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Actualité | mercredi 11 janvier 2012

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Mercredi 11 Janvier 2012
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20 ans après l’arrêt du processus électoral

La démocratie toujours muselée

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le 11.01.12 | 01h00 Réagissez

 

Les officiels algériens ne cessent de dire que l’Algérie a bien connu son Printemps arabe, et qu’elle a été le précurseur dans la région à connaître l’ouverture démocratique.

Ces mêmes officiels évitent toutefois de dire que la parenthèse démocratique a vite été refermée sur une expérience d’ouverture qui aura été de courte vie et au souffle coupé. Mais l’histoire est là pour marquer de son verdict ce que l’on veut arracher à la mémoire.
L’histoire a ce pouvoir de nous rattraper avec son lot d’événements pour réclamer au souvenir cette fameuse page signant l’arrêt d’un processus démocratique. Aujourd’hui, l’Algérie rappelle donc à sa mémoire ce qui a été présenté comme la «démission volontaire» de Chadli Bendjedid un certain 11 janvier 1992. Chadli Bendjedid, démission ou coup d’Etat ? L’histoire a inscrit qu’il a bel et bien été contraint par l’armée à déposer sa démission. Dans le langage juridique, une telle action ne peut être jugée que comme un coup d’Etat ; une armée respectueuse de la Constitution n’étant pas habilitée à arrêter un processus électoral et encore moins exiger d’un Président de le faire. Au-delà de cet acte justifié par ses initiateurs comme un barrage à la montée de l’intégrisme, il aura sans conteste signé l’avènement d’une ère de violence terrible.


COUP DE FORCE


Vingt années auront été écrites dans les pages de l’histoire d’une Algérie tourmentée, une Algérie qui peine à ce jour à sortir du règne des coups de force, une Algérie qui n’a finalement sauvegardé ni la République ni la démocratie. Vingt ans est l’âge d’une génération d’Algériens qui n’aura connu que la violence, le mal-vivre et le désespoir. Le constat est terrible, mais on ne peut en faire l’économie si l’on veut éviter que d’autres générations ne soient sacrifiées. Des erreurs de jugement sont possibles, mais ne pas les reconnaître est plus dangereux dans la mesure où l’on refuse de tirer les leçons d’un passé qui se conjugue malheureusement toujours au présent. Certains diront aujourd’hui, nous avons eu raison de nous opposer à l’arrêt du processus électoral, d’autres diront que c’était inévitable mais que l’armée n’a pas tenu sa promesse de préserver la démocratie, le fait est que vingt ans plus tard le bilan est là pour jeter à la face du régime son entière responsabilité d’avoir plongé le pays dans le chaos. 200 000 morts, plusieurs milliers de disparus, le contentieux est lourd et le jugement sans appel. Chaque goutte de sang d’innocents algériens versée appelle justice. Les vaines tentatives de passer sous silence ce qui s’est passé de longues années durant, traduites par les concorde et charte dites pour la paix et la réconciliation nationale, ne réussiront pas à tairer le questionnement de la mémoire tant que la vérité et la justice n’auront pas dit leur mot.


PARENTHÈSE DÉMOCRATIQUE


La parenthèse démocratique a été bien courte et sacrifiée au carrefour des calculs d’une caste dont le seul souci est de pérenniser un régime. La parenthèse démocratique, brandie aujourd’hui comme un trophée par les officiels du pays, n’a pas eu raison du régime qui depuis 1962 continue de peser de son poids oppressant sur l’Algérie. Le régime avait trente ans en 1992, il en compte 50 ans aujourd’hui, et le hasard veut que l’on se retrouve à la veille d’élections législatives. Ironie du sort ou juste logique, le régime s’est aujourd’hui allié aux islamistes, les rendant fréquentables et les devançant même en appliquant la charia par le truchement de lois et de pratiques destinées à ancrer dans la société algérienne des divisions d’ordre dogmatique. L’on est tenté de dire «1992-2012, même combat ». Choisir entre le pouvoir et les islamistes semble être la seule équation que le régime impose aux Algériens. La coalition pouvoir-islamistes est si naturelle qu’il est aisé de déduire que c’est à la démocratie qu’on a toujours voulu faire barrage et non à l’intégrisme.  

 

Nadjia Bouaricha
 

Laghouat: Trois blessés et 30 arrestations suite aux affrontements entre manifestants et forces de l'ordre

le 10.01.12 | 10h59

Trois personnes dont un policier ont été blessées lors des affrontements entre policiers et manifestants à Laghouat, selon des sources locales. Il s'agit de H.L 30 ans et de S.B 27 ans. L’un a eu une fracture au niveau du bassin et l’autre blessé à la tête. Leur état est toutefois jugé plus en moins grave. Quant au policier, il a été légèrement blessé.

A l'heure où nous mettons en ligne ces informations, des milliers de jeunes se trouvent encore aux alentours de la Sûreté de la wilaya pour exiger la libération des jeunes arrêtés le matin et  dont le nombre est de 30, selon les estimations du LADDH.

«La tension ne cesse de monter », selon un militant des droits de l’homme présent sur place, surtout que certains vont passer par le procureur. Quelques manifestants ont été relâchés, parmi eux des mineurs.

Les forces de l'ordre ont pour rappel procédé mardi 10 janvier, dès 7h30 à des arrestations massives aux alentours du siège de la wilaya de Laghouat où campent depuis maintenant 6 jours des citoyens mécontents d'une liste de distribution de logements "jugée"injuste.

Des affrontements ont alors éclaté entre les forces de l'ordre et les manifestants, qui n'ont pas voulu quitter les lieux. Le bureau de la ligue algérienne des droits de l’homme a reçu plusieurs plaintes notamment de la part des parents dont les enfants ont été arrêtés. «La ville est encerclée, les forces de l’ordre ont visé les quartiers dont les citoyens sont susceptibles d’affluer en masse vers le centre ville » a-t-on appris de sources locales.

«Les affrontements ont éclaté vers  8h30 », nous dira Yacine Zaid. Mais ce qui est sur, selon Hadj Aïssa Abbas, président du bureau régional du comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC), est que « la répression est féroce et les casques bleus sévissent impitoyablement » , regrette-t-il.

A l’heure où nous mettons en ligne l’information, la ville de Laghouat est encerclée par les forces anti émeutes et les affrontements sont violents. Selon nos interlocuteurs « on ne sait pas encore ce qui va arriver dans les prochaines heures ».

Vers midi et demie, la situation est toujours  tendue dans la ville de Laghouat, encerclée par les forces de l’ordre. Des affrontements sporadiques sont signalés dans certaines artères de la ville.  

Selon des sources locales, les forces de l’ordre ont commencé les provocations dans la nuit de lundi à mardi. Notre interlocuteur  révèle que « tout a commencé hier soir (lundi) vers 23h lorsque les forces de l’ordre ont envahi avec leurs camions anti-émeutes, l’endroit où nous avions campé »

Hamida Mechaï
 

Les élections législatives se tiendront entre le 1er et le 15 mai

«L’agrément de partis est tributaire de la tenue de leurs congrès»

le 11.01.12 | 01h00

Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales reconnaît que l’abstention est un problème qui le hante.

Les pouvoirs publics redoutent le spectre de l’abstention lors des prochaines élections législatives qui devront avoir lieu entre le 1er et le 15 mai prochain, et doutent, toutefois, de la victoire des islamistes. Après le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui avait affiché ouvertement ses craintes quant à un fort taux d’abstention pour le renouvellement du Parlement, hier c’était au tour d’un membre de l’Exécutif de lui emboîter le pas. Sur les ondes de la Chaîne III, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales reconnaît que l’abstention est un problème qui le hante : «Personnellement, c’est une crainte qui m’habite, dans la mesure où le scrutin législatif par le passé n’a pas mobilisé grand monde.»

Plus explicite, il dira que c’est là le scrutin où il y a le plus fort taux d’abstention comparativement aux élections locales et nationales où les intérêts sont plus grands. Interrogé sur une éventuelle victoire des islamistes comme cela a été le cas chez nos pays voisins, Daho Ould Kablia avoue ne pas croire à la thèse de l’arrivée des islamistes au pouvoir en Algérie. Pour lui, l’Algérie pourrait bien faire une exception et échapper à la vague islamiste. «Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Personne ne peut se mettre à la place du peuple pour dire vers quelle direction va se porter son choix», fait remarquer le ministre qui doute également d’une unification des rangs des islamistes. «Il ne s’agit pas d’ambitions doctrinales, mais d’ambitions de personnes. On ne voit pas qui pourra se placer sous la tutelle de l’autre au niveau de ces partis.» S’agissant de l’agrément de nouvelles formations politiques, l’invité de la Chaîne III note que sur une vingtaine de dossiers déposés pour l’obtention d’agrément, une douzaine peuvent être autorisés à tenir les assises de leurs congrès constitutifs.

Pour M. Ould Kablia, «le problème de l’agrément des partis ne se traite pas en quantité, mais en termes de la qualité des dossiers». Sans donner plus d’indications sur les noms des partis susceptibles d’être agréés, il a estimé que cela est tributaire des résultats des congrès constitutifs de ces nouvelles formations politiques. Au sujet de certains partis qui ont déjà programmé leurs congrès, le ministre a rappelé que la tenue de ces assises est tributaire d’une autorisation préalable de son département ministériel. Il a cependant précisé que cette autorisation ne pourrait être délivrée qu’après la promulgation de la nouvelle loi organique sur les partis.
Il s’agit là d’un cercle vicieux. Pas d’agrément avant la tenue du congrès constitutif et ce dernier ne peut se tenir qu’une fois la nouvelle loi sur les partis politiques promulguée…
 

Nabila Amir
 

 



11/01/2012
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