ROUIBA ......

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VENDREDI 05 MARS 2010

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Le dicton météorologique du jour:

"Vigneron, vide ton verre,

Si la pluie en mars inonde la terre"

Le proverbe du jour:

"Tout change, rien ne périt" (proverbe latin)

La citation du jour:

"Les vertus se perdent dans l'intérêt, comme les fleuves se perdent dans la mer" (La Rochefoucauld)

 



Dilem du Jeudi 04 Mars 2010 | Vu 13397 fois

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Match amical international, aujourd'hui à 19h15, au stade du 5 Juillet

Algérie-Serbie, un test grandeur nature

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Photo : S. Zoheir

Par M. Gemmill

La joute footballistique devant opposer nos sélectionnés aux ceux de la Serbie drainera les férus du football, ces amoureux de la sphère en cuir. Ce soir à 19h15, dans le célèbre temple du 5 Juillet, les capés de Rabah Saadane et ceux de Radomir Antic seront appelés à se donner la réplique sur le terrain. Un match qui sera sûrement intéressant à suivre. Les vingt-deux concurrents auront droit à 90 minutes pour sortir vainqueurs d'une solide confrontation entre deux grandes écoles de football.
Cependant, il ne serait pas superflu de souligner que cette joute à caractère amical doit permettre aux deux formations de mesurer leurs compétences
footballistiques, à quelque 100 jours du début de la plus prestigieuse des épreuves qu'est le Mondial de football en terre africaine. Le match contre la Serbie, une équipe dont les joueurs évoluent  pratiquement dans les plus grands clubs européens, est une aubaine pour jauger les capacités des Verts. En fait, l'équipe d'Algérie qui s'est bien reprise ces dernières années, après une période difficile, compte poursuivre sur cette lancée. Les belles réalisées
successivement aux éliminatoires du Mondial et de la CAN 2010, puis son brillant passage aux demi-finales de la CAN en Angola, devant la Côte d'Ivoire et le Mali, devraient être un stimulant pour poursuivre avec le même allant : «Nous avons les moyens de nos ambitions et c'est avec une grosse envie que nous négocierons cette rencontre amicale, convaincus que rien n'est gagné d'avance. Seule la réalité du terrain prime», nous dira le coach Rabah Saadane. Le moral de l'ensemble du groupe est, comme on le constate, au beau fixe, d'autant que l'équipe récupérera, pour le match de ce soir, certains de ses titulaires qui lui avaient manqué lors de sa dernière sortie. Nous voulons nommer plus spécialement les trois animateurs de sa ligne avant, en l'occurrence Mehdi Lacen, Rafik Djebbour et Amri Chadli Sur ce plan, l'entraîneur algérien n'aura pas a priori de soucis à se faire. Le puzzle est de nouveau au point, de telle sorte que les automatismes seront mieux élaborés et parachevés à la fois.
Les Verts connaissent mieux leur mission et ne peuvent ignorer aussi que pour s'imposer face à une solide équipe de Serbie, il faudrait avant tout s'appuyer sur la rigueur, la gestion de l'effectif et en procédant à un turn-over sans en perturber l'équilibre collectif. Rigueur, ensuite, au plan défensif pour éviter des surprises, et Dieu sait s'il y en a en compétition internationale, qu'il serait difficile de colmater. Dans nos murs en tout cas, les plus optimistes d'entre les amoureux des Fennecs, et ils sont nombreux, pensent que nos représentants sont prêts à se dépenser pour infliger une défaite aux Serbes, comme ils l'ont fait face aux Uruguayens, invaincus pendant une longue période. Leur imposer un rythme accéléré pour les désarçonner  On croit entendre déjà les fans de la sélection algérienne, venus des quatre coins du monde, claironner, drapeaux au vent et à tue-tête : «One, two, three, viva l'Algérie !». Bien sûr que les Serbes, qui ont un standing à défendre, ne «traîneront pas les savates». Concluons que cette confrontation ne ressemblera pas à une ennuyeuse séance de décrassage. S'attendre bien évidemment à voir les vingt-deux acteurs s'investir corps et âme. Courir, se bousculer, se marcher sur les pieds, défendre et attaquer, chahuter les ambitions de leurs rivaux. Lesquels, à l'usure, verraient peut-être leur rêve, celui de battre l'Algérie sur ses terres et devant son public, fondre comme beurre au soleil. Ambiance autour du célèbre temple du 5 Juillet où la foule des supporters, les gosiers en feu, martèleront leurs espoirs. C'est le temps de conclure par ce vœu : suivre des débats où le suspense est essentiel pour la qualité du spectacle. Allez les Verts ! 

Les Algériens retrouvent leur équipe nationale dans une ambiance de fête

Les Serbes donnent une leçon d'efficacité aux Fennecs

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Photo : S. Zoheir

Par Amirouche Yazid

Très attendu par tout un peuple, le match amical Algérie-Serbie a tourné en déception. Les 80 000 supporters qui se sont rendus au stade du 5 Juillet sont repartis très déçus aussi bien par la production des poulains de Saadane que par le score. Au vu de la prestation fournie hier par la sélection algérienne, il y a des raisons de dire que l'avenir des Verts est plutôt noir. On peut relativiser pour dire qu'il ne s'agit que d'une joute amicale.
Force est de constater, néanmoins, que le niveau du jeu présenté par les demi-finalistes de la dernière CAN est très inquiétant. L'équipe algérienne a étalé toutes ses limites en l'espace de 90 minutes devant un adversaire qui n'a rien d'un foudre de guerre comme le témoigne la physionomie de la première période qui a vu Matmour et ses coéquipiers acculer leur adversaire dans son périmètre.
Avec, cependant, cette constante du onze algérien qui n'arrive plus à marquer des buts. Une tare clairement révélée lors de la Coupe d'Afrique angolaise.
Il était attendu que le sélectionneur national remédie à cela. Rien de cela : le système de jeu des Verts n'a pas évolué.
Pis, il a stagné à tel point que certains joueurs connus pour leur créativité se sont retrouvés à jouer de façon très individualiste, faute de variantes collectives. L'arrivée de Lacen, le sociétaire de l'Espagnol Santander, n'a pas eu l'effet escompté tant le onze national a évolué avec une stratégie de jeu très attentiste. Pourtant, il y avait de la place que seuls les coéquipiers de Ziani savent développer, mais ils ont péché par un positionnement désordonné de la plupart des éléments. Manifestement, les Verts sont sur une courbe descendante. Avant le match d'hier, les Verts, sous la direction de Saadane, ont révélé leurs limites à tout point de vue.
Que ce soit en matière de forme physique, d'organisation de jeu ou bien de prédispositions psychologiques. Le cycle des matches ratés est en cours. Après la rencontre des demi-finales de la CAN 2010 contre l'Egypte, perdue 0-4, exagérément justifiée par le mauvais arbitrage, les Verts se sont déclarés incapables de se relever lors du match de classement contre les Nigérians. Hier, les Algériens ont eu droit à une sélection sans ressources et sans solutions. Les Verts semblent ne plus savoir gagner. Il est temps de se débarrasser de l'excessive euphorie née de la double qualification à la phase finale de la CAN et du Mondial. La joute amicale n'a finalement pas servi au staff technique puisqu'il n'a pas incorporé assez d'éléments. Elle a été cependant une occasion de comprendre que beaucoup de choses sont à faire pour aller au Mondial sud-africain avec des arguments solides. Nul doute que les Verts savent à présent ce qui les attend au Mondial où le niveau sera certainement plus élevé.       

Femmes au stade, entre fantasmes et réalités : Les limites d’un match « familial »

C’est officiel : Les femmes algériennes dans les stades est un vœu pieux qui restera longtemps au stade du fantasme. Et ce n’est pas l’ambiance d’avant-match à l’occasion de cet Algérie-Serbie qui nous démentira. Même le centenaire du 8 Mars n’y changera rien.

Pourtant, hier, aux abords du sanctuaire du ballon rond, au 5 Juillet, elles étaient relativement nombreuses, nos braves compatriotes grimées en supportrices élégamment moulées dans l’emblème national, et qui sont venues dignement enflammer l’arène aux cris de « One two three, viva l’Algérie ! »Mais elles se rendront assez vite à l’évidence qu’aller au stade n’est guère une sinécure pour une Algérienne. C’est le cas de cette dame en hidjab, accompagnée de ses enfants, qui l’a appris à ses dépens. « C’est l’anarchie la plus totale », s’indigne-t-elle, avant d’ajouter : « Je suis venue avec mes enfants soutenir notre équipe nationale et aussi permettre à mes gosses de se défouler un peu. Et voilà comment on nous reçoit ! »

Allusion au dispositif de sécurité qui n’a pas réservé de traitement de faveur aux familles, ceci, dans une atmosphère électrique où, dès la matinée, le périmètre du 5 Juillet était pris d’assaut par des dizaines de milliers de supporters, se disputant âprement une place dans les gradins. « Mon mari est quelqu’un de distingué et n’acceptera jamais qu’on aille au stade dans une telle pagaille. Il ne va pas tarder à nous rejoindre et nous allons certainement rentrer à la maison. On ne peut pas assister au match dans des conditions aussi déplorables. C’est la première fois de ma vie que je viens au stade et ce sera probablement la dernière », renchérit notre interlocutrice, fortement déçue par l’organisation autour du stade et l’acheminement du public vers les tribunes.

« Quand nous avons acheté les tickets, les femmes avaient eu droit à un guichet spécial, et tout s’est bien passé. J’ai pensé naïvement que la même organisation serait reconduite et que les familles auraient accès au stade par un couloir spécial. Or, voilà qu’on nous mélange avec tout le monde. On nous dit d’aller à la porte 38 mais cette même porte 38 est envahie par les jeunes. »

Pas de dispositif « spécial familles »

Lounès, un inconditionnel des Verts, a fait le déplacement depuis Oran pour assister au match. Accompagné de ses quatre enfants dont deux filles qui, pour la circonstance, ont mis leurs plus beaux atours, aux couleurs de l’EN bien sûr, il ne cache pas sa colère. Avec d’autres familles, il tente, en vain, de négocier l’accès par l’entrée VIP, située côté Dély Ibrahim, non loin des locaux de la FAF. « Pourquoi ne nous laisse-t-on pas pénétrer par cette porte ? », s’écrie-t-il. Le policier, armé de matraque, ne veut rien entendre : « Ce n’est pas possible, veuillez emprunter les accès réservés au public. » Vive protestation : « Mais nous, on est en famille. Cette entrée est réservée à la "kiada", c’est ça ? Nous, on est des harkis ou quoi ? », fulmine Lounès.

Il nous explique : « Je suis venu spécialement d’Oran avec toute ma famille pour apporter notre soutien à l’équipe nationale et dire notre amour du drapeau et de la patrie, et voilà comment on nous le rend ! » Un autre supporter se lâche : « Moi, j’ai fait la route depuis Khenchela avec toute ma famille pour soutenir notre chère équipe nationale. Nous sommes arrivés à Alger hier, nous avons passé la nuit à l’hôtel. Nous nous sommes donné un mal fou pour venir jusqu’ici pour qu’à la fin, on nous inflige ce traitement. C’est la dernière fois que je ferai ça ! » Une jeune fille lance : « Nous, nous avons cru ce qui s’est dit dans les médias, comme quoi les familles seront choyées. C’est cette publicité qui nous a induites en erreur », regrette-t-elle. Malgré ce ton désenchanté, les filles, jeunes et moins jeunes, continuent d’affluer, dûment « chaperonnées » par des hommes. Ont-elles peur d’être agressées ? « Non, pas particulièrement », rétorque l’une d’elles.

Algérie-Serbie : L’autre guerre des « balcons »

Un autre chef de famille, avec femme et enfants, porte une petite fillette sur ses épaules. Il a l’air désemparé. Il s’approche, perplexe, du cordon de policiers qui surveillent hermétiquement les accès pour négocier une solution. La partie s’avère difficile tant le match supporters-service d’ordre est serré. A un moment donné, le bras de fer, véritable match dans le match, tourne à l’avantage des aficionados de l’EN qui, ingénieux comme ils sont, croient déjouer la vigilance des forces antiémeute en se servant des barrières de police comme d’une échelle pour enjamber la muraille qui ceint le stade. Mais les CNS finissent par intervenir pour les déloger avec autorité, usant parfois de la manière forte, gourdin et jets d’eau à l’appui. Des gravats et autres blocs de pierres jonchant le sol témoignent d’échauffourées musclées.

Le chaos est à son comble à l’ouverture des portes pour le public (vers les coups de midi). Les femmes et les familles arborent des signes d’angoisse patents, elles qui se demandent comment accéder aux gradins dans un climat si peu propice à la fête. On est bien loin des célébrations bon enfant en ville. Ici, avoir son ticket est loin d’être une garantie. Encore faut-il crier, transpirer, finasser, se bagarrer, jouer des coudes, pour se « qualifier » au… spectacle. Cela accentue l’image d’un pays hostile, austère, fâché définitivement avec la fête, et où le moindre moment de gaieté s’obtient à l’arraché, jamais dans la sérénité.

14h. Le stade affiche déjà complet. D’aucuns se retrouvent sur la touche alors qu’ils ont leur billet. « Ya âmou dakhalna » (tonton, faites-nous entrer !) ne cessent de nous harceler des galopins frustrés. D’autres nous font : « Vous êtes de Canal Plus ? De grâce, prenez-nous avec vous ! » Certains spéculateurs proposent des tickets au marché noir à 1500 DA (au lieu de 3000 DA un peu plus tôt). Le service d’ordre semble, par moments, totalement dépassé devant l’engouement des masses juvéniles. Sous les insistances des familles, les policiers finissent par aménager une entrée par un portail précédemment défoncé par la foule. Les « célibataires » en conçoivent une noire jalousie : « H’na gaâ familia ouahda » (nous sommes tous une même famille), martèle un adolescent. Une boutade qui rappelle l’esprit de fraternité qui régnait dans la foulée des festivités qui ont suivi la campagne de Khartoum. Les filles se réjouissaient alors de côtoyer les « durs à cuire » du monde du foot « en toute impunité ». Elles pouvaient parader dans les rues d’Alger et d’ailleurs aux côtés de leurs « frères » sans se sentir le moins du monde agressées.

Le stade « familial » du machisme

Une impression corroborée par ces images tellement galvaudées d’Algériennes harnachées aux couleurs nationales et faisant l’objet de gros plans à la télé, elles qui ont arraché leur place de haute lutte dans les gradins, et criant « Maâk yal Khadra » au même titre que les hommes. Hier, dans le chaudron du 5 Juillet, dans cette ambiance chaotique où les places s’arrachaient sans merci, la galanterie était remisée aux vestiaires, et l’opération « femmes au stade », lancée quelques jours auparavant tambour battant, avec, à la clé, 6000 places réservées à la gent féminine, semblait sérieusement buter contre la résistance des vieux réflexes.

Les supportrices les plus chevronnées réalisaient brutalement à quel point nos terrains de football sont restés des espaces hautement machistes. Mieux : ils passent même pour être des territoires anomiques, réservés à une certaine catégorie de spectateurs que d’aucuns n’hésitent pas à qualifier de « âraya » (voyous) ; des territoires qui demandent à être codifiés (certains diraient « pacifiés »), avant de se prêter à une vraie mixité sociale et générique. « Moi, je suis un mec et je n’ose pas aller au stade dans ces conditions. Ils ont bien du courage ces gens qui laissent leurs femmes et leurs filles aller au 5 Juillet et subir toute cette agression, et entendre tous ces gros mots », commente un « footeux » dépassionné. Dans un pays où l’épithète « familial » (salon de thé « familial », « plage familiale », film « familial », etc.) a fait fortune au point de s’ériger en « argument de vente » pour appâter les consommateurs conservateurs qui voient le méchant loup partout, il faut croire que même nos stades vont devoir se plier à la règle s’ils veulent s’attirer d’autres publics et une autre clientèle que les « chenaoua » et autres « kawasser ».

Sur un autre plan, il est désolant de constater que la force est le seul régulateur des rapports entre le pouvoir et la société. Et cette image d’un policier antiémeute en casque et bouclier protégeant une supportrice qui tente à grand-peine de se frayer un passage parmi un ciment de jeunes survoltés en dit long sur le chemin qui reste à parcourir avant d’arriver jusqu’à la tribune… « familiale ».

Mustapha Benfodil

4 mars 2010



05/03/2010
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