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Vendredi 10 Août 2012

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coupures d'électricité : 6 millions d'Algériens affectés

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Coupures d'électricité : 6 millions d'Algériens affectés

le 10.08.12 | 10h00

 
 

Constantine, Tizi Ouzou, Alger..., la grande majorité des wilayas sont touchées par les coupures d’électricité. Sonelgaz met en cause l’utilisation abusive de climatiseurs. Mais en réalité, c’est tout le système qui est en panne, de l’absence de décision de l’Etat au manque de civisme des consommateurs en passant par la vétusté du réseau.

Le prix de l’électricité est trop bas

«L’augmentation du prix des tarifs de l’électricité est inévitable, mais l’Etat tarde à prendre la décision par peur de provoquer des troubles au sein de la population, explique un cadre de Sonelgaz qui a requis l’anonymat. En retardant cette décision, c’est l’avenir de l’entreprise qui est hypothéqué.» Plombé par une dette qui avait atteint 380 millions de dinars en 2010, l’entreprise continue de fonctionner grâce à l’aide financière que lui accorde l’Etat. Cette situation a poussé Noureddine Boutarfa, PDG de l’entreprise, à monter en première ligne pour demander aux pouvoirs publics une révision des tarifs de l’électricité d’autant qu’à l’horizon 2017, l’Algérie aura besoin d’investir 18 milliards d’euros pour doubler ses capacités actuelles de production, de transport et de distribution de l’électricité. M. Bouterfa considère à ce propos que la rationalisation de la consommation de l’électricité ne peut se concrétiser sans une augmentation des tarifs, surtout que ces derniers, qui n’ont pas bougé depuis 2005, doivent être revalorisés de 11% chaque année pour pouvoir financer les investissements liés à l’augmentation de la capacité de production. «Il n’y a pas de politique d’économie d’énergie sans politique des prix. Nous aurons un rendez-vous avec les augmentations», a-t-il averti.

«Cette solution permettra d’inciter à plus d’économie d’énergie. Et l’économie d’énergie est le meilleur gisement d’énergie», confirme Abdelmadjid Attar, ancien ministre des Ressources en eau. Pour autant, une augmentation des prix ne doit pas se faire au détriment de tous les consommateurs, selon l’économiste Abderrahmane Mebtoul. «Il faut créer une chambre de compensation pour redistribuer l’aide aux foyers qui en ont besoin pour payer cette énergie», estime l’économiste. Cette aide doit se faire en fonction des revenus, selon lui. Mais elle nécessite une mobilisation gouvernementale. «Il faut enquêter pour connaître les besoins réels de la population. Or, le gouvernement n’a pas de système d’information. Il ne régule rien et distribue des subventions à tout le monde», déplore Abderrahmane Mebtoul.

L’état a réduit ses investissements (vers Sonelgaz)

Compte tenu des prix réduits de l’électricité, Sonelgaz n’obtient les crédits nécessaires à son développement que grâce à l’Etat. «De gros investissements auraient dû être faits il y a dix ans, en matière d’accroissement des capacités de production en fonction d’une projection des besoins», regrette Abdelmadjid Attar, ancien ministre des Ressources en eau. «Il est difficile de rattraper 5 à 10 ans de retard dans ce domaine», ajoute-t-il. En rendant publics les besoins en financement de Sonelgaz pour les prochaines années, le PDG de Sonelgaz, Noureddine Boutarfa, prend à témoin les Algériens sur les besoins d’investissements auxquels son entreprise est tenue de faire face pour assurer un été sans délestage. Dans une déclaration faite à un média public, le PDG a estimé que son groupe aura besoin de 3000 milliards (mds) de dinars d’ici à 2020 (40,5 mds de dollars) pour mener à terme ses investissements. «D’ici à 2020, nous avons besoin de 3000 mds de dinars, soit 300 mds de dinars annuellement», a-t-il indiqué. C’est le prix à payer pour éviter l’embrasement de la contestation lors des coupures d’électricité.

La consommation d’électricité estivale bat des records

Pendant la saison estivale, la consommation électrique en Algérie augmente très fortement. Cette hausse est principalement due à l’utilisation des climatiseurs, selon la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG). Le taux de climatisation est passé de 13,8% en 2008 à 32% en 2010. La consommation augmente de manière spectaculaire en cas de fortes chaleurs. «A titre d’exemple, explique un cadre de la CREG, la consommation a diminué de 1600 MW entre le 10 et le 24 juillet 2012, après une baisse sensible des températures.»

Cette importante différence s’explique par trois facteurs, selon la CREG. D’abord, la «culture du confort» a changé et un lieu climatisé est synonyme de meilleure productivité. Ensuite, la plupart des appareils vendus sur le marché à bas prix sont inefficaces et consomment beaucoup. Enfin, le citoyen ne prend pas en compte l’augmentation de la consommation énergétique dans son utilisation du climatiseur. Dans ces conditions, les experts affirment qu’il est difficile de gérer une augmentation brutale de la demande en électricité. «Même dans les pays développés, une augmentation de 30% de la consommation provoque des délestages», affirme l’économiste Abderrahmane Mebtoul.

Sonelgaz est toujours en situation de monopole

En économie, l’absence de concurrence est considérée comme un frein au développement. Pourtant dès sa nomination, en 2004, à la tête de l’entreprise par Chakib Khelil,  Noureddine Boutarfa a pour mission de restructurer l’entreprise pour la rendre plus attractive. Pour cela, il peut s’appuyer sur la loi de février 2002 relative à l’électricité et à la distribution du gaz, qui prévoit la fin du monopole réservé à Sonelgaz afin de mieux préparer l’Algérie à ses obligations internationales. Malgré cela, les investisseurs étrangers de l’énergie rechignent à investir dans un secteur qui demande énormément d’investissements et dont les dividendes ne peuvent être escomptés qu’à long terme. Le PDG de Sonelgaz doit aussi accepter des tarifs bloqués depuis 2005,  par un pouvoir qui a peur d’une explosion sociale, alors qu’il milite depuis son arrivée pour une augmentation du prix de l’électricité, considérant que les ménages payent à peine 75% du coût du kilowattheure, et que pour les industriels, le prix du gaz représente le dixième de ce qu’il devrait être.

En réalité, cette ouverture, décidée et voulue par l’ancien ministre Chakib Khelil, va provoquer un tollé dans certains cercles du pouvoir qui voyaient en cette loi les prémices d’une privatisation de l’entreprise. Après le limogeage de Chakib Khelil, le président de la République décide de verrouiller le capital de Sonelgaz en dotant l’entreprise d’un nouveau statut qui ferme la voie définitivement à toute possibilité de privatisation, même partielle de l’entreprise.  Celle-ci est toujours en situation de monopole sur le marché de l’électricité. Mais certains ne considèrent pas cette situation comme handicapante. «Il y a 10 ans, on a cru qu’on pouvait développer le secteur de l’électricité à travers le partenariat avec des producteurs-investisseurs étrangers. On voit le résultat aujourd’hui», explique Abdelmajid Attar, ancien ministre des Ressources en eau.

Des vols, des destructions et des branchements sauvages

La direction de Gué de Constantine de la SDA aurait enregistré à elle seule, durant le premier semestre 2012, 14 vols d’équipements d’une valeur de 5 millions de dinars, et qui ont causé 8 heures de coupure pour chaque vol. Les différents opérateurs de l’électricité affirment tous que les travaux en sous-sol, réalisés par Seal notamment, dégradent régulièrement le réseau électrique souterrain. Sonelgaz enregistre chaque année 400 cas de dégradation de ses équipements. Ajoutez à cela la fraude à l’énergie qui pénalise l’entreprise. «A Bologhine, il y a une centaine de sites de bidonvilles répertoriés dans la localité qui échappent à tout contrôle, reconnaît un cadre de l’entreprise. Tous ces bidonvilles s’alimentent frauduleusement par des branchements sur les compteurs. Cette situation est la cause de nombreuses pannes auxquelles l’entreprise doit faire face. Ce qui est le plus révoltant, c’est la passivité des autorités face à ce problème. Lorsque nous demandons la présence des forces de l’ordre pour effectuer les travaux de réparation, elle nous est refusée sous prétexte que cela ne fait pas partie de leurs missions. En réalité, les autorités ne veulent pas intervenir de peur de devoir affronter la population de ces bidonvilles.»

Le réseau de transport de l’électricité est trop fragile

«La production électrique en Algérie est suffisante, affirme Aziz Ameyoud, directeur au sein de l’Opérateur système électrique. Mais le réseau de transport de l’électricité peut être affecté par une ligne qui se décroche, du fait d’une défaillance ou d’un phénomène naturel.»
Dans le sud du pays notamment, les lignes à haute tension ne sont pas suffisantes. Sonelgaz devrait par conséquent construire deux nouvelles centrales électriques, à Biskra et à El Oued. «Le problème sera éradiqué», affirme Aziz Ameyoud. Sauf que ces problèmes se multiplient dans le pays. A Constantine, 80 000 foyers ont été privés d’électricité dimanche dernier à cause d’une panne. A Alger, c’est une défaillance au niveau d’un poste d’alimentation de haute tension qui a plongé 2 millions d’habitants dans le noir. Le réseau semble craquer de toute part.

Les plans d’investissement ne sont pas appliqués

Le plan d’investissement 2012 n’a pas encore atteint la moitié de ses objectifs, selon le PDG de la Société de distribution de l’électricité et du gaz d’Alger (SDA). Abdelkader Boussourdi met en cause «la lourdeur administrative liée à l’obtention des autorisations de travaux de sous-sol et des assiettes foncières nécessaires pour la création de nouveaux postes électriques».

Des projets impossibles à réaliser

A défaut de régler les problèmes de délestage que subissent les Algériens, le PDG de Sonelgaz préfère élaborer de grands projets pour le long terme. Dernièrement, l’entreprise a annoncé des projets de développement pour les vingt prochaines années, pour un coût total de 74 milliards de dollars. Ces projets devraient permettre à Sonelgaz de produire, à l’horizon 2030, 40% de l’énergie consommée à partir de l’énergie solaire. «Noureddine Boutarfa est un PDG compétent et avisé, mais qui ne décide rien. En Algérie, un gestionnaire est là pour appliquer les décisions qui lui sont imposées  par l’Etat, le plus souvent en dehors de toute logique économique. L’entreprise n’arrive même pas à se faire rembourser les créances  qu’elle détient auprès des administrations et qui creusent son  déficit depuis des années. En 2011,  ce défit a atteint 55 milliards de dinars. C’est pour cela que je doute de la viabilité de ses projets», constate un ancien cadre de l’entreprise.

Les commerçants réclament 12 mois d’électricité gratuite

 

Le porte-parole de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Hadj Tahar Boulenouar demande Un an d’électricité gratuite pour les commerçants. Plus de 400 000 commerçants ont été touchés par les coupures de courant occasionnant une perte sèche de 3 milliards de dinars sur leurs bénéfices, selon les estimations établies par UGCAA. «Les commerçants savent qu’il leur sera difficile de se voir remboursés rapidement leurs pertes. Ils demandent à être exonérés de facture électrique pendant une année. Il y a des risques que certains écoulent sur le marché informel leurs produits périmés pour compenser leurs pertes», avertit Boulenouar Hadj Tahar.

Par ailleurs, le porte-parole de l’UGCAA condamne les lenteurs administratives auxquelles les 13 000 boulangers sont confrontés pour l’acquisition de groupes électrogènes. «Certains boulangers attendent depuis une année que leur indemnisation soit effective. Cette indemnisation devrait se faire sous la forme d’une aide pour l’acquisition de groupes électrogènes», constate M. Boulenouar.

 

Dernière minute :

 

La plus grande partie d’Alger a été plongée dans le noir, mercredi aux environs de 22h. 350 000 foyers sont restés sans électricité pendant deux heures. La pollution, l’humidité et le brouillard seraient à l’origine de la coupure, selon le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité(GRTE), filiale de Sonelgaz. «Ce manque de tension partiel a été causé par l’accumulation de pollution naturelle et celle due à la fumée dégagée par les feux de forêt, aggravées par des conditions atmosphériques exceptionnelles observées hier dans les
régions traversées par les lignes très haute tension», a indiqué hier le GRTE.

 

Salim Mesbah / Yasmine Saïd
 

 

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Concernant les coupures d'électricité

Les mille et une réponses de Boutarfa

le 10.08.12 | 10h00

Nourredine Boutarfa est à la tête de Sonelgaz depuis 2004. Chaque année, il répond aux sollicitations de la presse pour expliquer les coupures d’électricité récurrentes. Morceaux choisis.

-«Il n’y aura pas en principe de délestages d’électricité ni cet été ni au cours de l’hiver 2004-2005. Nous avons suffisamment de réserve pour faire face à une augmentation brusque de la demande ou à une défaillance d’une installation de production.» Liberté 23 juin 2004

-«Il n’y aura pas de délestages en été. Sonelgaz va réceptionner au mois de juin la centrale de Berrouaghia, d’une capacité de 500 MW. Même en cas d’été torride, Sonelgaz ne procédera pas à des délestages.» Liberté 17 juin 2007

-«En novembre 2008, le Maroc mettra en service une ligne électrique de 400 kW à la frontière algéro-marocaine. Ce qui remédiera aux problèmes de chute de tension supportés par le réseau algérien. Ceci génèrera une autosatisfaction ; mieux encore, un excédent énergétique que Sonelgaz compte exporter vers l’Europe via le Maroc.» El Watan 22 juillet 2008

-«Avec l’entrée en service de 7 nouvelles centrales électriques d’une capacité globale de 3500 mégawatts, la production nationale en électricité connaîtra une nette augmentation de 50% par rapport au taux actuel. A priori, Sonelgaz aura une réserve d’énergie électrique très appréciable en 2009, qui lui permettra de gérer le réseau d’électricité sans contrainte et de satisfaire toute la demande.» El Watan 27 octobre 2008.

-«Les Algériens se permettent le luxe dans la consommation sans se soucier de la production. Il faut la rationaliser, notamment dans l’utilisation des climatiseurs. Celui qui a plusieurs climatiseurs peut très bien n’en faire fonctionner qu’un seul.» Horizons 20 juillet 2011

-«L’année 2009 sera moins contraignante que les années précédentes, notamment en matière de capacité de réserve et de transit. Grâce à l’entrée en production des nouvelles centrales tout au long de l’année en cours, nous nous éloignerons définitivement de la gestion de la production à flux tendu et du spectre des délestages.» Liberté 20 janvier 2009

-«Les prix de l’électricité ne seront pas augmentés au cours des cinq prochaines années. L’Etat garantit le financement des investissements de Sonelgaz au cours de cette période.» Liberté 11 octobre 2011

-«L’Algérie n’est pas à l’abri des délestages. Ce n’est pas une question de moyens de production mais un problème de distribution.» Liberté 11 octobre 2011

-«Il n’y aura pas d’augmentation des tarifs de l’électricité au cours des cinq prochaines années.» Liberté 12 octobre 2011

-«Les prévisions sur la demande ne sont pas du ressort de l’entreprise, mais plutôt de l’Etat. La réalisation, le contrôle et l’évaluation du service public ne sont pas du ressort de l’entreprise, mais plutôt de la CREG. Il est vrai que j’ai des connaissances, mais cela ne veut pas dire avoir des responsabilités.» El Watan 7 août 2012

-«Nous prévoyons des taux de croissance à deux chiffres. Plus de 14% ! Nous avons des contraintes dans certaines localités, des défaillances au Sud-Est (délestages). Nous arriverons à des pics de 10 000 MW. En cas de canicule, nous irons vers des délestages. Pas dans tout le pays, mais dans certaines localités.» Liberté 24 juin 2012

-«Pour satisfaire les Algériens, il faudrait un nouveau plan national d’électrification où on ne pensera pas seulement à donner de l’électricité aux Algériens pour la télévision, la lumière et le réfrigérateur, mais on va penser aussi à la climatisation. Mais la réalisation de ce plan nécessite de vendre de l’électricité «à son juste prix».» Liberté 6 août 2012

-«Les recettes actuelles du groupe ne couvrent que les frais d’exploitation. Si la situation reste telle quelle, cela conduira forcément à l’augmentation du déficit budgétaire du groupe. La subvention des prix de l’électricité, ce sont les prochaines générations qui la paieront. La solution réside dans le règlement de la valeur réelle de l’électricité.» El Khabar 13 février 2012

-«Les délestages vont se poursuivre pour la région Sud-Est, et hormis cette région, le système électrique national n’a connu de juin à aujourd’hui que trois jours de difficulté.» El Watan 6 août 2012

-«Le système technique est ainsi fait. Le risque zéro n’existe pas.» El Watan 6 août 2012

-«S’il y a des problèmes au niveau de la production, de la distribution et du transport, ce ne sont pas les filiales qui en sont responsables. Ce n’est pas la faute à telle ou telle société de distribution, si on n’arrive pas à avoir une assiette de terrain pour mettre en place un transformateur électrique.» La Tribune 6 août 2012

Salim Mesbah / Yasmine Saïd



10/08/2012
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