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Edition du Jeudi 02 Décembre 2010

 

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  • Dilem du Jeudi 02 Décembre 2010 | Vu 3709 fois

    LE RADAR
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    Edition du Jeudi 02 Décembre 2010

    Actualité

    Les USA veulent concrétiser le Maghreb économique
    L’initiative américaine axe sur l’entreprenariat

    Par : Meziane Rabhi 


    Le secrétaire d’État adjoint américain à l’Économie, à l’Énergie et aux Affaires commerciales, M. José W. Fernandez, a annoncé hier le lancement d’une nouvelle initiative de partenariat économique avec le Maghreb, à l’ouverture de la première conférence sur l’entreprenariat États-Unis-Maghreb, organisée hier à l’hôtel Hilton d’Alger, et qui s’inscrit dans le prolongement du Sommet de Washington sur l’entrepreneuriat, convoqué par le président Obama en avril 2010.

    Le partenariat nord-africain pour les opportunités économiques a pour ambition d’aider les entrepreneurs en herbe, et notamment les jeunes, à devenir dirigeants et propriétaires d’entreprise au sein de leur communauté. Il vise aussi à encourager les partenaires des milieux d’affaires, des fondations, de la société civile, du milieu universitaire, des organisations scientifiques et des associations commerciales, ainsi que d’autres entités privées du Maghreb et des États-Unis, à travailler plus étroitement au renforcement de leurs relations commerciales. “Les États-Unis ne cherchent pas à imposer leur point de vue au Maghreb. Il s’agit d’une offre de partenariat aux cinq pays de la région. Une offre que nous souhaitons réaliser ensemble”, a indiqué le secrétaire d’État adjoint américain à l’Économie, relevant “l’enthousiasme des pouvoirs publics des cinq pays de la région pour l’initiative”.  “Nous avons répondu favorablement à cette initiative, en exprimant notre adhésion à l’instauration d’une démarche partenariale entre les États-Unis et le Maghreb, dans l’intérêt économique des deux communautés d’affaires”, a souligné le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, M. Mohamed Benmeradi, dans une allocution prononcée à l’ouverture de la conférence. Ce nouveau partenariat comporte trois éléments : un institut virtuel nord-africain des opportunités économiques ; une conférence annuelle USA-Maghreb sur l’entrepreneuriat ; et des conférences régulières de gouvernement à gouvernement. L’Institut virtuel nord-africain des opportunités économiques créera des liens entre les secteurs privés de l’Afrique du Nord et des États-Unis, par le biais d'un certain nombre d’initiatives commerciales. Pour rappel, les États-Unis avaient déjà proposé aux pays maghrébins l’initiative Eizenstat (du nom de l’ancien sous-secrétaire d’État au Commerce, Stuart Eizenstat). Lancée en 1999, l’objectif était de “resserrer les liens entre les États-Unis et les pays de l’Afrique du Nord en matière de commerce et d’investissements, de favoriser davantage le commerce entre les trois pays maghrébins, d’inciter un plus grand nombre d’entreprises américaines à investir dans la région”. Cependant, l’initiative Eizenstat a échoué, et la nouvelle proposition économique américaine risque de connaître le même sort. “Il y a une dizaine d’années, les États-Unis avaient annoncé leur intérêt à approfondir leur engagement économique dans la région du Maghreb. Bien que ces partenariats ne se soient pas déroulés comme nous l’avions souhaité, nous avons examiné de près les bonnes idées et les défis de cette expérience dans le but d’aller de l’avant avec quelque chose de plus fort”, a indiqué le secrétaire d’État adjoint américain. Cette nouvelle initiative, a ajouté ce dernier, “est inspirée des initiatives américaines précédentes et s'appuie sur ces efforts pour une nouvelle approche solide concernant l’engagement américain dans la région du Maghreb”.

    Les États-Unis peuvent faire mieux en Afrique du Nord
    M. José W. Fernandez estime que les États-Unis peuvent faire mieux en Afrique du Nord, relevant l’existence “d’importantes opportunités pour la croissance économique”. Du coup les États-Unis font de l’entrepreneuriat un pilier de dialogue avec d’autres pays. “Le fait d’accroître des relations transfrontalières en Afrique du Nord entre les entrepreneurs, les associations professionnelles et les entreprises, les jeunes et les chefs d’entreprise, est la clef essentielle à la prospérité économique à long terme, la stabilité et la sécurité dans la région”, souligne M. José W. Fernandez. Insistant sur la nécessité de promouvoir la culture entrepreneuriale, le secrétaire d’État adjoint américain évoque l’esprit novateur de M. Issad Rebrab, fondateur de Cevital et la créativité et le succès de Mme Dalila Nadjem, fondatrice de la Maison d’édition Dalimen. Pour le secrétaire d'état adjoint américain, “Ce partenariat est différent des autres efforts, parce qu’il est un réel effort public-privé”. Il sera géré par un organisme indépendant, The Aspen Institute, qui travaillera dans chaque pays pour créer des conseils consultatifs locaux et une régie régionale de conseillers composée des États-Unis, la diaspora, et les chefs d’entreprise du Maghreb pour assurer l’engagement à long terme. Le ministre de l’Industrie a exprimé son souhait que les travaux de la conférence débouchent sur un programme d’actions à réaliser. Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement a exprimé la disponibilité de l’Algérie “de coordonner la mise en œuvre de ce programme d’actions, en relation avec les communautés d’affaires américaines et maghrébines et y apporter tout le soutien nécessaire”.

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    Edition du Jeudi 02 Décembre 2010

    Editorial

    Lutte et intérêts
     

    Le Royaume-Uni, plus pragmatique, a risqué la vie de Dyer, mais n’a pas renforcé les capacités d’Aqmi, contrairement à la France ou l’Espagne. 

    L’idée de l’Algérie de criminaliser le paiement des rançons aux preneurs d’otages vient de gagner un allié de taille. Londres partage parfaitement l’analyse d’Alger sur la lutte contre le terrorisme au Sahel qui se nourrit de rançons. 
    Publiquement, tous les états dénoncent cette modalité de libération de leurs ressortissants, en sous-main, les tractations discrètes ont réussi à créer des réseaux nocifs avec des activités lucratives qui ont chassé de la zone le tourisme qui est la source de revenu de la population. 
    Deux options ont jusque-là prévalu depuis l’enlèvement des 32 touristes allemands : les rançons et l’intervention militaire qui sont loin d’avoir atteint les objectifs, sinon financer indirectement les groupes terroristes. Et les doutes sur les intentions et les visées de ces manœuvres, au-delà de la stricte mission de libération. 
    Le Royaume-Uni, plus pragmatique, a risqué la vie de Dyer, mais n’a pas renforcé les capacités d’Aqmi, contrairement à la France ou l’Espagne. Parallèlement, des opérations controversées, plus proches de l’exhibition militaire que du vrai combat, sont menées en cette “zone” libérée. L’argument est que les pays de cette région difficile sont incapables de combattre seuls les groupes islamistes. Des opérations ponctuelles, ponctuées de pressions politiques ont mené le Sahel à l’état de petit Afghanistan, la déstabilisation profitant aux groupes spécialisés dans le “pillage” des ressources naturelles. 
    Le réflexe français est resté au stade de la nostalgie coloniale et son pendant “chasse gardée” où elle est bousculée par les états-Unis et la Chine, alors que le Royaume-Uni a réglé cette question le jour de la décolonisation. L’on sent paradoxalement dans cette attitude, les relents de la Françafrique. 
    La Grande-Bretagne adhère totalement à la démarche algérienne, aux plans politique et militaire, en affichant sa disposition à encourager l’adoption de sa proposition à l’ONU et au sein de l’UE, et un soutien militaire dans sa lutte contre le terrorisme, loin des missives et discours sur la volonté de coopération avec Alger et de cette reconnaissance éphémère de son rôle de précurseur dans ce combat… après les attaques du 11 septembre. 


     

     

      


    Edition du Jeudi 2 Décembre 2010

     

     Etranger

    Par : CHAFIK BEN GUESMIA
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    Edition du Jeudi 02 Décembre 2010

    Etranger

    Organisation terroriste pour Washington ?
    WikiLeaks

    Par : CHAFIK BEN GUESMIA


    Le scandale de dimension internationale de WikiLeaks provoque aussi des remous dans les milieux politiques américains.

    Le site web spécialisé dans la publication d’informations officielles pousse l’audace d’un cran de plus en promettant de rendre publics 251 287 télégrammes, correspondance secrète et réservée de 274 ambassades américaines à travers le monde. C’est depuis dimanche 28 novembre que le site Internet de WikiLeaks (.org) a commencé la série de publications relative à des télégrammes transmis à partir d’ambassades américaines vers le département d’État américain, équivalent du ministère des Affaires étrangères. 
    La première publication qui contient 291 télégrammes datant du 28 décembre 2010 au 28 février 2010 a pour le moment était suffisante pour créer un tôlé médiatique à l’échelle internationale incitant les autorités américaines à se décider enfin d’ouvrir une enquête judiciaire à l’encontre de WikiLeaks et son fondateur-éditeur, Julian Assange, 39 ans, qui fait par ailleurs l’objet d’une enquête pour tentative de viol en Suède et de poursuites judiciaires sous la loi relative à l’espionnage en Australie, son pays d’origine. “Il (Julian Assange)met  les gens en danger, menace notre sécurité nationale et réduit nos efforts de travail avec d’autres pays pour résoudre des problèmes communs”, avait annoncé Hillary Clinton, la secrétaire d’État, dans une conférence de presse lundi 29 novembre, à partir du siège du département d’État à Washington DC relative à la publication par WikiLeaks des télégrammes marqués de différentes estampilles, selon qu’ils soient secrets, confidentiels ou de simples mémos. Hillary Clinton avait, depuis qu’elle avait appris l’intention de Wikileaks de rendre publics les télégrammes, contacté tous les leaders internationaux concernés pour tenter de limiter les dégâts que de telles révélations pouvaient engendrer sur les relations diplomatiques avec des pays supposés “amis” ou alliés des USA. En substance, les télégrammes toutes catégories confondues reprenaient dans leur majorité ou des entretiens privés parfois secrets, parfois confidentiels ou des descriptions le plus souvent insultantes envers de hautes personnalités étrangères quand il ne s’agissait pas de décrire les phobies, les manies et la vie privée de ces derniers. 
    Ces télégrammes d’ambassades se référant ainsi au président français Nicolas Sarkozy comme “un empereur sans habits” et décrivent les phobies du président Kadhafi qui refuse que son avion survole la mer, sa peur de l’altitude, toute en soulignant son attrait bien particulier pour son “infirmière préférée”, d’origine ukrainienne. Pour les télégrammes relatifs à “la géopolitique”, l’un des télégrammes fait état de l’intérêt de la Chine à la réunification des deux Corées, du Nord et celle du Sud mais sous l’égide de Pyong Yang donc sous le contrôle de l’actuelle Corée du Nord, régime hostile aux Américains. Les pays arabes, les plus concernés par cette première tranche de télégrammes révélés au grand public, se retrouvent quant à eux comme à la fin d’un bal masqué où leur vrai visage est enfin révélé. Lutte anti-Al Qaïda ou politique de coulisses contre l’Iran qui se cherche une position de leader au Moyen-Orient, les télégrammes des ambassades concernées révèlent ou des mensonges de chefs d’État à l’Assemblée nationale de leur propre pays ou des alliances secrètes allant à l’encontre des beaux discours fraternels entre musulmans.  
    Le site Internet de WikiLeaks donne quant à lui un diagramme de ces télégrammes d’ambassade par pays. Parmi les 251 287, pas mois de 1 099 sont relatifs à l’Algérie, 1 055 à la Tunisie,  598 à la Libye et 1 365 au Maroc qui arrive ainsi en tête des pays maghrébins. Mais aucun de ces télégrammes n’a encore été révélé même si on ne s’attend pas tellement à ce que cela puisse choquer les Maghrébins. “Il n’y a rien de louable à propos de mettre en danger d’innocentes personnes, il n’y a rien de brave de saboter des relations pacifiques entre nations”, dit Hillary Clinton en réponse à une question lors de la conférence de presse, relative à la ligne éditoriale choisie par WikiLeaks. Mais les médias américains veulent plus d’explications sur le “comment” qui a permis à WikiLeaks d’obtenir ces documents supposés inaccessibles. La seule piste pour l’instant reste celle de Bradley Manning, l’analyste de 22 ans, qui avait remis à WikiLeaks les vidéos de bord des hélicoptères Apache qui avaient pris pour cible et causé la mort de deux journalistes de l’agence Reuters en Irak, en 2007, après avoir confondu un appareil photo muni d’un téléobjectif professionnel à une lance-roquettes RPJ. 
    Manning, alors soldat stationné à Bagdad avait aussi accès à une large banque de données en même temps que 500 000 autres personnes du renseignement américain qui auraient tous aussi pu remettre ces mêmes documents à WikiLeaks. Le scandale de dimension internationale de WikiLeaks provoque aussi des remous dans les milieux politiques américains. Pete Hoestra, député républicain de l’État du Michigan (2e district), membre du comité intelligence (affaires secrètes) auprès de la Chambre des représentants, s’insurge que l’ambassade des USA au Yémen lui ait refusé l’accès à des informations classées secrètes, dont il peut désormais finalement prendre connaissance sur WikiLeaks. 
    Peter King, un autre député républicain de l’État de New York (3e district), membre aussi du même comité, n’hésite pas aussi de dire sa colère de voir les services secrets des pays étrangers “réviser ces télégrammes, ligne par ligne, pour s’informer sur ce que les Américains savent et ne savent pas”,  tout en regrettant que ces fuites donnent “aux islamistes dans ces pays (du Moyen-Orient) une plus forte puissance de feu pour déstabiliser les gouvernements (en place)”. Il réclame que WikiLeaks soit considéré et traité comme une organisation terroriste. 


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    02/12/2010
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