérie-France. Près de 700 opérateurs algériens et français étaient présents lors de l’ouverture des travaux de cette rencontre présidée par MM. Benmeradi et Raffarin.

M. Benmeradi a déclaré, mercredi à l’APS, que plusieurs grands projets de partenariat ont été concrétisés dans le cadre du mécanisme algéro-français de coopération, alors que d’autres sont à un stade avancé de négociation. Parmi les projets qui sont à un stade avancé, le ministre a cité l’usine de vapocraquage d’éthane à Arzew (Oran), en partenariat entre Sonatrach et le groupe français Total, le projet de fabrication de voitures de Renault, dont le protocole d’accord est sur le point d’être signé, et enfin celui du groupe Lafarge pour une usine de ciment. Pour les projets de partenariat concrétisés dans le cadre de ce mécanisme, le ministre a cité celui de Sanofi Aventis (pharmaceutique), de Saint-Gobain (fabrication de verre) et d’Axa (assurances).       

APS
 

Béjaïa : Une bijouterie attaquée à Akbou

le 03.02.12 | 14h53

La wilaya de Béjaïa n’a apparemment pas fini avec le braquage de bijouteries malgré l’arrestation toute récente d’un gang spécialisé dans ce genre de casse à Ouzellaguen.

Dans la matinée de jeudi 2 février, une bijouterie a été attaquée, à mains armées, par quatre individus encagoulés au cœur, cette fois-ci, de la ville voisine d’Akbou.

Ils ont fait sauter en éclats la vitrine de la bijouterie et se sont aussitôt enfuis avec un lot de bijoux d’une valeur de quelque 800 000 dinars. Aucune victime n’a été déplorée.

 

K. M.
 




03/02/2012
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