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0055-/-Actualité du MARDI 24 Février 2015

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Le ministère de l’Education lance un ultimatum de 48 heures aux grévistes

Nachida Kouadri / version française: Moussa K.
 
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Le bras de fer se durcit de plus en plus entre le ministère et le Cnapest, où chacune des deux parties ne semble point être prête à faire des concessions, dont la première a décidé de hausser le ton en menaçant de déclarer vacants les postes désertés par les enseignants, une fois expiré son ultimatum de 48 heures.

Comme deuxième mesure après celle statuant sur l’illégalité du débrayage observé par le Cnapest, les différentes Directions de l’éducation devraient procéder dès mardi 24 février à déclarer vacants les postes des enseignants grévistes, a-t-on appris de sources bien informées.

Les directeurs de l’éducation ont également été chargés de rappeler aux enseignants l'illégalité de leur débrayage, selon le verdict rendu jeudi dernier par la justice ordonnant l'arrêt de la grève à laquelle a appelée le Cnapest tout en leur envoyant des mises en demeure.  

En effet, les enseignants n’ont que 48 heures devant eux pour rejoindre leurs postes, faute de quoi, ils risquent de voir leurs postes déclarés vacants pour abandon de poste.

Pour faire face au débrayage qui se poursuit, le département de Benghebrit tente de se débrouiller tant bien que mal de faire appel à des retraités pour dispenser des cours aux candidats au baccalauréat. Néanmoins, ces derniers ont refusé que l’on remplace leurs enseignants par des retraités, sachant que selon des chiffres en notre possession, 90% des enseignants grévistes exercent en classes terminales et proposés à la correction des copies du baccalauréat.

Notons que la grande partie des candidats au baccalauréat ne comptent pas énormément sur les enseignants, mais plutôt sur le privé, dont les cours sont dispensés par des diplômés autres que les enseignants ainsi que par des agents exerçant d’autres fonctions. 

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Intervention militaire en Libye: l’Egypte se rétracte

Lakhdar Rezaoui/version française :Rachel Hamdi
 
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Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukri, a affirmé que les positions algériennes concernant la crise en Libye sont claires, en référence au rejet de toute intervention militaire en Libye tout en soutenant la solution politique, chose qui donne l’impression que les ambitions belliqueuses égyptiennes semblent avoir été revues à la baisse.

Le ministre égyptien a dévoilé, lors de son intervention à la chaîne «CBC» que l’Egypte coordonne actuellement avec l’Algérie pour trouver une solution à la crise sécuritaire qui secoue la Libye depuis quelques années, clarifiant que la politique algérienne préfère toujours résoudre les différends entre les parties en conflit et de s’appuyer principalement sur la solution politique comme meilleur remède au conflit libyen.

Finalement, mercredi soir, le ministère égyptien des Affaires étrangères a annoncé qu'il n'y avait «aucune demande d'intervention militaire étrangère» en Libye dans le projet de résolution présenté par les pays arabes au Conseil de sécurité de l'ONU. Ce dernier a notamment changé de ton concernant la livraison d’armes au gouvernement libyen, quand il a dévoilé aux représentants des cinq membres permanents du Conseil de sécurité (Chine, France, Russie, Etats-Unis et Grande-Bretagne), qu’il attend un assouplissement des restrictions sur les livraisons d'armes au gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale.

«Nous nous complétons, nous avons le même objectif qui est maintenir la souveraineté libyenne, l’unité du sol  et du peule libyens», a-t-il dévoilé  en référence à l’abandon de l’Egypte de mener une intervention militaire en Libye.

L’Egypte a enfin reconnu la victoire de la solution politique contre l’intervention militaire comme ultime solution à la crise libyenne.

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L'info en continu

Dérapage du PDG d’ooredoo : La caution de Hamid Grine

Ceux qui s’attendaient à un rappel à l’ordre de la part des autorités, viennent d’être édifiés sur les intentions du pouvoir concernant la presse à travers le soutien apporté, hier à Mascara, par le ministre de la Communication au patron d’Ooredoo.

L’instrumentalisation de la publicité assumée publiquement : Les pressions politiques sur les annonceurs se confirment

Joseph Ged se défend de tout «chantage»

Affaire Saipem-Sonatrach : Les révélations téléphoniques de Scaroni

Anniversaire du 24 février : L’opposition à l’épreuve du terrain

En solidarité avec la population d’In Salah : Des sit-in dans différentes villes du pays

Ali Yahia Abdennour à Tizi Ouzou : «Les jeunes doivent se mobiliser»

Soufiane Djilali. Président de Jil Jadid et membre de la CNLTD : «Depuis le quatrième mandat, on assiste à l’effondrement symbolique du régime»

Gaz de Schiste : Vers la création d’un Observatoire indépendant

Nouar Larbi au forum de Liberté : «Sans garantie des hautes autorités, pas d’arrêt de la grève»

 

CAN-2017 : Abo Rida confirme ce que Berraf a avancé

Qui aura l’honneur d’organiser la CAN-2017 ? Après le retrait de l’Egypte, annoncé dimanche, trois pays restent en course. L’Algérie, le Gabon et le Ghana. La Confédération africaine de football (CAF) annoncera le nom de l’heureux élu le 7 avril prochain au Caire.

ASO Chlef : L’effectif au complet face au CRB

Ligue 1 (21e J). USMA - CSC : Ultime chance pour Belhout

EN A’ : Les stages réactivés

Judo : Une championne olympique japonaise à Alger

«Saharamarathon» : 530 athlètes sur la ligne de départ

 

ECONOMIE

Laboratoires Vénus : Cap vers l’exportation

Pour les laboratoires Vénus, l’année 2015 sera celle de l’exportation. Le chiffre d’affaires de ce groupe enregistre annuellement une croissance de 8 à 9%.

Industrie : Création de douze groupes publics

Indices

Insécurité alimentaire, dépendance aux hydrocarbures, importations massives : L’économie algérienne reflet d’une souveraineté hypothéquée

Symbole de la souveraineté nationale : La sécurité alimentaire fragilisée par la hausse des importations agricoles

Equipements et savoir-faire importés pour des résultats insignifiants : Une industrie à faible puissance

 

Le gouvernement exclut ses compagnies des projets publics : La Turquie éjectée de Libye

La Turquie et le Qatar, qui ont financé et soutenu militairement le renversement, durant l’année 2011, du régime de Mouammar El Gueddafi, n’auront pas leur part du «gâteau libyen». Ainsi en a décidé, dimanche soir, le gouvernement libyen reconnu par la communauté internationale.

Il était une figure de la révolte anti-Moubarak : Alaâ Abdel Fattah condamné à 5 ans de prison

Brèves

Des milliers d’immigrés victimes d’une politique migratoire xénophobe : Quand l’Europe cautionne les atteintes aux droits humains en Grèce

Une réglementation contradictoire avec les principes universels : Le droit d’asile bafoué

Montée des actes antimusulmans : de l’islamophobie ordinaire chez Zeus !

 

Les Oscars consacrent le réalisateur mexicain Alejandro Inarritu : Birdman, meilleur film de l’année

Cette fiction de deux heures a obtenu également l’Oscar du meilleur réalisateur, meilleur scénario et meilleure photographie. Les cinéastes mexicains s’imposent donc dans la galaxie d’Hollywood, puisque l’année dernière la statuette dorée est revenue à Alfonso Cuaron pour son sublime Gravity. Magistralement interprété par Michael Keaton, Thomson Rigan, le personnage central de Birdman est un comédien qui veut retrouver les planches et la gloire après une carrière de super héros.

Institut Français D’Alger : Les yeux du désert ou la passion de deux artistes

Comédie musicale en Kabyle : Huska, la fiancée de la pluie

Réda Kateb, acteur : Un «pro» fête son César

Quelques réalités sur le divorce des Algériens avec la lecture et le livre... (Infographie)

Triomphe de Timbuktu aux Césars 2015 : Abderrahmane Sissako au 7e… art

 

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Dérapage du PDG d’ooredoo : La caution de Hamid Grine

le 24.02.15 | 10h00

 
 

Ceux qui s’attendaient à un rappel à l’ordre de la part des autorités, viennent d’être édifiés sur les intentions du pouvoir concernant la presse à travers le soutien apporté, hier à Mascara, par le ministre de la Communication au patron d’Ooredoo.

Hamid Grine poursuit sa croisade contre la presse indépendante et cautionne le dérapage de Joseph Ged. Vingt-quatre heures après la déclaration scandaleuse et répréhensible de Joseph Ged, PDG de la multinationale de téléphonie mobile Ooredoo, le ministre de la Communication lui apporte un soutien éhonté.

Un membre du gouvernement et un patron d’une multinationale qui se liguent contre les médias. L’ancien attaché de presse de Djezzy, nommé ministre dans le gouvernement de Sellal au lendemain de la reconduction de Bouteflika pour un quatrième mandat, a indiqué, hier à partir de Mascara, qu’il «ne peut que souscrire une pareille déclaration» et que selon lui, les propos du patron de l’opérateur de la téléphonie mobile lui paraissent «pragmatiques, rationnels, professionnels et éthiques».

Ainsi Hamid Grine s’érige en nouveau procureur de la bien-pensance. C’est donc un membre du gouvernement qui défend un patron privé qui a associé son entreprise à l’émirat du Qatar. La connivence entre les deux personnages est manifeste pour porter un coup dur à une presse jalouse de son indépendance éditoriale. Ce dérapage appelle une réaction forte du gouvernement Sellal et un rappel à l’ordre de son ministre, sinon il se rend complice de la forfaiture.

Car, les propos tenus par le patron d’Ooredoo ne sont ni rationnels ni professionnels. Joseph Ged s’est permis de sommer les journalistes algériens de ne pas critiquer le gouvernement algérien et le Qatar. «Nous ne cautionnerons d’aucune façon des attaques personnelles, ni envers l’Algérie ni envers le pays d’où a commencé l’aventure Ooredoo, le Qatar, à défaut de quoi elle ( la presse) sera privée de publicité», a-t-il déclaré mercredi soir, sous les applaudissements de son ami le ministre. Un grave précédent. En termes clairs tout journal qui ose critiquer les gouvernements algérien ou qatari sera privé de la publicité de l’opérateur de la téléphonie mobile Ooreddo.

Un odieux chantage revendiqué et assumé publiquement qui a provoqué une levée de boucliers chez la corporation. Des journalistes ont dénoncé des «propos irrévérencieux d’un PDG alors qu’il n’a pas à s’immiscer dans un débat qui ne le regarde pas et qui ne le concerne ni de près ni de loin». Si les propos du patron de la multinationale qatarie sont aussi répréhensibles que condamnables, le soutien qui lui apporte le ministre de la Com’ de Bouteflika est encore plus scandaleux.

Louisa Hanoune n’a pas eu tort d’assurer que «nous sommes en train de constater le délitement de l’Etat algérien à cause de la jonction violente entre les institutions de la République et les hommes d’affaires». Il faut dire que depuis la reconduction de Abdelaziz Bouteflika, le clan a déclaré une guerre économique aux médias indépendants pour les soumettre. Le ministre de la Communication, Hamid Grine, s’est chargé de la sale besogne en passant son temps à harceler des titres de la presse écrite pour façonner un paysage médiatique servile.

Usant de la publicité comme arme de guerre pour soumettre les journaux, des membres du gouvernement «exhortent» les annonceurs privés, algériens et étrangers, de ne pas placer leurs annonces dans des journaux connus pour leur ton critique. Si certaines entreprises résistent, d’autres par contre ont cédé face aux pressions visant à assujettir la presse. Le procédé relève beaucoup plus de pratiques «dignes de milieux mafieux» comme le dénoncent nombreux acteurs politiques nationaux.

Cependant, la sortie du patron de l’entité algérienne du groupe Ooreddo a dépassé tout entendement, en demandant aux journalistes algériens de ne pas dire du mal de l’émirat du Qatar. Cet Etat dont l’ex-chef de la diplomatie ne s’est pas gêné de «remettre à sa place» Mourad Medelci lors d’une réunion de la Ligue arabe sans que cela suscite la moindre réaction officielle. En somme, c’est une immixtion flagrante dans les affaires internes de l’Algérie puisque le patron d’Ooredoo a laissé entendre que tout propos critique de la presse nationale à l’égard du Qatar est à caser dans le registre de l’atteinte à l’éthique.

Pour rappel c’est le même patron de la multinationale avec la complicité des responsables sportifs locaux qui avait tenté de «détourner» l’équipe algérienne du football à son retour de la Coupe du monde vers Doha. Une manœuvre opérée par l’émir lui-même, mise en échec à la dernière minute. D’autres manquements ont été commis par la multinationale, mais les autorités avaient fermé les yeux. On attendait naïvement un rappel à l’ordre de ces mêmes autorités après les dérapages de mercredi dernier. Voilà que le gouvernement, à travers le ministre de la Communication, s’est fendu d’une caution.



 

Hacen Ouali

 

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Anniversaire du 24 février

L’opposition à l’épreuve du terrain

le 24.02.15 | 10h00

 
	L’opposition renoue avec la protestation de rue et risque d’être confrontée à l’interdiction des manifestations

 
L’opposition renoue avec la protestation de rue et risque...

Longtemps plombés par des divergences artificielles et des guerres de leadership, les partis et les personnalités regroupés au sein de l’ICSO prendront le pouls de leur force de mobilisation.

L’opposition descend aujourd’hui dans la rue. C’est la première fois que des partis, regroupés d’abord en deux entités, la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) et le Pôle des forces du changement, les deux activant sous la bannière de l’Instance de concertation et de suivi de l’opposition, décident de mener des actions communes sur le terrain.

Si les initiateurs des sit-in de solidarité et de soutien avec les citoyens d’In Salah, mobilisés contre l’exploitation du gaz de schiste, insistent sur le caractère dépolitisé des rassemblements qui auront lieu aujourd’hui aux chefs-lieux des wilayas du pays, il n’en demeure pas moins, même s’ils évitent de le dire, que les manifestations auxquelles ils ont appelé sont éminemment politiques.

L’opposition, opprimée par le biais des fraudes électorales, la fermeture de tous les espaces publics, l’interdiction des marches, notamment à Alger, entend cette fois-ci reprendre l’initiative. En tenant à donner de la voix aujourd’hui, le rassemblement de l’opposition, qui est parti de la conférence de Mazafran en juin 2014, passe des sit-in de soutien aux contestataires du sud du pays contre l’exploitation du gaz de schiste, à un autre défi dans le bras de fer qui l’oppose aux tenants du pouvoir, celui de marquer son existence sur le terrain de l’action.

Longtemps plombés par des divergences artificielles et des guerres de leadership, les partis et les personnalités regroupés au sein de l’ICSO prendront, c’est incontestablement l’un des objectifs assigné à leur démarche, le pouls de leur force de mobilisation. Donc, au-delà de leur solidarité avec les citoyens du Sud, qui manifestent depuis plusieurs semaines contre l’exploitation du gaz de schiste, les partis de l’opposition vérifieront aujourd’hui si leur initiative et le discours qu’ils développent depuis la conférence de Mazafran, trouvent un écho dans la rue, chez les citoyens.

A cette première épreuve du terrain, l’opposition, regroupée au sein de l’Instance de concertation et de suivi de l’opposition, sait pertinemment que les communiqués, les déclarations et autres conférences thématiques dénonçant la gouvernance du système de Bouteflika, remettant en cause la légitimité du chef de l’Etat, et ce dernier étant malade, sa capacité à gérer les affaires du pays, ne mèneront à rien, si elle ne sort pas du virtuel et constitue un rapport de forces dans la réalité.

Et ce ne sera certainement pas une sinécure. La classe politique, après des années de congélation, d’effritement, de guerre de positions, d’oppression et de dissidence, va-t-elle enfin pouvoir affirmer son existence en dehors des salons, en s’imposant comme une véritable alternative sur le terrain à un régime qu’elle qualifie de «finissant, dépassé et dangereux pour le pays» ? Elle aura à passer deux tests aujourd’hui : le premier est en effet celui de la mobilisation.

La manifestation drainera-t-elle une foule nombreuse ? Les Algériens sont difficilement mobilisables ces dernières années, en raison, entre autres, de la dépolitisation massive et violente menée par le pouvoir de Bouteflika, et du discrédit qui a frappé la classe politique qui s’est, souvent, prêtée au jeu.

Deuxième test, l’opposition aura aussi à passer l’épreuve de la force face à l’interdiction des manifestations publiques et des marches à Alger. Si elle arrive à briser l’embargo sur l’activité politique dans la capitale, elle  relancera à coup sûr la mobilisation citoyenne qui fait défaut à une opposition qui a pu, pour la première fois, dépasser, un tant soit peu, ses propres divergences.

Si elle suscite aujourd’hui l’adhésion populaire, même sur une thématique qu’elle dit expurgée des relents politiques, l’opposition aura réussi le pari d’avoir pu convaincre une opinion nationale sur l’essentiel de sa vision de sortie de crise pour le pays, et pas uniquement sur sa vision de l’exploitation des énergies fossiles, conventionnelles soient-elles ou non, en Algérie.               
 

Said Rabia

 

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L’instrumentalisation de la publicité assumée publiquement

Les pressions politiques sur les annonceurs se confirment

le 24.02.15 | 10h00

 
	Une véritable guerre est déclarée à la presse au nom de l’éthique et de la déontologie

 
Une véritable guerre est déclarée à la presse...

Les autorités algériennes ont nié l’existence de ces pressions politiques dans la gestion du portefeuille de la publicité. L’affaire Ooredoo, parce que c’en est une, pose la problématique du respect de la souveraineté nationale.

S’il fallait une confirmation des pressions exercées par le pouvoir via le ministre de la Communication et d’autres antennes relais sur les annonceurs d’abord publics, ensuite privés nationaux et étrangers pour boycotter les titres de la presse dont la ligne éditoriale est critique vis-à-vis du pouvoir, c’est désormais fait !

C’est le patron de l’opérateur de téléphonie mobile Ooredoo, Joseph Ged, qui a été chargé de jouer le rôle d’épouvantail en maniant la carotte et le bâton à l’endroit de la presse algérienne. La messe a été dite contre la presse privée qui pousserait l’outrecuidance de critiquer selon un ordre de priorité, d’abord l’opérateur de téléphonie, ensuite le Qatar et enfin le pouvoir algérien.

Cela s’est fait de manière solennelle et officielle en présence du ministre de la Communication, M. Grine, qui se délectait manifestement de cette ruade à l’encontre la presse algérienne. Depuis sa nomination à ce poste, c’est l’unique dossier qui mobilise son énergie au sein de son département ministériel.

Les propos et les «idées» véhiculés par le patron d’Ooredoo au cours de ce dîner qui a provoqué une indigestion dans la profession – auprès des confrères qui ont une autre perception de la liberté de la presse et du respect de l’éthique et de la déontologie – sont, à la virgule près, les mêmes que les leçons de journalisme sur les fondamentaux de la liberté de la presse dispensées par M. Grine depuis son arrivée à la tête du ministère de la Communication. La partition apparaît en effet bien réglée.

Le patron d’Ooredoo s’est cru suffisamment puissant pour dire tout haut ce qui a été secrètement négocié dans les alcôves du pouvoir pour briser les reins aux titres jaloux de l’indépendance de leur ligne éditoriale. Les autorités algériennes, à leur tête le ministre de la Communication, ont eu jusqu’ici le beau rôle de nier l’existence de ces pressions politiques dans la gestion du portefeuille de la publicité.

Les masques sont tombés

A l’inverse, des gestionnaires d’entreprises publiques, des patrons d’entreprises privées nationales et étrangères ont admis, en privé, faire l’objet d’un chantage odieux pour orienter leur budget publicitaire vers des titres, dont la liste est établie ailleurs que dans la sphère de l’entreprise.

A présent que les masques sont tombés, montrant le système dans toute sa laideur, que faire pour protéger la liberté de la presse qui est un acquis historique non pas tant seulement pour les professionnels des médias algériens, mais aussi pour tous les Algériens pour qui la presse constitue l’ultime recours pour faire entendre leur voix. D’autant que l’affaire Ooredoo, parce que c’en est une, pose la problématique du respect de la souveraineté nationale. Aujourd’hui, c’est un partenaire économique à capitaux qataris qui met en demeure la presse algérienne de se mettre au pas et au service du Qatar.

Si on ne met pas le holà, d’autres grosses boîtes étrangères présentes en Algérie, de connivence avec le pouvoir en place, pourraient également être tentées de vouloir dicter à la presse algérienne sa ligne éditoriale pour en faire un outil de propagande au service de leurs intérêts exclusifs et de leur pays. La corporation de manière solidaire, au-delà des calculs d’épicier, la classe politique, les parlementaires attachés aux valeurs démocratiques, la société civile doivent réagir, interpeller le gouvernement sur cet assassinat en direct de la liberté de la presse.

Les réseaux sociaux qui se sont enflammés à la suite de cette déclaration de guerre contre l’honneur et la dignité de la corporation et plus largement de l’Algérie, pays et nation, ont montré la voie à suivre. L’histoire a démontré, à travers certaines expériences dans le monde, comment, par des actions citoyennes, des peuples ont fait plier et déjouer des calculs de multinationales, toutes puissantes soient-elles, qui complotent dans leur dos. 

Omar Berbiche

 

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Insécurité alimentaire, dépendance aux hydrocarbures, importations massives

L’économie algérienne reflet d’une souveraineté hypothéquée

le 23.02.15 | 10h00

 
 

Le 24 février 1971, l’Algérie nationalisait ses hydrocarbures dans une décision à haute valeur symbolique pour un pays nouvellement indépendant. Ironie du sort, 44 ans plus tard, la source de cette souveraineté a engendré une dépendance multiforme. Dépendance aux recettes des hydrocarbures pour financer l’Etat, dépendance aux importations pour l’essentiel de nos besoins de consommation, dépendance à l’expertise étrangère et surtout dépendance vis-à-vis de la rente pétrolière pour maintenir une paix sociale fragile.

A cela, il faut ajouter une désindustrialisation et une insécurité alimentaire qui rendent l’idée même de souveraineté irréaliste. Car, sur le chemin de la construction de la jeune nation algérienne, ce concept a été parfois dévoyé, servant d’alibi pour ralentir les réformes, justifiant de vieux réflexes socialistes ou expliquant l’omniprésence de l’Etat dans la sphère économique. Elle a, certes, été mise à rude épreuve quand elle était en situation de cessation de paiement, le pays était contraint au milieu des années 1990 de se soumettre au bon vouloir du FMI. Mais l’embellie pétrolière a permis au pays de se constituer un matelas de devises considérable, de se débarrasser de la dette extérieure, et même de se constituer une épargne budgétaire.

Dans la pratique pourtant, l’économie algérienne fidèle au principe keynésien de l’Etat, moteur de la croissance, n’a cessé de vaciller entre ouverture anarchique et mesures protectionnistes, évoluant au gré des cours du pétrole. «L’expression de la souveraineté économique n’est pas surprenante dans un pays où l’Etat est le premier investisseur et employeur, où il contrôle la principale source de revenus externes et où une situation de quasi monopole sur le secteur bancaire est maintenue», relèvent l’économiste Mihoub Mezouaghi, et Fatiha Talahite, chercheure au CNRS de Paris, dans un article publié en 2009 sur «Les paradoxes de la souveraineté économique en Algérie».  Pour l’Algérie, souveraineté économique n’est pas synonyme de puissance économique. Logique quand on sait que les besoins alimentaires du pays sont satisfaits à hauteur de 30 à 50% par les importations.

Dans les médicaments, ce sont 60% des besoins qui sont importés. «80% de nos importations sont incompressibles», souligne Hocine Amer Yahia, consultant en entreprise et ancien cadre du secteur de l’industrie.  «Le gros des importations provient des biens d’équipement, les matières et demi-produits qu’on ne trouve pas chez nous», mais aussi des services qui «dépassent 10 milliards de dollars par an, souvent occultés dans les statistiques». «Il y a trop de gaspillage et de fuites aux frontières pour certains produits», déplore-t-il. La dépendance excessive vis-à-vis de l’étranger pour les besoins les plus élémentaires est sans doute l’expression la plus éloquente d’une souveraineté devenue virtuelle. 

Antagonisme

«Pour être souverain en économie, il faut produire», estime Amar Takjout, secrétaire général de la Fédération nationales des industries manufacturières des textiles et cuir. Ce qui n’est pas le cas en Algérie. Pour l’économiste Mourad Ouchichi, «la souveraineté économique passe par un Etat de droit et une économie puissante qui ne peut résulter que d’un investissement productif».

Les réformes menées à partir des années 1980 (restructuration, autonomie des entreprises, privatisations, PAS) auraient dû permettre cette transition économique, mais il n’en a rien été. L’alibi de la souveraineté économique a-t-il servi à faire échouer ces réformes ? Pour Amar Takjout, si les réformes ont échoué, c’est parce qu’elles «ont été imposées par l’extérieur, dans un contexte de crise et conduites sous la contrainte.» Pourtant, certains économistes mettent en avant cet antagonisme entre souci de souveraineté et réformes. «Les réformes ont été avortées, c’est le cas pour Mouloud Hamrouche dans les années 90’ car il y a une crainte de perte du pouvoir de domination sur la société», explique Mourad Ouchichi.

Le pouvoir «en place depuis 1962 sait par intuition que s’il perd le pouvoir économique, il perdra certainement le pouvoir politique», car «il ne tire son statut que par la distribution de la rente pétrolière pour l’achat de la paix sociale dans le cadre d’un contrat tacite avec la société, qui s’interrompt dès que les prix du pétrole baissent». L’échec des privatisations, la frilosité quant à l’ouverture de certains secteurs économiques, les difficultés auxquelles sont soumis les investisseurs étrangers, la discrimination entre secteur public et privé national sont-ils tous la résultante de cette idée de préserver la souveraineté de l’Etat ?

Pour Hocine Amer Yahia, les choses méritent d’être nuancées. L’autonomie de gestion des entreprises publiques n’a pu être conciliée avec «un Etat habitué à gérer par injonction et dépourvu de tout système de régulation et de contrôle», l’initiative d’entreprendre continue «à être bridée devant une panoplie d’obstacles», les privatisations ont «été arrêtées et non pas ratées», et avec l’introduction de la formule 51/49% «il n’y aura plus jamais d’entreprises étrangères à 100% de capital en Algérie si cette formule devait être maintenue pour tous les secteurs».
Mais pour notre interlocuteur, ces méthodes de gestion ne sont pas imputables à «un souci de préservation de la souveraineté économique». Il s’agirait plutôt de «réflexes» induits par «la crainte de perdre une sphère d’influence ou de voir surgir de grands groupes de pression privés qui pourraient devenir incontrôlables», car «on ne veut pas en réalité scier la branche sur laquelle on est bien assis.»

Populisme

A défaut d’une économie productive et de réformes concrètes, la souveraineté économique devient «un concept populiste, galvaudé et instrumentalisé par ceux-là mêmes qui captent la rente» et notamment «la bourgeoisie monétaire ou commerçante qui fait de l’accumulation primitive du capital.» assène Mourad Ouchichi.

Expression d’une reprise en main de son autorité sur ses richesses du sous-sol après avoir repris en main son destin, la souveraineté a fini par devenir un prétexte à l’immobilisme, à l’interventionnisme, au statu quo politique et économique. Un symbole de frilosité face aux menaces extérieures devant lesquelles pourtant l’Etat fait preuve d’un laxisme et d’une inefficacité étonnantes quand il s’agit des importations. L’Etat doit penser à mettre en place «des instruments de régulation, de normalisation et de contrôle que toute économie de marché doit posséder», si on veut réduire les importations et de promouvoir les exportations, soutient Hocine Amer Yahia. C’est comme ça seulement que «l’on peut instaurer et garantir notre souveraineté économique, tout le reste n’est que slogan».
 

Safia Berkouk

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Ligue 1 (21e J). USMA - CSC : Ultime chance pour Belhout

le 24.02.15 | 10h00

 
	Sur la sellette, le coach constantinois n'a pas droit à un second faux pas de suite

 
Sur la sellette, le coach constantinois n'a pas droit à un...

Le président clubiste Omar Bentoubal pourra le nier tant qu’il veut, mais la rencontre avancée de la 21e journée du championnat, qui mettra aux prises, cet après-midi au stade de Bologhine, l’USM Alger avec le CS Constantine, risque d’être la dernière pour le coach Rachid Belhout.

Pour beaucoup au sein de la formation constantinoise, le départ du technicien n’est plus qu’une question d’heures, d’autant plus que les résultats ne plaident pas en sa faveur, avec un mois de février chaotique pour le Chabab de Constantine, qui n’arrive plus à récolter le moindre succès, surtout après une élimination en 8es de finale de coupe, dans une épreuve qui tenait aux Constantinois.

Un sommeil de l’équipe qui commence à peser sur l’esprit des Sanafir qui n’arrêtent plus de grogner. C’est dire que ce déplacement du côté de la capitale pour affronter l’USMA est bel et bien le match de la dernière chance pour Belhout et ses poulains, en regroupement depuis trois jours à El Biar, sur les hauteurs d’Alger, au lendemain de leur match de coupe face à la JSK, pour préparer ce rendez vous de championnat. Coté effectif, les nouvelles ne sont pas aussi reluisantes. L’athlétique défenseur Berthé, a passé les dernières heures aux soins, tout comme son coéquipier Bouhenna. Ajoutez à cela le forfait du duo Bahri-Bencherifa.

Des absences qui risquent d’influer négativement sur le rendement collectif du CSC, surtout que tous les éléments signalés sont  des titulaires. Autant d’absents ne faciliteront pas la tâche à un CSC qui sera mis à rude épreuve face à des Algérois décidés à décrocher les trois points qui les rapprocheront du duo MOB-ESS en tête du classement.

Enfin, mathématiquement l’année du CSC est loin d’être finie. Arracher une place qualificative pour une compétition africaine reste possible pour les Verts, à la condition d’y croire jusqu’au bout et bien gérer le reste du parcours. Un objectif et une mission réalisables aux yeux de la direction clubiste, à sa tête Bentoubal, qui croule sous une pression terrible ces derniers temps.

Abderrahmane H.
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Non, l'EI n'a pas brûlé vifs des enfants enfermés dans une cage

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24/02/2015
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