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LUTTE CONTRE LE TERRORISME Ce que n’a pas pu dire le juge Jean-Louis Bruguière


--°°-**LESOIRD ALGERIE du MERCREDI 11 NOVEMBRE 2009-*+Actualités EN DÉPIT DES MENACES DU MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION Les syndicats autonomes maintiennent la pression LEUR SIT-IN DEVANT LA PRÉSIDENCE EMPÊCHÉ Les enseignants contractuels tabassés APRÈS CELLES DE RELIZANE ET DE BATNA La centrale à turbines à gaz de Larbaâ opérationnelle IL COMPTE INVESTIR 4 MILLIARDS DE DOLLARS D’ICI À 2012 Le groupe Cevital se modèle une nouvelle gouvernance PLUSIEURS PROJETS ANNONCÉS PAR AMAR GHOUL À BÉJAÏA Le lancement des travaux de la pénétrante attend depuis plusieurs années ! LUTTE CONTRE LE TERRORISME Ce que n’a pas pu dire le juge Jean-Louis Bruguière HUIT ANS APRÈS LES INONDATIONS DE BAB-EL-OUED Les traces ont disparu, mais les souvenirs sont toujours là ALORS QUE LE RATISSAGE SE POURSUIVAIT TOUJOURS Deux militaires tués dans une embuscade à Guerrouma VISITE DE CHAKIB KHELIL MINISTRE DE L'ÉNERGIE ET DES MINES À AÏN-TÉMOUCHENT Mise en service de la station de dessalement IL CULTIVAIT SON CHAMP À BLIDA Un quinquagénaire tué par la foudre MISE EN SERVICE DE LA TNT Six chaînes de télévision prévues pour la première étape UN RÉSEAU NATIONAL ET INTERNATIONAL DE TRAFIC DE DROGUE DÉMANTELÉ À ORAN Neuf personnes arrêtées et quatre quintaux de kif traité saisie COMMUNIQUÉ DE DJEZZY SUPER PROMO BONUS Du 50 % bonus avec Djezzy Carte ! COMMUNIQUÉ DU SNJ Périscoop Djaâboub veut plus Libération d’un DG Remue-ménage à Chéraga Les Verts chez Bouteflika Directives nocturnes Régions JOURNÉE NATIONALE DE L’ARTISANAT À BOUIRA Sous le signe de l’authenticité et de l’innovation TIZI-GHENIFF Les habitants du lotissement 5-Juillet ferment l’APC du chef-lieu BISKRA Un dispositif de production locale des dérivés du palmier AFFAIRE DU CADRE DE L’OPGI ARRÊTÉ POUR CORRUPTION À ORAN Le procès reporté à lundi prochain EL-BAYADH Des faussaires à Brizina Sports «ALLEZ LES VERTS !» Un drapeau sur chaque maison FOOTBALL À J-3 D’ÉGYPTE- ALGÉRIE Les Verts prêts pour le dernier combat YAZID MANSOURI À OUEST FRANCE : «On peut rentrer dans l’histoire !» VENTE DES BILLETS DU STADE À L’AGENCE AIR ALGÉRIE DE L’AVENUE PASTEUR La clé du Cairo Stadium HAMADOU HAMZA, DE MÉDÉA, ACQUÉREUR DU BILLET N° 01 DU QUOTA ACCORDÉ AUX ALGÉRIENS «L’essentiel est que l’EN se qualifie» SUPPORTERS ALGÉRIENS EN PARTANCE POUR LE CAIRE Partir et revenir glorieux FIFA.COM DONNE LA PAROLE AUX DEUX CHEVRONNÉS, YAZID MANSOURI ET AHMED HASSAN Foi des capitaines LE MATCH ÉGYPTE-ALGÉRIE, FAIT DES HEUREUX PARMI LES COMMERÇANTS «Bizness» florissant Nedjma prévoit des écrans géants dans 4 villes BOXE CHAMPIONNAT DU MONDE ESPOIR WBC-NABF, À TIZI-OUZOU CE JEUDI La remise du titre de Chebah Ali, non confirmée ÉCHECS OPEN INTERNATIONAL DE HAMMAM-SOUSSE Goutali et Bengharabi premiers ex æquo ASM ORAN L’AGO, acte 2 : comme une lettre à la poste ! Chronique du jour DECODAGES La crise économique mondiale est-elle finie ? Par Abdelmadjid Bouzidi abdelmadjidbouzidi@yahoo.fr Le Soir Retraite POINT DE VUE FILS DE CHAHID ET DROIT AUX DEUX CATÉGORIES SALARIALES Les limites de la loi et des textes d'application Des références légales pour mieux comprendre Il était une fois l'Amérique des retraités au... travail ! POUR RAPPEL DANS «LE SOIR RETRAITE» DU 1er JUILLET 2009 Un fils de chahid retraité réclame ses «2 catégories salariales» Le Soir Auto ESSAI NOUVELLE CITROËN C3 Des innovations technologiques pour convaincre Culture LE GROUPE POSE SA «VALISE» À ALGER Soirées latino-africaines à El-Mouggar LE BALLET NATIONAL EN TOURNÉE À L’EST DU PAYS Mosaïque vivante de danses traditionnelles ROMPRE SANS TRAHIR Poésie moderne Actucult Femme magazine Osez la couleur dans votre cuisine ! QUESTION A partir de quel âge les enfants doivent-ils se brosser les dents ? Muffins aux olives noires Pavé coco pistache Vox populi Ce n’est qu’un match de football, l’essentiel est ailleurs ALLEZ LES VERTS, VERS, VERS LA VICTOIRE… MARCHEZ, COUREZ, VOLEZ VERS LA GLOIRE ! HUMEUR DE BATNA La fraternité arabe dans toute sa splendeur LE BILLET DE M. BENREBIAI La folie de l’homme Mots croisés TEXTO Pause-Café Pause-Café Fawri ? (2) … *----MERCREDI 11 NOVEMBRE 2009 --http://www.lesoirdalgerie.com/-

 


Pause-Café
Fawri ? (2)

Krahna. Krahna. Krahna.

Krahna. Krahna. Krahna. Suite...

«ALLEZ LES VERTS !»
Un drapeau sur chaque maison

Le Soir d’Algérie lance une grande opération de soutien à nos capés qui affronteront, le 14 novembre prochain, les Pharaons dans un match décisif pour la qualification à la Coupe du monde de football 2010. Suite...


YAZID MANSOURI À OUEST FRANCE :
«On peut rentrer dans l’histoire !»

N’étant plus à présenter, Yazid Mansouri est un élément essentiel dans l’équipe nationale algérienne. Ayant intégré la sélection nationale en 1999 avant d'en devenir le capitaine en 2006, il a notamment participé à la coupe d'Afrique des nations 2004. Intervenant sur le quotidien français Ouest France, le capitaine de l’équipe nationale algérienne revient sur tout ce qui concerne le déroulement de la rencontre comptant pour la 6e journée du tournoi qualificatif combiné à la CAN 2010 et au Mondial sud-africain de 2010. Suite...


VENTE DES BILLETS DU STADE À L’AGENCE AIR ALGÉRIE DE L’AVENUE PASTEUR
La clé du Cairo Stadium

Un calme olympien prévaut en cette matinée d’hier, à l’agence de voyage Air Algérie de l’avenue Pasteur, loin des rumeurs colportées sur un raz de marée des fans des Verts, venus s’arracher les fameux billets d’entrée du Cairo Stadium pour assister au match Egypte-Algérie de samedi prochain. Suite...



Actualités : LUTTE CONTRE LE TERRORISME
Ce que n’a pas pu dire le juge Jean-Louis Bruguière


Ancien magistrat, Jean-Louis Bruguière a été pendant une vingtaine d’années à la tête de l’équipe française de juges d’instruction antiterroriste de Paris. A ce titre, il a mené des enquêtes sur des centaines de dossiers liés au terrorisme.
De notre bureau à Paris, Khadidja Baba-Ahmed
Considéré comme le meilleur à l’échelle internationale sur ces dossiers, le magistrat choisit en 2007 de se mettre en mise en disponibilité pour se présenter sous les couleurs de l’UMP aux élections législatives, dans le Lot-et-Garonne. Il est battu au second tour par son adversaire socialiste. Libéré, depuis, de ses obligations de magistrat et donc de son obligation de réserve, Jean-Louis Bruguière a écrit, avec Jean-Marie Pontaut, rédacteur en chef de L’express, un livre intitulé « Ce que je n’ai pas pu dire», aux éditions Robert Laffont, disponible en librairie depuis lundi dernier. Dans cet ouvrage qui raconte les grandes enquêtes dont il a eu la charge, l’ancien magistrat consacre évidemment une grande partie aux terroristes algériens, «la menace d’un nouveau type». Dans son livre comme lors de sa conférence de presse de lundi dernier, Jean-Louis Bruguière explique d’entrée de jeu que, très vite, il a pris conscience que la lutte contre le terrorisme n’était pas une lutte nationale, même pas européenne, mais internationale. A l’époque, cela n’était pas évident. Si la France a été, selon lui, «aux avant-postes de la lutte contre le terrorisme islamiste, en l’occurrence le GIA», ailleurs, y a eu une incompréhension, une mauvaise analyse de la situation faite par «nos partenaires européens et surtout par les Américains». Jusqu’en septembre 2001, dit-il encore, les Etats- Unis n’ont pas pris la mesure de la menace d’Al-Qaïda. Et de rappeler qu’en 1994 déjà, Djamel Zitouni a fait exactement ce qu’a fait El- Qaïda en 2001, c'est-à-dire utiliser un avion commercial comme arme de destruction massive. Plus grave que la mauvaise évaluation de la situation de l’époque, l’ancien juge considère que la responsabilité des Etats-Unis dans le développement du terrorisme est colossale. Il y a eu, dit-il, une erreur stratégique et historique de l’administration Bush sur l’Irak, car incontestablement, audelà de la problématique géopolitique, l’invasion de l’Irak a été probablement le plus beau cadeau que les Etats-Unis aient pu faire à Oussama Ben Laden. Et de rappeler qu’au moment où Ben Laden était en difficulté après les frappes de 2001 à 2003 qui l’ont fortement affaibli et ont permis de neutraliser une partie de son réseau, l’invasion de l’Irak a permis à Ben Laden un rebond comme elle a été aussi un cadeau fait à l’Iran. La situation actuelle de risques terroristes intenses «est l’héritage de la disparition de l’Irak, ou en tous cas du chaos qui a été généré par l’intervention dans ce pays». L’autre problème majeur est celui du Pakistan. Là aussi, dit-il, l’on a fait des erreurs et des mauvaises interprétations et cela n’est pas du seul fait des Etats- Unis. Il rappelle que, pour lui, Musharraf n’est pas un personnage fiable, cela, il a eu à le dire devant le Sénat américain. Musharraf a perdu le contrôle administratif de la situation comme il a perdu le contrôle d’une partie de l’armée et des services de sécurité, avec le risque très grand de talibanisation du Pakistan et un effondrement du système. Le vrai problème aujourd’hui pour cet ancien juge n’est plus l’Irak mais la problématique pakistano-afghane.
Sans le choix algérien de l’annulation des élections de 1992, nous aurions eu un Maghreb talibanisé à notre porte
Dans sa description de la «montée des périls» et notamment dans la partie consacrée à l’Algérie et intitulée «l’Algérie, moteur des mouvements islamistes radicaux», Bruguière tord le cou à la thèse de ceux qui ont expliqué et qui continuent d’expliquer le terrorisme algérien par l’interruption en janvier 1992 du processus électoral. Au journaliste, co-auteur qui lui rappelle que l’interruption du processus électoral en Algérie est à l’origine du terrorisme, il répond (page 299) : «Les mouvements islamistes radicaux en Algérie ne datent pas de 1992. Dès les années 1970, des manifestations d’étudiants pro-islamistes apparaissent. Des actes de vandalisme sont commis dans les bars où l’on sert de l’alcool, ou contre les femmes ne portant pas le hidjab.» Et de rappeler que dès sa création le 16 décembre 1989, le FIS «condamne les partis prônant la contradiction » et que le nouveau parti «se montre d’emblée radicalement opposé à la démocratie ». Et au journaliste qui lui dit que cette interruption a été «une décision antidémocratique qui a beaucoup choqué l’opinion occidentale », le magistrat en retraite a, notamment, répondu : «…Aucune démocratie occidentale n’a connu la situation de l’Algérie, avec des mouvements politiques – soutenus en sous-main par des groupes armés – mettant en péril l’ordre démocratique en prônant l’instauration de la charia comme seule règle légale… Le risque d’un embrasement général était réel. Aujourd’hui, avec le recul, il faut bien reconnaître que sans ce choix, nous aurions probablement un Afghanistan à notre porte et un Maghreb talibanisé». Sur le terrorisme dans notre pays, Jean-Louis Bruguière, qui était aux premières loges dans les enquêtes antiterroristes, développe beaucoup certaines affaires dans cet ouvrage et donne des détails dont certains n’étaient pas connus. Aux questions de certains journalistes présents à la conférence de presse de lundi sur le rebondissement de l’affaire Tibehrine, l’ex-magistrat répond qu’il ne se dérobe pas aux questions mais qu’il se refuse à commenter une affaire en cours, il n’en a pas le droit.
K. B.-A.
Ce que je n’ai pas pu dire, livre de Jean-Louis Bruguière, entretiens avec Jean-Marie Pontaut, Editions Robert Laffont.



Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2009/11/11/article.php?sid=91160&cid=2


Actualités : EN DEPIT DES MENACES DU MINISTERE DE L’ةDUCATION
Les syndicats autonomes maintiennent la pression


Le bras de fer entre les syndicats autonomes de l’éducation et le ministère de l’Education nationale n’est pas près de connaître son dénouement. La grève pourrait être reconduite pour une deuxième semaine. La décision sera prise ce week-end. En attendant, les établissements scolaires sont toujours paralysés. Les syndicats posent la problématique des conditions socioprofessionnelles, le devenir de l’école publique mais aussi celle des libertés syndicales.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Les menaces du département de Benbouzid et la décision de justice déclarant la grève illégale ont eu l’effet inverse sur les différents syndicats ayant appelé à la grève. Les syndicats ayant appelé au débrayage tiendront ce week-end leurs conseils nationaux respectifs. La décision sera alors prise quant à la poursuite de la grève. Une option qui semble inévitable. Au troisième jour du mouvement qui a quasiment paralysé le secteur, les syndicalistes sont décidés à aller jusqu’au bout de leurs revendications. Le CLA, le Cnapest, le Snapest et l’Unpef, forts de la mobilisation sans précédent des enseignants, comptent maintenir la pression afin de faire aboutir leurs revendications. Leur stratégie semble avoir bien fonctionné jusque-là : la grève est une réussite totale. Certains syndicalistes n’hésitent pas à faire le parallèle avec la mobilisation de 2003 qui avait totalement paralysé les écoles. Sur le terrain, les enseignants ayant pris part au débrayage font pourtant face à des pressions rarement égalées. En plus de la décision de justice — qui n’a d’ailleurs pas été notifiée aux syndicats —, les directives du ministère sont claires : il ne demande ni plus ni moins aux responsables au niveau local de sanctionner les grévistes. En plus de la défalcation des jours de grève, le ministre demande que ces journées non travaillées soient prises en considération lors de l’évaluation pédagogique des enseignants. Soufflant le chaud et le froid, le département de Benbouzid a, dans une note qu’il recommande de «largement diffuser», rappelé que non seulement il maintenait «ouvertes» les portes du dialogue mais que ces mêmes syndicats sont souvent invités pour concertation. Ce à quoi les syndicalistes répondent qu’ils revendiquent un dialogue «sérieux» et «serein» sans lequel rien ne peut être entrepris. Ils dénoncent les intimidations de la tutelle et estiment qu’ils ont dépassé le stade de la peur. Ils se disent plus que jamais décidés à faire valoir des revendications qu’ils qualifient de légitimes. Ils dénoncent une directive signée par le Premier ministre le 30 septembre 2009 supprimant l’effet rétroactif du régime indemnitaire. Cette directive précise que la date d’entrée en vigueur du régime indemnitaire actuellement en négociation sera la date de sa publication au Journal officiel. Une mesure rejetée en bloc par les syndicalistes qui suspectent le gouvernement de vouloir gagner du temps et de l’argent puisque, disent-ils, si la nouvelle grille de salaire et le statut particulier des enseignants sont déjà appliqués, rien ne justifie que le régime indemnitaire ne soit pas à effet rétroactif. Ils s’adossent également sur une plate-forme qui englobe les conditions socioprofessionnelles, le devenir de l’école publique mais aussi les libertés syndicales. Des revendications qui interpellent, au-delà du ministre de l’Education nationale, tout le gouvernement.
N. I.



Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2009/11/11/article.php?sid=91165&cid=2


11/11/2009
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