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093-Actualité | lundi 2 avril 2012...

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Les lobbies à l'assaut du Parlement

A quelques jours du début de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai, la question de son financement n’a...

 

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Actualité

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Les travailleurs de l’Entreprise nationale des canalisations (ENAC/SPA), filiale de Sonatrach, ont protesté, hier matin, devant la direction...

Sports

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Dame coupe multiplie les sourires en direction du Chabab de Belouizdad. Devant la redoutable équipe de l’ASO Chlef, les Rouge et Blanc de...

 

Un géant aux pieds d'argile
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Economie

Les lobbies à l'assaut du Parlement
A quelques jours du début de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai, la question de son financement n’a...

 

ces militants qui pèsent 6 milliards de centimes
Si les partis admettent n’avoir dans leur rang que peu d’hommes d’affaires et s’opposer catégoriquement à tout...

 

Les patrons cherchent des «relais» au niveau de l'APN
En apparence, entre le monde des affaires et celui de la politique, ce n’est pas le grand amour.

International

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Le commandant régional de Kidal et 500 de ses hommes rallient la rébellion
Lorsqu’ils ne désertent pas leurs positions, les militaires maliens rallient le MNLA.

 

les «Amis de la Syrie» resserrent l'étau autour du régime de Damas
Les participants à la conférence ont également reconnu dans leur déclaration le CNS comme «un représentant...

Culture

Début des Journées du film méditerranéen à Alger
Le cinéaste turc, Nuri Bilge Ceylan, était présent, samedi soir à la salle Cosmos au complexe Riad El Feth, à Alger,...

 

Une touche pour de belles soirées
Une soirée musicale, animée par les groupes 6 Rock’O, Bermudes et le guitariste Amar Sundy, s’est déroulée,...

 

Hommes d’affaires et industriels

Les lobbies à l’assaut du Parlement

le 02.04.12 | 10h00

 
 

A quelques jours du début de la campagne électorale pour les législatives du 10 mai, la question de son financement n’a toujours pas été tranchée au niveau des partis politiques.

Si certains avouent devoir compter sur les cotisations des adhérents et autres participations des sympathisants, d’autres, en revanche, se disent encore dans l’expectative et en appelle à l’aide de l’Etat. Les hommes d’affaires et autres industriels, qui représentent une alternative non négligeable, rechignent officiellement à mettre leur argent dans la bataille. Entre les chefs d’entreprise et les partis, la confiance est loin de régner, la faute à des pratiques opaques qui ont entaché la réputation des uns et des autres.  

Habib Yousfi, président de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), se dit «contre l’idée de financer des partis», estimant que «ce financement a jusque-là été occulté». Et pour cause, les informations sur des individus qui ont financé des formations politiques en contrepartie d’une position sur une liste électorale relèvent de la notoriété publique et cela «dévalorise les partis politiques», selon M. Yousfi, pour qui rien ne sera fait «tant que nous n’aurons pas de vision claire sur le programme économique des partis».

Pour Abdelaziz Mhenni, président de la Confédération des industriels et des producteurs algériens (CIPA), les réserves sont ailleurs. «Nous sommes le partenaire social de l’Etat et nous sommes donc partie prenante dans toutes les questions qui concernent l’intérêt national.» Il n’est donc pas question de soutenir l’opposition, d’autant que l’organisation est à caractère économique et n’a à ce titre pas vocation à faire de la politique. Toutefois, précise M. M’Henni, «il est libre à chacun, même de membre de l’organisation d’aider des partis s’il le souhaite, à titre individuel, la loi ne l’interdit pas». Pour l’heure, dit-il, aucun membre de la CIPA ne l’a fait et aucune formation politique «ne nous a sollicités», mais «s’il y a un homme d’affaires qui souhaite s’engager dans un parti pour ses propres intérêts, il a le droit de la faire».

D’autant plus qu’aujourd’hui «les partis vendent leurs places en contrepartie de financements et l’Etat laisse faire». Et des hommes d’affaires qui s’engagent en politique, ce n’est pas cela qui manque. Selon le porte-parole du Parti des travailleurs, Ramdane Tazibt, «les hommes d’affaires et les importateurs composent plus de 10% de l’APN» et leur pouvoir ne serait pas négligeable, puisque, a-t-il expliqué, «le lobby des importateurs de la friperie a abouti à convaincre des députés à voter le maintien de ce créneau».
La connivence entre l’argent et la politique n’est pas à démontrer et pour certains partis qui viennent de voir le jour, rechercher le soutien des hommes d’affaires, importateurs, industriels, etc., est presque une nécessité, bien qu’officiellement, ils se défendent d’être mus par une telle volonté.

Intérêts et convictions

«Nous sommes ouverts aux hommes d’affaires, mais pas exclusivement à eux. La majorité de nos militants ne le sont pas d’ailleurs», explique Idriss Rebouh, responsable de la communication du Front pour le changement. «Même si nous en avons dans nos rangs, ce ne sont pas forcément de gros hommes d’affaires, ils peuvent être des commerçants, des importateurs», dit-il. En tout état de cause, «ceux qui sont avec nous le sont par conviction, parce qu’ils adhèrent à nos idées et à notre idéologie».  
Du côté de Moussa Touati, président du Front national algérien, c’est quasiment le même son de cloche : «Nous n’avons qu’une douzaine d’hommes d’affaires sur nos listes, mais nous avons plus de 400 fonctionnaires et même des chômeurs». Personne «n’est obligé de mettre des centaines de millions de centimes pour être sur une liste chez nous. Même ceux qui cotisent avec 100 DA ont cette possibilité».

Pourtant, M. Touati n’a eu aucun mal à déclarer il y a quelques semaines que «les candidats qui veulent figurer sur une liste doivent émettre sur le compte bancaire du parti des sommes oscillant entre 100 et 500 millions de centimes, afin de financer la campagne électorale». Une déclaration qu’il ne regrette aucunement puisque, dit-il, «nous préférons le dire clairement, au lieu de faire cela sous la table comme d’autres le pratiquent dans d’autres partis» et d’ajouter : «Nous n’avons forcé la main à personne».
Si le FNA le dit aussi clairement, c’est parce que les pratiques occultes sont répandues et la référence à l’argent, n’est pas toujours liés aux hommes d’affaires et autres industriels. Si les partis se défendent évidemment d’avoir recours à ces financements, ils ne nient pas pourtant leur existence.

«Nous n’avons pas une stratégie qui consiste à aller chercher l’argent des hommes d’affaires, mais il est vrai qu’il y en a qui viennent nous voir dans l’espoir d’utiliser leur argent pour acheter des places sur nos listes», nous dit M. Rebouh. «Depuis que c’est l’ouverture devant la création des partis, les gens achètent des voix très facilement surtout quand ils trouvent de petits partis qui ont besoin d’argent». Hamlaoui Akouchi, du Rassemblement de l’Algérie verte, reconnaît qu’«il y a des gens qui sont venus avec des milliards nous proposer leur argent pour être sur nos listes, mais nous n’avons pas accepté. C’est des gens qui ont l’habitude de corrompre et d’être corrompus». «Une candidature, ça se paye, tout simplement. On l’achète aujourd’hui, comme on achète des registres du commerce», affirme pour sa part, M. Touati, qui en veut pour preuve le fait que des partis qui «viennent d’être agréés puissent avoir les moyens de présenter des listes sur toutes les wilayas». Ce qui n’aurait pas été possible n’était les financements douteux, laisse-t-il entendre.                        

Safia Berkouk

 
 

Législatives du 10 mai : Des citoyens dénoncent le parti pris de l’administration à Bouira

le 02.04.12 | 13h44

| © elwatan.com
 

Des dizaines de citoyens, des membres des comités de villages et de la société civile se sont déplacés ce lundi 2 avril, au niveau de la permanence du candidat Ahmed Yahiaoui, tête de liste indépendant, et ce, à la suite de l’annonce faite, hier, dimanche, par le DRAG de la wilaya de Bouira du rejet de cette liste.

«Cette liste dérange. C’est de la pure manipulation de l’administration qui a abdiqué aux pressions de certains candidats », disent-ils. Dans un point de presse animé dans la matinée de dimanche par le DRAG de la wilaya de Bouira, M Ouali Akli en l’occurrence, a expliqué que le motif de ce rejet relève du non respect des procédures juridiques. Selon lui : « La candidature a été rejetée puisque 90 % des souscriptions ont été validées par un P/APC qui était en période de congé de maladie ».

Interrogé, le maire de la commune de Saharidj, Belkacemi Ali, a déclaré à el watan.com, qu’il a agi dans le cadre de ses prérogatives. Un membre du directoire de campagne de cette liste a précisé que ce sont les coups d’un député qui a fait pression sur l’administration pour qu’aujourd’hui des réserves soient émises sur cette liste.

De son côté, un candidat de la liste en question dite El Moustakbel Al Afdhal s’est montré confiant envers la justice et affirme qu’un recours a été introduit ce matin devant le tribunal administratif tout en arguant que le motif de rejet ne tient pas la route.

Amar Fedjkhi

 

 

 

 

Bouira : les propriétaires des fusils de chasse ont marché

le 02.04.12 | 10h00

Les propriétaires de fusils de chasse de Bouira ne veulent pas lâcher prise.

Afin d’interpeller, pour la énième fois, les pouvoirs publics sur ce dossier, ils se sont rassemblés hier sur la place publique et ont ensuite marché jusqu’au siège de la wilaya où un sit-in a eu lieu pendant près de trois heures.   Les dizaines de propriétaires qui ont protesté devant la wilaya veulent à savoir quand l’opération de restitution va commencer.

«Nous voulons que les autorités locales nous informent : quand vont-ils commencer la restitution de  nos fusils ?», a déclaré M. Recham, représentant des propriétaires des fusils de chasse. Ainsi, une délégation a été reçue par le chef de cabinet du wali, Berkane Kamel. Ce dernier, affirme un membre de la délégation, a tenu à réitérer que le wali de Bouira tiendra ses engagements quant à la restitution des fusils de chasse.

Ali Cherarak
 Des membres du MJIC embarqués par la police

le 02.04.12 | 15h31

Des membres du mouvement de la jeunesse indépendante pour le changement (MJIC) ont été arrêtés ce lundi 2 février aux environs de 15h. Ils ont été arrêtés par la police alors qu’ils distribuaient des tracts pour appeler au boycott des élections du 10 mai prochain. Même un journaliste de la chaîne ARTE qui était en leur compagnie a été également embarqué.

Les membres du MJIC ont élu domicile la placette de la Grande Poste pour commencer leur action axée dans un premier temps sur une opération de sensibilisation.

D’après une membre du MJIC, «plusieurs passants se sont montrés intéressés et se sont montrés prêtes à boycotter les législatives prochaines »

A l’heure même où nous mettions cette information en ligne, les membres du MJIC en nombre de quatre (4 ) et le journaliste de la chaîne ARTE se trouvaient toujours au commissariat de Cavaignac.

Hamida Mechaï
 


02/04/2012
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