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Edition du Lundi 17 Mai 2010

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Dilem du Lundi 17 Mai 2010 | Vu 2081 fois

LE RADAR
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Invitée du Grand-Journal de Canal + samedi soir, la chanteuse française, Diams, s’est distinguée au milieu de la chanson qu’elle a interprétée sur le plateau érigé sur la Croisette de Cannes


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 Hier, des collègues journalistes chargés de la couverture à Djenan El-Mithaq d’une activité du ministère de la Solidarité nationale ont subi les sautes d’humeur de la chargée de communication qui se trouve être la fille du ministre.


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L’Algérie abritera, en sa qualité de vice-présidente, la 50e réunion de la commission de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) pour l’Afrique du 17 au 19 mai.


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À l’occasion de la célébration du 47e anniversaire de l’Organisation de l’union africaine (OUA), l’Union panafricaine des étudiants et stagiaires étrangers en Algérie (UPESEA)


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La troisième tour solaire thermique au monde sera implantée dans la commune de Koléa (Tipasa), a annoncé hier un responsable au ministère de l’Enseignement supérieur


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Vyacheslav Stoyanov est un citoyen bulgare qui effectue le tour de la côte méditerranéenne en vélo. Ayant entamé son périple en février dernier, il est arrivé hier à Alger après avoir traversé 11 pays de la rive méditerranéenne et il lui reste 11 autres à visiter.


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La caravane algérienne d’aides humanitaires aux réfugiés sahraouis effectuera un regroupement le 15 juin à Béchar avant de se rendre le lendemain à Tindouf


Actualité
Par : MALIKA BEN
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Les deux parties s’entêtent. La DG exige la reprise avant la signature de l’accord, et les travailleurs conditionnent la fin de la grève par la fameuse signature. Aucune partie ne veut céder. Une équation pas facile à résoudre pour faire re-siffler le train tant attendu par de nombreux usagers.

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Par : Malika Ben
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 C’est ce qui nous a été annoncé par les membres de la cellule de crise constituée des travailleurs de la SNTF. Après avoir fait le pied de grue devant le siège de la direction générale de la SNTF


Par : L. OUBIRA
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En visite de travail et d’inspection, hier, dans la wilaya de Béjaïa, le ministre des Transports, M. Amar Tou, a souhaité un dénouement immédiat de la grève des cheminots en réitérant son appel à l’ouverture des négociations.


Par : A. Allia
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L’avenir du fret marchandises et notamment du transport de carburant est au centre des préoccupations de la direction régionale Sntf de Annaba au terme de cette première semaine de grève des cheminots


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L’ancien chef du gouvernement a souligné l’urgence d’une meilleure gestion du secteur pour dépasser l’impasse dans laquelle s’est engouffrée l’économie nationale.

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Les questions relatives à l’énergie et à l’environnement seront au menu des travaux du 14e Sommet des chefs d’État et de gouvernement des pays du groupe des 15 (G15) qui se déroulent aujourd’hui à Téhéran (Iran).


Par : Chabane BOUARISSA
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Les habitants se sentant abandonnés ont alors manifesté leur courroux au ministre de l’Habitat qui leur a rendu visite. Ils se sont plaints de l’absence de tentes, de la mauvaise organisation des secours et du manque de vivres.

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Par : Samir LESLOUS
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“Nous constatons avec amertume que nos communes continuent de souffrir le martyre du sous-développement qui ne peut être imputé à une mauvaise gestion des élus ou à un manque d’initiative de leur part”, est-il rapporté dans la déclaration


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Wataniya Telecom Algérie-Nedjma exprime son entière solidarité avec les victimes du séisme qui a ébranlé, vendredi dernier, la localité de Béni Yelman dans la wilaya de M’sila.


Par : A. BOUHAMAM
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À l’occasion du séminaire régional sur  “la prévention contre les intoxications alimentaires”, organisé à l’université Amar Thelidji de Laghouat


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Sept des 13 stations de dessalement de l’eau de mer lancées en Algérie ainsi que les deux importantes conduites d’eau et la gestion de l’eau dans la ville d’Oran, ont été réalisées par des entreprises espagnoles.

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Par : APS
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L’État algérien n’a pas seulement l’intention de racheter l’opérateur de la téléphonie mobile Djezzy, mais il y a dans ce sens une décision, a affirmé hier à Alger le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication


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La wilaya d’Alger porte à la connaissance des lecteurs de la presse nationale, suite aux articles parus les 15 et 16 mai 2010 dans quelques organes faisant état de l’interdiction par le wali d’Alger


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Une première en Algérie et elle est signée Med&Com. Le premier navigateur “Made in Bladi” est enfin né et mis à la disposition des internautes algériens avec un contenu 100%local

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Edition du Lundi 17 Mai 2010

Actualité

Reprise probable ce matin du trafic ferroviaire
Dernière minute

Par : Malika Ben


 C’est ce qui nous a été annoncé par les membres de la cellule de crise constituée des travailleurs de la SNTF. Après avoir fait le pied de grue devant le siège de la direction générale de la SNTF, les travailleurs qui commençaient à perdre espoir ont été surpris par un “accord” de dernière minute. Il aura fallu toute une journée d’attente pour que la DG daigne rendre son “verdict”. C’est ainsi qu’un avis aux travailleurs de la SNTF, signé par la DG et la Fédération nationale des cheminots, a été diffusé en fin de journée. Se réservant une sortie honorable du conflit, la direction générale de la SNTF et la Fédération des cheminots “informent qu’aussitôt la reprise effective du trafic ferroviaire, les négociations sur la convention de branche seront entamées sur la base de l’application de l’article 52 de la convention collective”, note l’avis diffusé qui conditionne toujours le dialogue à la reprise du travail. Et d’ajouter : “La convention de branche sera concrétisée sur le mois de mai 2010.” Contacté par téléphone, un des responsables de la cellule de crise,
M. Boumansour, nous a indiqué que “les travailleurs ont finalement eu gain de cause et les préparatifs pour la reprise effective du trafic ferroviaire dès cette matinée sont lancés”.


Edition du Lundi 17 Mai 2010

Actualité

Benbitour parle de malédiction du pétrole
L’ancien chef du gouvernement livre sa vision de la crise politico-économique

L’ancien chef du gouvernement a souligné l’urgence d’une meilleure gestion du secteur pour dépasser l’impasse dans laquelle s’est engouffrée l’économie nationale.

L’économie algérienne est l’archétype de la malédiction des ressources à savoir une économie qui dispose d’un secteur de ressources naturelles (hydrocarbures) tourné vers l’exportation (98% de recettes en devises en Algérie) qui génère de substantielles recettes publiques (75% des recettes en dinars pour le budget) mais qui, paradoxalement, engendre une stagnation économique et une instabilité politique. C’est un pays riche en ressources, mais qui s’appauvrit chaque année malgré cette abondance. C’est ce qu’a relevé le Dr Ahmed Benbitour, ancien chef du gouvernement, lors d’une conférence sur le secteur des hydrocarbures organisée à l’invitation de la fondation Slimane-Amirat. M. Benbitour a souligné l’urgence d’une meilleure gestion du secteur, pour dépasser l’impasse dans laquelle s’est engouffrée l’économie nationale. Très pédagogique, l’ancien chef du gouvernement a expliqué les caractéristiques de l’économie algérienne fragilisée par “la malédiction des ressources”. Selon lui, le chemin vers la stagnation économique, l’instabilité politique et l’appauvrissement se caractérise par au moins cinq éléments. M. Benbitour indique que l’abondance des ressources accroît les anticipations et l’appétit des dépenses. “Les autorités lancent des projets grandioses. Rappelez-vous, nous avons commencé avec un programme de relance de 7,5 milliards dollars. Tout de suite, on a dit qu’il faut un autre programme de soutien de 60 milliards de dollars. D’où les réactions des individus qui veulent des bénéfices sans tarder.” Dans ce contexte, les attentes de la population poussent les pouvoirs publics vers des réponses rapides. Il s’ensuit “des décisions hâtives, inappropriées et mal coordonnées”. L’accroissement des moyens financier fait diminuer la prudence et la vigilance. Par ailleurs, la pression sur l’augmentation à la fois des dépenses et des transferts va augmenter les attentes des gens.
M. Benbitour explique que le défi est de répondre en même temps à la nécessité d’interventions publiques face aux urgences sociales pour le maintien de l’ordre public et la stabilité politique, ainsi que la nécessité de construire des institutions fortes pour la pérennité de la stabilité politique. La première nécessité fait appel au pompier, la deuxième nécessité fait appel à l’architecte. “D’où l’exigence d’un autre niveau de gouvernance et les gouvernants doivent être à la fois pompiers et architectes. C’est loin d’être le cas lorsque vous considérez le profit de nos gouvernants aujourd’hui.” L’ex-chef du gouvernement indique qu’à la fin de la décennie noire, la population avait besoin de deux éléments importants : une politique d’insertion et de participation et la construction d’institutions fortes. “Qu’est-ce qui s’est passé ? Il y a eu un discours populiste”, a-t-il affirmé. “Concernant les institutions, on a fait le contraire. Le parlement, on l’a cassé par les ordonnances. Le Conseil constitutionnel est devenu une institution pour justifier l’injustifiable”, a précisé M. Benbitour, ajoutant que la centralisation et partant de la concentration des moyens budgétaires a induit “des investissements excessifs et imprudents et donc la porte ouverte à la corruption”. Benbitour, cite le cas, du projet de transfert d’eau vers Tamanrasset, sur plus de 740 km en pente, “inimaginable”. C’est aussi le cas de la ville de Hassi Messaoud. Et le dernier : l’organisation du GNL 16. “On a organisé une grande rencontre au moment où le produit connaît de très sérieux problèmes de marché”, regrette-t-il.
L’abondance de ressources encourage la concentration des pouvoirs au sommet
L’ancien chef du gouvernement indique que l’abondance de ressources encourage la concentration des pouvoirs au sommet. “L’accès au pouvoir signifie l’accès à la richesse et la garantie d’une richesse ultérieure. Le soutien politique se construit essentiellement sur le clientélisme autour de réseaux régionaux ou économiques ou d’intérêts particuliers”, a expliqué
M. Benbitour. “C’est alors l’installation des institutions favorables aux profiteurs. D’où l’existence de conflits causés par le sentiment d’injustice qui s’accompagne par la violence sociale des émeutiers, surtout chez les jeunes, et aussi, l’avidité que peuvent susciter les rentes massives et qui se manifeste par la violence terroriste, les rapts, les gangs et les vols”, argumente l’ancien chef du gouvernement. Par ailleurs, les recettes venant de la fiscalité sur l’exportation des ressources naturelles, vont rompre les liens importants entre les citoyens et l’État, du fait de l’absence de la fiscalité directe. “Les gens ne se sentent pas impliqués par ce que fait l’État. Parce que l’État n’a pas besoin d’eux”, estime M. Benbitour, relevant que la dimension politique de la rente se manifeste par une prédisposition, pas nécessairement, à l’autoritarisme. “Le gouvernement utilise les revenus des hydrocarbures pour alléger les pressions sociales qui autrement mèneraient vers des demandes plus importantes d’imputabilité”, explique M. Benbitour. Pour autant, pour M. Benbitour “la malédiction des ressources” n’est pas une fatalité. “Qui dit hydrocarbures, ne dit pas nécessairement malédiction de ressources”, a-t-il affirmé, prenant l’exemple de la Norvège, riche en pétrole, mais qui occupe la première place mondiale dans l’Indice de développement humain (IDH). “C’est parce qu’on a une mauvaise gouvernance des hydrocarbures qu’on va vers la malédiction”, souligne M. Benbitour qui indique que la fin du pétrole, au rythme actuel de production, pourrait intervenir entre 2026 (pour les réserves prouvées) et 2035 pour les réserves probables. “Si on monte 2 millions de barils par jour, la fin du pétrole interviendrait entre 2022 et 2027”, avertit l’ancien chef du gouvernement.


www.liberte-algerie.com



17/05/2010
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