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ACTUALITES du DIMANCHE 18 mars 2012

Les Algériens fuient les maths
Depuis la fin des années 1970, l’enseignement en Algérie des mathématiques dans les paliers primaire, moyen et secondaire est...
 

Tizi Ouzou : Un garde communal assassiné dans un faux barrage
Un groupe d'individus armés, environs une vingtaine, selon des sources locales, a dressé un faux barrage, samedi, 17 mars, près...

Les vaccins utilisés sans autorisation d'enregistrement
Le programme élargi de vaccination (PEV), comportant une dizaine de vaccins, est exploité sans aucune nouvelle AMM depuis leur premier...

Agitation sur le marché pétrolier : l'Iran alimente la hausse
Le prix de l’essence aux Etats-Unis est devenu un enjeu électoral pour la présidentielle de novembre prochain.

L'ONM veut créer une chaîne de télévision ou de radio dédiée à l'histoire
Le projet de création d’une chaîne de télévision ou de radio dédiée à l’histoire de...

Actualité

Tizi Ouzou : Un garde communal assassiné dans un faux barrage
Un groupe d'individus armés, environs une vingtaine, selon des sources locales, a dressé un faux barrage, samedi, 17 mars, près...

 

Autoroute Oran-Tlélat : 21 blessés dans deux carambolages

 

Les Algériens fuient les maths
Depuis la fin des années 1970, l’enseignement en Algérie des mathématiques dans les paliers primaire, moyen et secondaire est...

 

Rachid Bebbouchi : «les mathématiques fondamentales risquent de disparaître du paysage algérien»
Spécialiste en histoire des mathématiques et chercheur, entre autres, en mathématiques maghrébines, le professeur Rachid...

Sports

Blatter et Hayatou le 30 avril à Alger
L’Algérie sera l’hôte, très prochainement, de deux grandes personnalités du football international.

 

Anou et Makhloufi ensembles au Kenya
L’athlète Abderrahmane Anou, vice-champion du monde junior du 1500 m aux Mondiaux de Moncton au Canada (2010), a rejoint au Kenya...

 

MCEE 1 - ESS 3
Les Noir et Blanc ont bouclé la première mi-temps avec un retard d’un but de Bouaïcha (42’) qui profite d’une...

Economie

Agitation sur le marché pétrolier : l'Iran alimente la hausse
Le prix de l’essence aux Etats-Unis est devenu un enjeu électoral pour la présidentielle de novembre prochain.

 

Axa Assurances Algérie : une offre spéciale Salon de l'auto
A peine implanté en Algérie, le leader mondial de l’assurance, Axa, multiplie les offres innovantes. Et les occasions ne manquent pas...

 

Les producteurs de lait demandent l'aide de l'Etat
Les producteurs de lait de Bouira montent au créneau. La cherté des aliments, le prix de vente du lait jugé très...

International

L'Afghanistan dans l'incertitude (Repère)

 

fin de cavale pour le colonel Senoussi Abdallah
Il est sous le coup d’un mandat d’arrêt de la CPI émis le 27 juin 2011 pour «meurtres et persécutions».

 

Des armes saoudiennes pour l'armée syrienne libre, selon un diplomate arabe
L’Arabie Saoudite achemine, via la Jordanie, du matériel militaire pour équiper l’Armée syrienne libre (ASL)...

Culture

25 films en compétition à Tizi Ouzou
La 12e édition du Festival culturel national annuel du film amazigh (FCNAFA), qu’abritera la wilaya de Tizi Ouzou du 24 au 29 mars,.

 

Carences linguistiques, enseignement bâclé

Les Algériens fuient les maths

le 18.03.12 | 10h00

 
 

Depuis la fin des années 1970, l’enseignement en Algérie des mathématiques dans les paliers primaire, moyen et secondaire est passé de la langue française à la langue nationale : l’arabe. Après le baccalauréat, les universités algériennes assurent l’enseignement de cette discipline en français ou en anglais pour les post-graduations.                     

Ce qui a engendré des difficultés didactiques d’adaptation de l’étudiant à l’entrée de l’université. Cette situation a freiné l’engouement des jeunes bacheliers pour la filière mathématique à l’université. Ce constat, Rachid Harraoubia, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique l’a reconnu, mercredi dernier, à Annaba confirmant qu’un recul est constaté dans cette spécialité à travers les différentes universités algériennes.

Une désertion traduite par une chute considérable du nombre d’étudiants inscrits dans cette discipline. «La filière mathématique attire moins d’étudiants dans l’université algérienne. Ce qui nous a poussés à inscrire au cœur des priorités de notre département de profondes réformes, dont le renforcement de cette  spécialité à l’effet de faire face à la désertion des étudiants par rapport à cette discipline scientifique», a-t-il affirmé à l’ouverture des travaux du 3e Congrès des mathématiciens, organisé par la Société des mathématiciens algériens (SMA) à l’université Badji Mokhtar (Annaba).


LES ÉTUDIANTS DÉSARMÉS


Quelles en sont les raisons ? D’emblée, le professeur Sissaoui Hocine, directeur de laboratoire de recherche et chef du département des mathématiques à l’université Badji Mokhtar de Annaba, accuse le système éducatif algérien.
Pour ce matheux, «les étudiants algériens arrivent à l’université sans qu’ils soient armés linguistiquement en français, encore moins en anglais. Ce qui pose un handicap majeur pour leurs cursus, puisque les ouvrages sont à 90% en anglais et à un degré moindre en français. Deux langues que les candidats aux études mathématiques ne maîtrisent pas.» Une problématique directement confirmée par le professeur Haiour Mohamed, docteur 3e cycle et responsable de la formation en modélisation mathématique dans la même université. Bien qu’il reconnaisse la disponibilité des moyens matériels nécessaires au développement de la discipline, cet éminent mathématicien considère que : «la difficulté est d’ordre didactique, car tout simplement il n’existe pas d’ouvrages mathématiques récents en arabe». Ce qui n’est pas de l’avis du professeur Benzaghou Benali, le président de la Société des mathématiciens algériens et patron de la plus grande université algérienne : l’USTHB de Bab Ezzouar à Alger.


DES PROJETS DE RECHERCHE


Ayant présidé la Commission de la réforme de l’éducation et de l’enseignement supérieur, Benali se défend en annonçant une reprise «jeune» dans la spécialité, notamment en matière de recherche.
Tout en reconnaissant un passage à vide de 2 à 3 ans et le handicap linguistique dû à l’absence de publications multilingues, il se félicite de quelque 1000 projets de recherche dans le domaine au niveau national. Sur le plan de la qualité de l’enseignement,  l’ancien conseiller technique du ministre de l’Enseignement supérieur étaye par l’existence de 52 laboratoires spécialisés dans son université, dont les cours sont dispensés par 1538 enseignants-chercheurs. Dans une déclaration à El Watan,  le professeur Khelifa Zizi, ancien membre de l’ALN, mathématicien émérite, ex-professeur à l’université de Reims, ne croit pas à la décadence des mathématiques en Algérie. «Les relations que j’ai avec beaucoup d’enseignants de l’université algérienne m’inciteraient à répondre négativement à cette question au niveau universitaire. Peut-être y a-t-il un gap entre le secondaire et le supérieur, à cause de la rupture de la langue utilisée au secondaire, arabe, et au supérieur, français, pour les mathématiques», a-t-il estimé.
 

La SMA adhère à l’Union mathématique internationale :

 

L’Union mathématique internationale (IMU) www.mathunion.org, dont le siège est à Berlin (Allemagne) vient d’admettre l’Algérie comme membre. Cette décision a été prise à l’issue d’un vote auprès de ses membres. L’Algérie est représentée par la Société mathématique d’Algérie (SMA), dont le président est Benzaghou Benali.  Un événement que le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a salué.

L’IMU regroupe les principales organisations mathématiques du monde. L’IMU tient son congrès tous les quatre ans et décerne, à cette occasion, les médailles Fields. Une consécration qui a valeur du prix Nobel dans les mathématiques, car le prix Nobel de mathématiques n’existe pas. A propos, pourquoi le Prix Nobel de mathématiques n’existe pas ? La cause n’est pas une aversion profonde d’Alfred Nobel pour l’algèbre ou la géométrie. Non, c’est tout simplement parce que sa femme le trompait avec un prof de maths ! Alors, pour se venger, il n’a pas trouvé mieux que de priver les mathématiciens de son prestigieux prix.

 

Mohamed Fawzi Gaïdi

Des militaires blessés pendant la période du terrorisme sauvagement réprimés à Alger
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le 18.03.12 | 13h14 14 réactions

 
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Des militaires blessés pendant la lutte anti-terroriste qui manifestaient ce dimanche 18 mars devant l’Assemblé populaire nationale (APN) ont été sauvagement réprimés par la police.

Ils étaient nombreux ce matin à se rassembler dans un mouvement de protestation quasi spontané car ils n’ont pas de représentants et ne sont affilés à aucune organisation. Ils voulaient juste être entendus parce qu'ils n'ont bénéficié, selon eux, que d'une indémnité miserable.

Très en colère, rongés de l’intérieur par un sentiment de frustration et d’injustice sans égal, ces anciens militaires, qui se sont sacrifiés dans la lutte anti-terroriste, ne dépassant pas la quarantaine et pour la plupart portant des prothèses, ont tenté de manifester pacifiquement mais une forte présence policière les a sauvagement freinés. Plusieurs ont été arrêtés, tabassés et transportés vers le commissariat de Ben Aknoun.

L’un d’eux, pour témoigner, se rapproche de nous: « mon corps porte toujours les séquelles de la période terroriste, j’ai des éclats dans mon corps. J'ai déposé plusieurs requêtes au niveau de l’hôpital Aïn nadja, pour m'extraire ces éclats mais à ce qu’il parait je n’ai pas le droit et pourtant je suis un militaire et si demain on fera appel à moi je serai obligé de m’engager».

Les cris de détresse de ces militaires porte essentiellement sur la miserable indemnité qu’ils perçoivent: « je reçois 2500 DA par mois, je porte une prothèse, je n’ai pas le droit au logement, je suis un démuni, je n’ai le droit à rien… », témoigne l’un d’eux avec un fort sentiment de rancune.

Hamida Mechaï
 

El Watan et Owni, le musée numérique de la guerre de Libération, J-1

le 18.03.12 | 12h46

A partir du lundi 19 mars, El Watan et Owni lanceront le premier musée numérique de la guerre de Libération, fruit d’une collaboration étroite entre les deux médias et d'une patiente collecte de témoignages et de données depuis plus d'une année.


Plusieurs centaines de documents officiels et personnels, inédits, seront mis à la disposition du public à travers une navigation à travers le temps, l’espace et les thématiques. Rendez-vous donc à partir de lundi 19 mars sur www.memoires-algerie.org

 

Le chanteur Khelifi Ahmed n'est plus

le 18.03.12 | 17h37

Le chantre de la chanson bédouine algérienne Khelifi Ahmed est décédé dans la nuit de samedi à dimanche à l'âge de 91 ans, a annoncé  la radio nationale

De son vrai nom Ahmed Abbas Benaissa, le défunt est né en 1921 à Sidi Khaled, dans la région de Biskra.

APS
 

Ferda, Chaou, Toumi et Chaouli reçoivent le Disque du Mérite

le 17.03.12 | 12h18

 
 

La formation Ferda, Chaou Abdelkader, Nacerddine Chaouli et Samir Toumi ont été les récipiendaires du Disque du Mérite, une distinction musicale décerné par l’ONDA ( l’Office national des droits d’auteurs), lors d’une cérémonie,  mercredi soir, au Palais de la culture Moufdi Zakaria, à Kouba( Alger).

Aussi, lors de cette cérémonie de remise des Disques du Mérite organisée par l’ONDA et sous les auspices du ministère de la Culture,  le chaâbi à travers Chaou Abdelkader, le hawzi-andalou par Nacerdine Chaouli et Samir Toumi et le médih saharien du groupe Ferda ont été honorés.

Un hommage rendu sous le slogan de l’ONDA : « Tu crées et nous te protégeons ! », en présence de Mme Khalida Toumi, ministre de la Culture,  M.Sami Bencheikh, Directeur général de l’ONDA, les maîtres  Khaznadji et Ahmed Seri, Benzina ou encore Dounia Djazairia… « Le ministère de la Culture, avec l’ONDA, se fait un devoir d’accompagner et de promouvoir les créateurs, les artistes…L’Algérie, en matière de musique, ce n’est pas un pays, c’est un continent…La musique de l’Algérie est vivante. Donc, nous avons un peuple vivant…Tous les artistes seront enregistrés ( coffret de CD d’anthologie édité par l’ONDA). ».

Une promesse de bon aloi pour les musiciens et chanteurs en tous genres confondus. Très jovial, Nacerddine Chaouli ambitionnera : «  J’espère que je vais enregistrer les 12 noubas (de musique andalouse)… ».

Samir Toumi, ému dira avec humilité : «  Je suis ému. J’espère que ce n’est qu’un début. Et j’espère que d’autres artistes suivront et auront cette opportunités d’enregistrer ( des coffrets). ». « Cette distinction, c’est grâce aux chioukhs, au ministère de la Culture, à  l’ONDA et puis nos compagnons… » avoueront les membres de la formation de Ferda notamment Zaid, Larbi et Hocine.

Jamming

 Ayant été publié par l’ONDA, un coffret anthologique, la formation Ferda de Béchar et plus précisément de Knadssa, a offert un merveilleux showcase ( présentation) de la teneur des CDs. Aussi, ce fut un concert typiquement acoustique, unplegged et seated ( assis), une gaâda, quoi ! Du médih ( chant religieux), qcid ( textes et poésie populaires), gnawi et maghrébin avec des tonalités plutôt marocaines nous rappelant Nass El Ghiwane, Jil Jilala et Mchaheb…

Avec des textes comme Ya Krim Al Kourama, Zahou Edenia et le très prisé du public, Ben Bouziane... Les Ferda, leur musique est homéopathique, un anti-poison, un anti-stress…Cela va crescendo et puis, c’est la transe. Enfin, le transport ! La preuve ! La ministre de la Culture, Khalida Toumi, n’arrivait pas à tenir sur place. «  I can’t control my feet… »disait bien Michael Jackson dans Blame It On the Boogie . «  Ferda, ils sont formidables. Je vais les emmener partou t( dans le monde)… » nous confiera entre deux  titres, Mme Khalida Toumi.

Le « bonus track » de la soirée sera un bœuf attendrissant où les Ferda accueillaient Chaou Abdelkader au chant, Samir Toumi au violon, Nacerddine Chaouli au banjo ont en poussé une petite : Ya Aâdra win Moualik et Casbah, h’na Ouledha. Une belle image sur la tolérance musicale. Des happenings improbables comme ceux-là, il en faut.Jamming comme dirait Bob Marley !

K. Smail
 

Mouloud Feraoun : Intellectuel blacklisté

le 16.03.12 | 10h00

 
 

Quatre jours de plus et Mouloud Feraoun aurait connu l’Algérie indépendante. Il a été assassiné le 15 mars 1962 par l’OAS à Ben Aknoun. Depuis hier et jusqu’à demain, un colloque international est organisé à Alger pour revisiter son œuvre. Son fils et d’autres intellectuels ont décidé de créer la Fondation Feraoun en avril prochain.      

Qui est Mouloud Feraoun ? C’est un poète… «Non, c’est le nom d’un collège où est scolarisé mon cousin à Tizi Ouzou !» Au collège Wahiba Kebaïli, El Kahina ou au lycée Baba Aroudj d’Alger-Centre, rares sont les élèves qui connaissent l’intellectuel engagé, ses écrits, son enseignement. La littérature algérienne d’expression française, ce n’est pas leur point fort. «Je pense que Feraoun n’a pas été estimé à sa juste valeur dans nos écoles. Il aurait fallu s’arrêter sur son œuvre», explique Kamilia Oukil, maître assistante à l’Ecole normale supérieure de Bouzaréah. A l’exception du palier moyen où elle évoque vaguement Feraoun, l’école ignore totalement cette figure tant enseignée pendant les années du colonialisme.

«Même chose à l’université, enchaîne Fadila  Oulebsir, maître assistante à l’université d’Alger II. Si nous connaissons Feraoun aujourd’hui, c’est parce que nous l’avons hérité de nos parents. L’école ne nous a pas inculqué les valeurs de Feraoun. Elle ne nous a pas transmis sa culture. Elle ne lui a pas réservé la place qu’il mérite. Il a été – consciemment ou inconsciemment – mis à l’écart sans qu’il soit interdit de l’enseigner.» Pour les jeunes, Mouloud Feraoun se résume à Fouroulou ou au Fils du pauvre. «Je sais seulement qu’il a écrit La terre et le… pauvre et qu’il est né en Kabylie», répond Sihem, étudiante en première année de littérature française à Bouzaréah.


Une fresque


«C’est regrettable, poursuit Mme Oulebsir. Car lire son œuvre, c’est découvrir une fresque, un tableau d’une Algérie que cette génération n’a pas connue. Lire Feraoun c’est, entre autres, s’imprégner de la culture, du mode de vie et de l’idéologie de ce peuple à un moment de son histoire. Plus concrètement et sur le plan pédagogique, Feraoun est un initiateur à la lecture de par ses travaux sur la lecture élémentaire.» Nawal Krim, maître de conférences à l’université d’Alger II, généralise le problème : «Feraoun n’est pas le seul à être absent des programmes scolaires ! On voit bien que nos écrivains ne sont pas médiatisés, qu’on ne prend pas la peine de leur consacrer des journées, des débats ou des rubriques dans les journaux.» Conséquence logique de cette absence : les recherches et les thèses universitaires sont rares.

«Nous ne trouvons pas de travaux sur Feraoun ou sur son œuvre et cela revient aussi au choix des directeurs de recherche et des étudiants», constate Fadila Oulebsir. Nawal Krim nuance : au département de français du moins, «il y a plusieurs travaux sur cet auteur. Je sais que nous avons des enseignants chercheurs qui ne demandent qu’à travailler et à participer à des journées internationales, surtout quand il s’agit de nos auteurs». Pour elle, la présence écrasante des Français qui interviennent au colloque d’Alger pour le cinquantenaire de la disparition de Feraoun n’est pas fortuite. «Je ne trouve pas normal que l’université d’Alger ne soit pas au courant ! s’énerve-t-elle. Nous avons des intellectuels, mais ils ne sont pas sollicités.»
 


 

A voir :

 

Le Journal de Feraoun théâtralisé par Dominique Durcel. Intitulé Le contraire de l’amour. La pièce est prévue le dimanche 22 avril à Tizi Ouzou, lundi 23 à Alger, mercredi 25 à Oran et vendredi 27 à Annaba.

 

Nassima Oulebsir

 


18/03/2012
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