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Actualités du SAMEDI 24 mars 2012

 

 

 

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Poursuit du mouvement de protestastion

Les médecins spécialistes en grève illimitée à partir du 1er avril

le 24.03.12 | 10h00

| © Lyès. H.
 

Le bras de fer opposant le ministre de la Santé au Syndicat national des praticiens spécialistes de  santé publique (SNPSSP) se durcit.

N’ayant enregistré aucune réponse favorable de la tutelle à ses revendications, le SNPSSP décide de maintenir son appel à une grève illimitée, dont la date est fixée pour le 1er avril prochain. C’est ce qu’a annoncé le président du syndicat, docteur Mohamed Yousfi, lors d’une conférence de presse animée, hier à Alger. Cette décision, explique-t-il, intervient comme réponse au silence du ministère de la Santé, qui n’a donné aucune suite aux revendications des médecins spécialistes. Revenant sur l’évaluation de la grève de trois jours, qui s’est terminée jeudi dernier, le docteur Yousfi affirme que le taux de suivi enregistré dans certaines wilayas est de 10%, mais dans la majorité du territoire national, celui-ci se situe autour des 70 à 85%.

Tout en rendant publics les taux de suivi de ce mouvement de protestation au niveau local, le président du SNPSSP regrette les méthodes de répression de cette grève auxquelles a eu recours le ministère de la Santé qui a usé et abusé de la désinformation pour tenter de fragiliser les médecins grévistes. Selon lui, le ministère de la Santé continue d’ignorer les revendications des spécialistes et leur mouvement de grève, ce qui plonge chaque jour, un peu plus, le secteur dans le «pourrissement».

Les revendications des spécialistes concernent l’amendement du statut particulier des médecins spécialistes, la levée des mesures discriminatoires d’imposition (IRG) des primes et indemnités versées par le secteur de la santé aux praticiens spécialistes hospitalo-universitaires (10%) et aux praticiens spécialistes de santé publique (35%) et la révision du régime indemnitaire.
Les spécialistes revendiquent l’application des mesures incitatives concernant le service civil, le respect de la réglementation en matière de carte sanitaire pour les services de santé publique et en matière de présence des praticiens spécialistes de santé publique dans les comités médicaux déjà existants ou nouvellement créés.

Fatima Arab
 

Stigmatisé par Jean-Pierre Elkabbach : motion de soutien pour Mohamed Harbi

le 24.03.12 | 10h00

Mohamed Harbi
| © Salim. M.

Les historiens et universitaires ont apporté leur soutien à l’historien algérien et ont dénoncé les propos déplacés de l’animateur français.

Une douzaine d’historiens et universitaires algériens et français se disent «consternés» par les propos malveillants du journaliste et présentateur télé français (natif d’Oran), Jean-Pierre Elkabbach. Dans une interview au journal online Tout sur l’Algérie – publiée le jeudi 23 février, accordée à l’issue de sa visite en Algérie pour l’enregistrement de deux numéros de son émission littéraire Bibliothèque Médicis, consacrés au cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie – J.-P. Elkabbach a stigmatisé l’historien algérien Mohamed Harbi.

Dans l’entretien, le journaliste fait état de sa rencontre (pour les besoins du tournage d’une de ses émissions) avec l’historien algérien Mohamed Harbi et ancien responsable de la Fédération FLN en France. «Je lui ai posé la question «qui a décidé la lutte armée et du terrorisme à Paris ?» Il a mis un temps pour répondre et a dit que c’était lui», a-t-il raconté.
Et d’ajouter ce commentaire fielleux : «Maintenant, il (Harbi, ndlr) vit en France ; il y a du charme aussi dans l’air de liberté de la France !»

Dans une lettre adressée le 15 mars dernier à Jean-Pierre Elkabbach, les historiens et universitaires ont apporté leur soutien à l’historien algérien et ont dénoncé les propos déplacés de l’animateur français, connu et reconnu pour être un bouffon et un affidé des tenants du pouvoir politique français. Les consternés dénoncent une «libelle marquée par l’irresponsabilité». «Nous connaissons tous bien Mohamed Harbi tant comme militant que comme historien de renom, notent les signataires de la lettre, et nous pouvons affirmer que ce qui est rapporté dans ce texte est faux. De surcroît Mohamed Harbi nous a assurés ne pas s’être entretenu avec vous après l’émission Bibliothèque Médicis du 19 novembre 2011 et nous avons de bonnes raisons de lui faire confiance.»

D’après eux, Mohamed Harbi, «qui a déjà été agressé entre autres par des proches du Front national et qui a subi aussi des avanies en Algérie, n’a été en rien un partisan de la violence dirigée contre des civils pendant la Guerre de Libération algérienne de 1954-1962, tout au contraire : ses positions, tout au long de son itinéraire politique, furent marquées par une priorité accordée au politique et par une hostilité constante à la violence. De plus, Mohamed Harbi n’a pas été «responsable» au sens de «dirigeant» mais un animateur de la commission presse et information de la Fédération de France du FLN».

Parmi les signataires figurent le juriste, ancien doyen de la faculté de droit de l’université d’Alger, professeur émérite de l’université de Cergy-Pontoise, Madjid Benchikh ; Raphaëlle Branche (historienne, maître de conférences HDR à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne - Centre d’Histoire sociale du XXe siècle) ; Smaïl Goumeziane (économiste, spécialiste en économie du développement et historien, professeur à l’université de Paris IX-Dauphine) ; Ahmed Henni (économiste, ex-doyen et professeur d’économie à l’université d’Artois) ; Tahar Khalfoune (juriste, conseiller juridique à l’association Forum Réfugiés, chargé de cours à l’université Lyon III-Jean Moulin) ; Lemnouer Merouche (historien, professeur émérite de l’université d’Alger) ; Abdelmadjid Merdaci (sociologue et historien, professeur à l’université Mentouri de Constantine, ex-enseignant invité à l’Inalco) ; Gilbert Meynier (ex-enseignant à l’université de Constantine, professeur émérite de l’université de Nancy II) ; André Nouschi (historien, ex-enseignant à l’université de Tunis, professeur honoraire de l’université de Nice) ; Tramor Quemeneur (historien, docteur en histoire,  enseignant en BTS et chargé de cours à l’université de Paris VIII Saint-Denis) ; Benjamin Stora (historien, professeur à l’université Paris XIII-Villetaneuse, ex-professeur à l’Inalco) ; Sylvie Thénault (historienne, chargée de recherches au CNRS, Centre d’histoire sociale du XXe siècle).

La lettre envoyé à ElKabbach le 15 mars dernier

 

                                      Monsieur Jean-Pierre ELKABBACH

                                      Émission Bibliothèque Médicis

                                      La Chaîne Parlementaire et Politique Public Sénat

                                      92 boulevard Raspail  7 5 0 0 6      P A R IS

                                                        

                        Monsieur,

           

      Spécialistes à titres divers de l’Algérie, nous avons lu avec consternation et effarement une interview que vous avez accordée  au site tsa-algerie.com et dont nous extrayons cette citation :

« L'animateur et journaliste cite également sa rencontre, à l’occasion de l’une de ses émissions, avec l'historien algérien Mohamed Harbi qui était, par le passé, responsable de la fédération du FLN en France. « Je lui ai posé une question : "qui a décidé la lutte armée et le terrorisme à Paris ?" Il a mis un temps pour répondre et a dit que c'était lui », a-t-il raconté avant de souligner que maintenant, « il vit en France, il y a du charme aussi dans l'air de liberté de la France ».

            Nous connaissons tous bien Mohammed Harbi, tant comme militant que comme historien de renom, et nous pouvons affirmer que ce qui est rapporté dans ce texte est faux – au surplus Mohammed Harbi nous a assurés ne pas s’être entretenu avec vous après l’émission Bibliothèque Médicis du 19 novembre 2011 ; et nous avons de bonnes raisons de lui faire confiance.

            Mohammed Harbi, qui a déjà été agressé entre autres par des proches du Front national et qui a subi aussi des avanies en Algérie, n’a été en rien un partisan de la violence dirigée contre des civils pendant la guerre de libération algérienne de 1954-1962, tout au contraire : ses positions, tout au long de son itinéraire politique, furent marquées par une priorité accordée au politique et par une hostilité constante à la violence. Au surplus, Mohammed Harbi n’a pas été « responsable », au sens de « dirigeant », mais un animateur de la commission presse et information de la Fédération de France du FLN.

            Le texte cité ci-dessus, qu’il soit bien de vous ou qu’il vous ait été attribué  – mais, à notre connaissance, jusqu’alors sans démenti de votre part  – est donc à ranger dans la catégorie des libelles marqués par l’irresponsabilité.

 

Signataires :

 

Madjid Benchikh, juriste,  ancien doyen de la faculté de droit de l’université d’Alger, professeur émérite de l’université de Cergy-Pontoise;Raphaëlle Branche, historienne, maîtresse de conférences HDR à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne (Centre d’Histoire sociale du XXe siècle) ;Smaïl Goumeziane, économiste -spécialiste en économie du développement- et historien,  professeur à l’université de Paris IX-Dauphine ;Ahmed Henni, économiste, ex-doyen et professeur d’économie à l’université d’Artois ;Tahar Khalfoune, juriste, conseiller juridique à l’association Forum Réfugiés,  chargé de cours à l’université Lyon III-Jean Moulin ; Lemnouer Merouche, historien, professeur émérite de l’université d’Alger ; Abdelmadjid Merdaci, sociologue et historien, professeur à l’université Mentouri de Constantine, ex-enseignant invité à l’INALCO ; Gilbert Meynier, ex enseignant  à l’université de  Constantine, professeur émérite de l’université de Nancy II ; André Nouschi, historien, ex-enseignant à l’université de Tunis, professeur honoraire de l’université de Nice ; Tramor Quemeneur, historien, docteur en histoire,  enseignant en BTS et chargé de cours à l'université de Paris VIII Saint Denis; Benjamin Stora, historien, professeur à l’université Paris XIII-Villetaneuse, ex-professeur à l’INALCO ; Sylvie Thénault, historienne, chargée de recherches au CNRS, Centre d'Histoire sociale du XXe  siècle.

 

Mohand Aziri
 
 

Bachir Ridouh sera enterré à el Kettar après la prière d'El Asr (16h)

le 24.03.12 | 13h57

Le professeur en psychiatrie Bachir Ridouh, mort vendredi après midi à Blida à l’âge de 70 ans, sera enterré samedi après la prière d’El Asr au cimetière d’El Kettar et non à Beni Messous comme cela a été annoncé.

Son enterrement qui était aussi programmé après la prière du Dohr a été donc décalé car sa famille, vivant en France, n’a pas pu arriver à temps.

D’ailleurs, son épouse n’est arrivée en Algérie qu’à la mi journée de ce samedi, selon une déclaration faite à El Watan par le directeur de l’hôpital psychiatrique Frantz Fanon de Blida.

Une foule nombreuse est attendue aux obsèques de cet éminent psychiatre dont la renommée avait largement dépassé les frontières du pays.

Des moyens de transport sont mobilisés spécialement par l’hôpital psychiatrique de Blida pour transporter les nombreux travailleurs de cet établissement voulant dire un ultime adieu à leur « maître ».

Mohamed Benzerga
 
 
 
 
 
 
 
 


24/03/2012
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