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EDITION DU Lundi 04 Octobre 201 0

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LE RADAR
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Un colloque international sur le thème “du milieu familial au milieu professionnel : situations de harcèlement”, sera organisé mercredi et jeudi au Centre de recherches en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran.


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Les médecins algériens vont procéder le 7 octobre prochain au renouvellement du Conseil de l’ordre. L’opération se déroulera au siège du conseil, sis à la polyclinique des Sources, à Alger.


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 La ville française de Bobigny organisera le 17 octobre une cérémonie commémorative de la répression des manifestations du 17 octobre 1961, à travers plusieurs activités et la projection du film 17 octobre 1961


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Les honoraires des consultations chez les médecins privés relèvent de l’anarchie. Apparemment, chaque médecin pratique et fixe le montant de sa consultation comme il veut.


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De nombreux citoyens, habitant Sidi-Yahia et la cité Saïd-Hamdine, ne savent plus à quel saint se vouer. Déconnectés depuis le mois de Ramadhan


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L'hebdomadaire marocain Nichane, en faillite, a cessé de paraître, en raison d’un “boycott systématique” des annonceurs initié par “le premier cercle du pouvoir.” “Cette fermeture (...)


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La dynamique équipe du café littéraire, qui bouclera dans quelques semaines sa deuxième année d'existence, vient de se doter d'un bulletin


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Réagissant à l’information parue dans le radar du 30 septembre dernier et relative à l’installation du service de réanimation du CHU Béni-Messous au 2e étage


Edition du Lundi 04 Octobre 2010

RADAR

Les précisions du chef de service réanimation
CHU de Béni-Messous

Réagissant à l’information parue dans le radar du 30 septembre dernier et relative à l’installation du service de réanimation du CHU Béni-Messous au 2e étage, le chef du service en question, nous a adressé un droit de réponse dans lequel il estime qu’“il y a confusion totale, entre service de réanimation et service d’urgence lequel se trouve bien au rez-de-chaussée et parfaitement accessible.” Quant au service réanimation, le chef de service estime qu’il s’agit d’une discipline hautement spécialisée qui doit être en étage, loin de tout risque de contamination


Dilem du Lundi 04 Octobre 2010 | Vu 8411 fois

Actualité
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Pour Me Miloud Brahimi dont l’intervention a été très concise, la justice populaire existe partout à travers le monde avec des variables dans le nombre des jurés.

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Un collectif, composé d’associations, de centres de recherches et de femmes chercheurs, dont AAPF, Rachda, Ciddef, Djazaïrouna, Sarp, Réseau Wassila et la sociologue Fatma-Zohra Oussedik,


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Le ministère du travail, de l’emploi et de la sécurité sociale a organisé un séminaire sous-régional sur “l’intermédiation de l’emploi et son rôle sur les marchés du travail” et un atelier de formation sous le thème, “l’administration du travail et la bonne gouvernance”.


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Un document historique et académique algérien a été récemment publié au Japon. Il s’agit d’une longue interview accordée par l’ex-président de la République, Chadli Bendjedid, à deux chercheurs japonais, Kisaichi Masatoshi et Watanabe Shoko. Ces deux derniers travaillent sur l’Algérie depuis plusieurs années et ont déjà publié le premier livre en japonais sur l’Algérie.

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Par : NEÏLA B.
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A peine 48h après la diffusion de l’enregistrement audio d’Aqmi, jeudi dernier, montrant les otages enlevés
au Niger en vie, un médiateur vient d’être désigné.

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Par : F. Lamia
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Deux militaires ont été blessés, vendredi, dans la wilaya de Batna, suite à l’explosion d’une bombe artisanale enfouie sous le sol.


Par : Samir LESLOUS
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Deux commerçants de la wilaya de Tizi Ouzou ont encore été la cible de tentatives d’enlèvement qui ont eu lieu, de manière quasi simultanée, mais dans deux endroits différents, dans la soirée d’avant-hier, peu avant 23h


Par : S. LESLOUS
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Les forces de l’ANP, en opération de ratissage dans la région de Zekri, à 75 kilomètres à l’extrême- est de Tizi Ouzou, ont subi, avant-hier samedi dans la soirée, un des coups les plus durs depuis plusieurs années.


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La DGSN a précisé hier qu’il n’a jamais été question de désigner l’ex-chef de SW d’Alger dans le poste d’inspecteur général de la police et que “le commissaire divisionnaire, Lahoualef, est toujours maintenu à son poste”.


Par : Mohamed Omar DEHBI
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 Je tiens à démentir de la manière la plus formelle toutes les informations tendancieuses et sensationnalistes parues dans la presse nationale et internationale, et le lynchage médiatique sans nom dont j’ai été victime à la suite d’une investigation policière me suspectant de fraude fiscale


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Cinq agences ont été suspendues pour manquement à leurs obligations lors de la omra, jusqu’à ce que la commission se réunisse et décide de leur sort. Au moment même où le Syndicat des agences de voyages tient des rencontres de ses structures régionales (Centre, Est et Ouest)

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Par : K. REGUIEG-YSSAÂD
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Les responsables du Syndicat national des agences de voyages (SNAV) ont les gorges chaudes depuis l’application par le ministère de tutelle du décret exécutif du 14 juillet 2010 annulant les prestations du hadj en défaveur des agences de voyages.


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Wataniya Télécom Algérie-Nedjma a organisé, la semaine dernière, les cérémonies de remise de cadeaux aux gagnants du Grand challenge Ramadhan 2010


Par : F. SENOUSSAOUI
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“Les conditions d’attribution de programmes de logements aux wilayas obéit à plusieurs critères dont la disponibilité des terrains urbanisables ainsi que la répartition équitable des projets à travers toutes les communes de la wilaya.”

 


Edition du Lundi 04 Octobre 2010

Actualité

Un diplomate malien pour négocier la libération des otages français
Il est considéré comme un fin connaisseur de la zone

Par : NEدLA B.


A peine 48h après la diffusion de l’enregistrement audio d’Aqmi, jeudi dernier, montrant les otages enlevés
au Niger en vie, un médiateur vient d’être désigné.

Il s’agit du diplomate malien Iyad Ag Ghali un ancien rebelle touareg malien qui a été le chef du Mouvement populaire de l'Azawad (MPA) pendant les années 1990. Il avait été nommé en 2007 premier conseiller consulaire à Djeddah en Arabie Saoudite. C’est un médiateur “expérimenté” et fin connaisseur de la zone de Kidal dans le désert malien d’autant qu’il avait déjà participé comme médiateur à la libération des 32 otages occidentaux enlevés dans le Sud algérien en 2003 par le GSPC et la libération des otages espagnols et italiens enlevés en Mauritanie en 2009.
L’information a été rapportée hier par plusieurs agences de presse citant une source malienne. la désignation de Lyad Ag Ghali n’a pas été une “surprise” d’autant qu’il est considéré comme “le médiateur” d’Aqmi, responsable des enlèvements sous la houlette de Abou Zeïd.
Iyad Ag Ghali est arrivé, le 2 octobre, à Gao (nord-est du Mali) pour participer aux négociations en vue de la libération de sept otages détenus par Aqmi. “Iyad Ag Ghali est mandaté par le gouvernement malien pour participer à ces négociations”, selon la presse malienne. Il est descendu d’un avion en provenance de Bamako.
Dès son arrivée à Gao (1 200 km au nord-est de Bamako), le médiateur s’est engouffré dans un véhicule 4X4, en direction du grand nord du Mali, vers le massif du Timétrine, ont ajouté les mêmes sources. “Nous avons dépêché Iyad Ag Ghali pour aider au dénouement de l’affaire. Il est en route”, a confirmé à l’AFP une source officielle malienne contactée par téléphone.
On croit savoir que l’enregistrement audio d’Aqmi a été diffusé juste après que l’un des proches et émissaires de Iyad Ag Ghali avait pu voir les otages. Le médiateur voulait d’abord un entretien avec les ravisseurs avant de s’engager dans les négociations.
L’objectif du médiateur malien serait en premier lieu de rapporter les revendications posées par les ravisseurs.
il s’agirait sûrement de la libération des détenus au Mali et en France. Il y a lieu de souligner que l’otage français, Pierre Camette, a été détenu par le groupe de Mokhtar Belmokhtar, le moins radical dans l’organisation, et ce dernier a été libéré en échange de 4 terroristes détenus au Mali dont un Algérien et des Mauritaniens.
On croit savoir que c’est ce  même médiateur a participé à la libération de Camette.
Des observateurs n’écartent pas que Abou Zeïd pourra renouveler les mêmes revendications que celles exigées pour la libération de l’humanitaire Germaneau exécuté après le raid franco-mauritanien. “Abou Zeïd connu pour être très rusé et radical sera plus exigeant d’autant que les otages sont français et que l’organisation terroriste n’avait pas digéré le raid en pleine négociation pour la libération de Germaneau.
Elle a ouvertement menacé la France, ce qui rendra le groupe plus revendicatif et les mêmes revendications seront posées, à savoir la libération des deux “émirs” du (GIA), Boualem Bensaïd et Smaïn Aït Belkacem, condamnés à perpétuité pour avoir planifié des attentats à Paris entre 1995 et 1996 qui avaient fait 8 morts et 200 blessés. Les négociations ne seront pas faciles.
 


Edition du Lundi 04 Octobre 2010

Editorial

5 Octobre bis !

Par : Omar Ouali


Les propos qu’aurait tenus le président Chadli Bendjedid à un universitaire japonais, dans le cadre d’un livre sur l’Algérie, marquent une nouvelle rupture dans la perception de ces évènements et leurs conséquences politiques ultérieures qui apparaissent, aujourd’hui, sous un nouveau jour.

Demain, nous serons le 5 octobre. Dans l’imaginaire collectif des Algériens, ce jour reste une date phare, car elle signifie la fin du système du parti unique et l’avènement du “printemps démocratique”. Cela fait vingt-deux ans que ces évènements, qui n’ont nulle trace dans l’historiographie officielle, sont revisités sans pour autant livrer tous les mystères et toutes les interrogations qui entourent leur genèse.
Comme s’il y avait de la part du pouvoir en place une volonté de déchirer la page et de faire passer “la révolution d’Octobre” pour pertes et profits. Mais les propos qu’aurait tenus le président Chadli Bendjedid à un universitaire japonais, dans le cadre d’un livre sur l’Algérie, marquent une nouvelle rupture dans la perception de ces évènements et leurs conséquences politiques ultérieures qui apparaissent, aujourd’hui, sous un nouveau jour. En forçant un peu le trait, on pourrait même dire qu’au plan du témoignage, c’est un 5 Octobre bis tant les révélations de l’ex-président sont majeures et inédites.
Ainsi, au détour de ses déclarations, on apprendra qu’il a quitté le pouvoir de son propre gré par respect à ses engagements de respecter “la volonté du peuple”. En décrypté, cela veut dire que ce ne sont pas les militaires de l’époque qui lui avaient mis le couteau sous la gorge pour s’en aller. Cette confession n’est pas un “simple détail” pour l’intelligence de ce qui s’est passé ce jour immortalisé ad vitam par le JT de l’ENTV où l’on voyait Chadli Bendjedid bégayant remettre sa lettre de démission à Benhabylès, président du Conseil constitutionnel de l’époque.
Mais on apprendra aussi, et c’est sans doute le plus important, que le président Chadli était partisan de laisser le processus électoral aller à son terme et donc permettre à l’ex-FIS de prendre le pouvoir en comptant sur les instruments constitutionnels pour le contrer en cas de dérive. En professant une telle thèse, l’ancien président fait de facto le procès de ceux qui avaient pris alors leur responsabilité historique pour sauver l’ordre républicain.
Une chose est sûre : les propos de l’ancien président, si tant est qu’il les a tenus, ne manqueraient pas dans les jours à venir de provoquer des remous politiques, surtout que vingt-deux ans après ces événement, nous sommes revenus à la case départ. Alors, octobre rupture révolutionnaire ou erreur politique d’aiguillage ?

www.liberte-algerie.com

 


Edition du Lundi 04 Octobre 2010

Actualité

Les révélations choc de Chadli Bendjedid
Evénements du 5 octobre, processus électoral et question amazigh

Un document historique et académique algérien a été récemment publié au Japon. Il s’agit d’une longue interview accordée par l’ex-président de la République, Chadli Bendjedid, à deux chercheurs japonais, Kisaichi Masatoshi et Watanabe Shoko. Ces deux derniers travaillent sur l’Algérie depuis plusieurs années et ont déjà publié le premier livre en japonais sur l’Algérie.

Liberté a pu se procurer le document écrit en deux langues, arabe et japonaise. Chadli Bendjedid y aborde, parfois avec une légèreté déconcertante, des sujets aussi sensibles que l’arrêt du processus électoral, l’amazighité et les évènements du 5 octobre. Ses déclarations sont quasiment inédites. Ainsi à la question : le pouvoir algérien devait-il accepter un gouvernement du FIS ?, l’ex-président a eu cette réponse. “oui, c’est vrai. Si le pouvoir avait accepté les résultats des élections, on ne serait pas arrivé à cette dangereuse situation. J’ai voulu que le peuple algérien assume la responsabilité d’avoir choisi ses représentants en toute liberté (…) il aurait fallu que nous respections le choix du peuple algérien et donner une chance au Front islamique du salut (FIS) de constituer son gouvernement.” Se voulant plus explicite, il dira qu’“il fallait juger le FIS par les lois et la constitution qui régissent l’état, et le fait de ne pas avoir respecté le choix du peuple a été une très grande erreur.” Constant dans sa position, il affirma que “la démocratie a donné au peuple algérien le choix des islamistes en toute liberté, exactement comme cela s’est passé en Palestine quand le peuple palestinien a voté pour Hamas”. Sa “lecture” est d’ailleurs anecdotique. Alors qu’il était le président du pays, il a expliqué que c’était un vote sanction “pour se venger des responsables du FLN qui ont commis de grandes erreurs à l’encontre du peuple algérien et dilapidé son argent, c’est ça la vérité”. Sur sa démission du 12 janvier 1992, Chadli a nié avoir été démis de ses fonctions en relatant ce qui s’est passé. “j’étais pour le processus démocratique et comme le peuple algérien avait choisi l’autre camp, nous devions leur donner le pouvoir et la possibilité de gérer le pays, mais les membres du FLN ont eu peur et ils m’ont demandé d’annuler les résultats des élections et de les refaire. j’ai refusé par respect à la constitution et à la promesse que je m’étais donnée quand j’avais juré sur le Coran de respecter la volonté du peuple algérien (…) quelle aurait été la réaction de l’opinion nationale et internationale si je les avais annulées ? Ils auraient pensé que les réformes qu’avait réalisées Chadli n’étaient qu’une manœuvre pour rester au pouvoir et c’est pour cette raison que j’ai décidé de tout quitter. j’ai déposé ma démission par respect au peuple algérien.” D’ailleurs, il insista sur ce point pour affirmer que “celui qui prétend qu’il y a eu un coup d’état se trompe, parce que j’ai démissionné de mon plein gré sans pression d’une quelconque partie”.
Sur la question amazigh, Chadli a exposé un point de vue très réducteur et qui va faire sans doute réagir plus d’un. Ainsi, pour celui qui a présidé aux destinées du pays pendant 12 ans (1980-1992), “l’amazighité est une sorte de tradition et de langue de quelques tribus appartenant à des civilisations et cultures près-islamiques et il reste encore peu de tribus qui tiennent encore à ces origines”. S’improvisant anthropologue, l’ex-président va encore plus loin. “l’amazighité est une langue qui est dépassée par le temps et qui ne pourra pas se développer.” avant d’ajouter : “la langue amazigh a disparu.”
Confirmant l’état d’esprit de nombreux représentants du système algérien, et en revenant sur le printemps berbère de 1980, Chadli n’a pas hésité à relier la question amazigh avec… la France. “je le dis sincèrement, il y avait un plan colonialiste de la part des services secrets français pour alimenter le sentiment d’appartenance à l’amazighité pour gagner la sympathie de ses groupes et les relier à la France afin de créer des problèmes internes dans le but d’exercer des pressions politiques sur le gouvernement algérien. et pour prouver ce que je dis, il faut voir ce que fait la France pour enseigner l’amazighité dans ses universités.” Il ajoutera que les évènements de 1980 étaient “politiques sous le couvert de la question amazigh et on peut dire qu’ils étaient politiques et culturels en même temps”.
Mieux encore, continuant sur la question identitaire, il souligna qu’“il y a pas de spécificité à la nationalité algérienne ; les algériens appartiennent à la civilisation arabo-islamique”. Il soutiendra que, mis à part l’aspect politique, il n’y avait aucune différence entre les algériens, les tunisiens et les marocains. “du côté culturel, on appartient à la même histoire, culture et civilisation, qui est l’arobo-islamique. cette appartenance culturelle et civilisationnelle se prolonge de l’est du monde arabe jusqu’à l’Ouest et tous nous parlons la langue arabe, mais avec des dialectes différents, rien de plus”.
à propos du 5 octobre 1988, l’homme de 91 ans insiste en précisant que “certains membres du FLN” étaient derrière “les évènements”. Selon lui, la cause des manifestations violentes (le bilan officiel était de 110 morts, alors que des sources médicales ont donné le chiffre de 500 morts et plusieurs milliers de blessés) était due au fait que “plusieurs responsables de l’appareil du FLN, et d’autres aussi, étaient contre la démocratie que j’essayais d’appliquer. la démocratie, la liberté de la presse et le fait de permettre au peuple de choisir ses représentants allaient mettre la lumière sur les erreurs des responsables. Tout cela mettrait en danger les avantages qu’ils avaient obtenus grâce au parti unique”.
En plus de se présenter comme un démocrate, Chadli Bendjedid s’est aussi affiché comme un capitaliste convaincu. “je suis celui qui a changé le système du socialisme au capitalisme”, soutient-il, avant de revenir sur son parcours personnel. “ہ travers les longues expériences que j’ai vécues dans le système communiste de Ben Bella et le système socialiste de Boumediene, qui ont échoué totalement, j’ai eu une idée complète et claire sur la situation de l’Algérie.” Il expliquera sa “thèse” en affirmant que “c’est l’immobilisme qui m’a poussé à décider de changer le système et j’ai réalisé l’importance de léguer le pouvoir au peuple algérien, et ce, dans le cadre d’une véritable démocratie”.
Cette longue interview publiée dans le n°27 du The journal Sophia Asian Studies est l’une des très rares interventions de Chadli Bendjedid depuis qu’il a quitté le pouvoir en janvier 1992. En 18 ans, il a donné deux interviews : en 2006 à l’hebdomadaire algérien Al Mouhakik et en 2007 à El Khabar.
il a également fait une intervention, le 27 novembre 2008, lors du colloque organisé à El-Tarf en hommage au moudjahid Amar Laskri, dit Amara Bouglez, et la dernière remonte au 4 décembre 2008 sur les colonnes de Liberté et d’El-Khabar.


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04/10/2010
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