ROUIBA ......

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Edition du Dimanche 11 Septembre 2011

 

 

 

 
 
LE RADAR
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Mme Farida Tahrat, économiste de formation et sous-directrice au niveau de l’Office Riadh El Feth d’Alger, vient d’être nommée à la tête de cet organisme.

 

 

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L’exécutif de la wilaya de Bouira a connu la semaine dernière un vaste mouvement. Des changements ont été opérés à la tête de plusieurs directions de wilaya.

 

 

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Une délégation de 20 notaires a participé à la 28e session de l’université de notariat de France, qui s’est déroulée au Futuroscope de Poitiers du 5 au 10 septembre 2011.

 

 

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Une infirmière et son père entameront dans les toutes prochaines heures une grève de la faim dans l’enceinte même de l’hôpital Khelil- Amrane de Béjaïa.

 

 

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 À partir de la semaine prochaine, la police d'Ostende (Belgique) va procéder tous les jours à l'interpellation de 20 illégaux, les arrêtera administrativement

 

 

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Le magazine L’Étudiant vient de publier son classement des villes “où il fait bon étudier” pour l’année universitaire 2011-2012 en France.

 

 

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 Dans notre édition d’hier, une malencontreuse erreur nous a fait écrire que le père du député français et président du Conseil général de Saône-et-Loire

 

 

 


Edition du Dimanche 11 Septembre 2011

RADAR

Précisions
Visite d’Arnault Montebourg en Algérie


 

 Dans notre édition d’hier, une malencontreuse erreur nous a fait écrire que le père du député français et président du Conseil général de Saône-et-Loire, Arnault Montebourg, est d’origine algérienne. En fait, son père s’appelle Michel Montebourg, fonctionnaire des impôts. C’est sa mère qui a des origines algériennes par son père. Elle s’appelle Leïla Bent Cadi, fille de Kermiche Ould Cadi. Hier celui qu’on qualifie de dandy de la classe politique française, à cause de son air petit bourgeois, a prononcé un discours à la faculté d’Alger. Il a achevé la journée par un dîner avec la presse. Au menu d’aujourd’hui : rencontre avec les officiels, petit-déjeuner avec le ministre des Affaires étrangères, dépôt de gerbes de fleurs au cimetière français de Bologhine, déjeuner avec l’ambassadeur de France en Algérie. Arnault Montebourg rencontrera également Mme Zohra Drif, vice-présidente du Conseil de la nation, les entrepreneurs et cadres algériens à la Chambre de commerce et d’industrie franco-algérienne. Le tout sera suivi d’un point de presse à l’hôtel El Djazaïr. Le député français, qui sera en compétition à la primaire du PS, pour désigner le candidat de ce parti à l’élection présidentielle française de mai 2012, achèvera son programme par un dîner avec Fwad Hasnaoui (assemblée des Français de l’étranger et des Français installés en Algérie). ہ travers cette visite en Algérie, Arnault Montebourg, “instruit par l’histoire, entend ainsi contribuer à approfondir les liens qui unissent nos deux peuples. La relation  avec l’Algérie peut devenir un pilier pour la Méditerranée et la relation entre l’Europe et l’Afrique”.

www.liberte-algerie.com


Dilem du Lundi 12 Septembre 2011 | Vu 535 fois 
 
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LE RADAR

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Elle a été installée jeudi
Une directrice pour l’Office Riadh El Feth d’Alger

Wilaya de Bouira
Vaste mouvement au sein de l’exécutif

Elle se déroule à Poitiers en France
20 notaires algériens à l’université de notariat de France

Hôpital Khelil-Amrane de Béjaïa
Une grève de la faim pour dénoncer la bureaucratie

Belgique
Chasse aux immigrants illégaux à Ostende

Les meilleures villes françaises pour étudier
Toulouse première devant Grenoble

Visite d’Arnault Montebourg en Algérie
Précisions
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1 11 12 Septembre 2011)
Et ça recommence !
Par : Azzeddine Bensouiah
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Le risque d’une autre année mouvementée n’inquiète guère les responsables du secteur qui pensent beaucoup plus à leur carrière, et surtout à plaire à ceux qui les ont placés là  où ils sont, qu’au sort de l’université algérienne et de l’élite algérienne.

La rentrée annonce une année universitaire — encore une — des plus perturbées. On croyait que les agitations, les grèves à répétitions et les bastonnades, suivies de dialogue, de conférences et de chantiers, allaient enterrer, une bonne fois pour toutes, les incompréhensions et corriger les imperfections du nouveau système mis en place par la tutelle.
Il n’en fut rien, puisque plusieurs titulaires du DEUA montent au créneau pour crier leur désarroi face à une tutelle censée être celle qui représente le mieux la crème du pays, mais qui, hélas, s’embourbe davantage dans une bureaucratie inqualifiable.
Les “réformes” menées au pas de charge ont fait beaucoup de mécontents. Si, du côté des enseignants, la solution a été trouvée en leur augmentant substantiellement leurs salaires, grâce à une intervention personnelle du président Bouteflika, pour les étudiants l’augmentation insignifiante de la maigre bourse n’a pas suffi pour les détourner de leurs craintes et appréhensions.
La tutelle, qui avait laissé faire, l’année dernière, les forces antiémeutes sous ses fenêtres, et qui n’avait rien pu résoudre, sauf de transmettre les doléances des étudiants “à qui de droit”, semble, aujourd’hui encore, figée dans sa vision bureaucratique et incapable d’anticiper, ni même de communiquer.
Le risque d’une autre année mouvementée n’inquiète guère les responsables du secteur qui pensent beaucoup plus à leur carrière, et surtout à plaire à ceux qui les ont placés là où ils sont, qu’au sort de l’université algérienne et de l’élite algérienne.
Contrairement au département de l’éducation qui, même décrié, ne rate aucune occasion pour communiquer et aller vers la communauté des enseignants et des parents d’élèves, le département de M. Harraoubia semble penser que ses réformes sont ni discutables encore moins révisables.
Cette perpétuelle fuite en avant n’augure rien de bon, en pleine rentrée sociale, sachant que tous les mécontents de l’année dernière vont battre le rappel de leurs troupes et se mettre à crier leur ras-le-bol. à quelques mois des élections législatives, et en plein “Printemps arabe”, l’attitude du département de M. Harraoubia paraît aller à l’encontre même de la ligne suivie par le chef de l’état depuis mai dernier qui consiste à acheter la paix sociale à tout prix.

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12/09/2011
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