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Actualité | lundi 31 octobre 2011

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  • Un nouveau texte de loi est en discussion au sein du gouvernement
  • De nouvelles prérogatives pour la PCH
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  • le 31.10.11 | 01h00 Réagissez
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  • La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) accuse un découvert de 3 milliards de dinars. Elle détient une créance envers les hôpitaux qui s’élève à 20 milliards de dinars.
  • Une restructuration de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) est en cours de négociation au niveau du secrétariat général du gouvernement (SGG). L’avant-projet de décret préparé par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière propose une restructuration de l’établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) pour «une meilleure organisation et distribution des médicaments de base», a déclaré Djamel Ould Abbès lors de son intervention à l’APN, la semaine dernière. Le texte en question prévoit donc de nouvelles mesures qui permettront à la PCH de retrouver sa vocation, à savoir l’approvisionnement des hôpitaux et la constitution de stocks de médicaments pour une période de six mois, notamment pour les produits de base destinés aux structures hospitalières.
  • La PCH bénéficiera donc d’une subvention de l’Etat pour le financement des programmes de prévention contre les maladies transmissibles, telles que la tuberculose, le sida, le paludisme. Les structures de santé n’auront plus à débourser de leur budget pour s’approvisionner en ces produits, puisque la PCH les aura déjà payés. Les subventions de l’Etat permettront également la prise en charge des maladies non transmissibles, en nette progression en Algérie. Ces financements permettront à la PCH d’approvisionner les structures hospitalières pour la prise en charge des maladies chroniques établies dans le cadre des programmes nationaux qui sont au nombre de 30. Par ailleurs, l’avant-projet de décret élargit le champ d’intervention de la PCH, et son nouveau statut lui permettra d’importer tous les médicaments sous toutes leurs formes.
  • Désormais, l’EPIC peut intervenir pour approvisionner le marché de ville (les officines) à travers les grossistes en cas de problème d’indisponibilité de n’importe quel produit pharmaceutique. La PCH pourra également intervenir pour le compte d’un établissement en cas de difficultés. Il s’agira, par exemple, de l’importation de vaccins pour le compte de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) en cas de problème financier ou autre. Avec la nouvelle restructuration, la PCH disposera d’une plus grande marge de manœuvre pour une meilleure gestion de l’établissement et de la distribution du médicament. Ce qui lui permettra aussi d’être moins endettée qu’elle l’est actuellement auprès des fournisseurs nationaux et étrangers, d’où les ruptures importantes de stock en médicaments dans les établissements de santé. Rappelons que la PCH a, à son actif, un découvert de 3 milliards de dinars, alors que la dette des hôpitaux envers la PCH est estimée à 20 milliards de dinars.
  • C’est un sérieux problème dans lequel se débat la PCH, qui se voit refuser par certains producteurs nationaux de livrer des bons de commandes tant que les créances n’auront pas été honorées. Le cas des solutés massifs est édifiant. Des ruptures de stocks dans les hôpitaux avaient pénalisé les malades, alors que des quantités importantes de ces produits étaient disponibles au niveau des fournisseurs et des producteurs algériens.  
  • Ce problème de créances trouve son origine dans les nouvelles mesures du code des marchés publics.
  • La lenteur dans l’exploitation des dossiers au niveau de la commission des marchés serait à l’origine de toutes ces difficultés. D’ailleurs, les appels d’offres dont l’ouverture des plis s’est faite en mars dernier sont à ce jour non encore attribués pour plusieurs raisons, dont les problèmes financiers.
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  • Djamila Kourta
  • Situation sécuritaire au sahel
  • Mise en garde contre les contacts entre Al Qaîda et les narcotrafiquantsAgrandir la taille du texte
  • le 31.10.11 |
  • Le commissaire africain à la paix et à la sécurité, Ramtane Lamamra, a affirmé, hier, que «les terroristes prospèrent dans des environnements où l’application de la loi est faible, exploitant, entre autres, les conditions de marginalisation socioéconomique, l’exclusion politique, les violations des droits de l’homme, pour séduire des groupes et des individus et les impliquer dans des activités criminelles et terroristes qui leur offrent  une alternative économique». 
  • S’exprimant à l’ouverture de la 5e Conférence des points focaux du terrorisme, organisée par le Centre africain d’étude et de recherche sur le terrorisme (Caert), le responsable a exhorté les Etats membres «à accorder une attention égale au traitement des conditions propices à la propagation du terrorisme et aux voies et moyens de protéger les communautés pour ne pas être la proie de l’idéologie et du recrutement terroristes». L’Afrique du Nord, a-t-il souligné, «connaît des évolutions, réformes et transformations démocratiques profondes et les groupes terroristes cherchent à exploiter la  situation en vue d’étendre leur portée territoriale, accéder à de nouvelles sources de financement et d’armement et répandre leur message de haine et de violence». M. Lamamra est revenu sur la situation en Afrique, notamment en Somalie et en Afrique de l’Est, en déclarant : «Les insurgés shebab persistent dans leur tentative d’écraser l’espoir du peuple somalien pour une paix longtemps recherchée.
  • Ils continuent à essayer d’intimider les autres pays de la région qui se sont engagés en faveur de la réalisation de la paix et de la stabilité en Somalie. La menace terroriste à laquelle le continent africain fait face est une question complexe. Le trafic de drogue, la traite des êtres humains, la piraterie, la prolifération illicite des armes et le blanchiment d’argent sont tous des variantes de la criminalité transnationale organisée.» Il a enfin mis en garde contre les «contacts» entre les terroristes d’Al Qaîda et les trafiquants de drogue. Il a annoncé qu’une nouvelle stratégie de lutte, de contrôle de la prolifération, de la circulation et du trafic des armes légères et de petit calibre sera soumise à la session  du Conseil exécutif de l’UA en janvier 2012 pour approbation.
  • Pour sa part, M. Rezzag-Bara, coordinateur interministériel chargé de l’action extérieure de la lutte antiterroriste, a indiqué que l’Algérie s’emploie à renforcer une dynamique sous-régionale afin «d’empêcher toute tentative de sanctuarisation des groupes terroristes dans le Sahel africain et prévenir les prises d’otages. Il s’agit aussi de lutter pour l’élargissement du consensus international pour la prohibition du paiement des rançons aux groupes terroristes et contre les connexions entre le terrorisme et la grande criminalité organisée, tout cela en encourageant le développement économique et social de la sous-région  dans le cadre d’un partenariat rénové avec les acteurs extra-régionaux sans aucune ingérence extérieure». Revenant sur la situation au Sahel, M. Rezzag-Bara a affirmé que celui-ci «vit une situation sécuritaire préoccupante du fait que des groupes de terroristes, notamment AQMI, financent désormais une bonne partie de leurs  activités avec l’argent des rançons et  les revenus générés par des trafics en tous genres, particulièrement la drogue en provenance d’Amérique du Sud».  Abondant dans le même sens, le directeur du Caert, Francisco Caetano José Madeira, a été plus direct : «Nous devons les arrêter et discréditer leurs mouvances.
  • Pour améliorer le plan d’action contre le terrorisme, il est urgent que nous renforcions nos mécanismes de défense et nos méthodes de travail», a-t-il déclaré dans son allocution d’ouverture des travaux. Il a rappelé au passage la demande de la Commission de l’Union africaine aux Etats membres et aux communautés régionales «d’adopter de manière urgente  une stratégie nationale et régionale antiterroriste afin d’assurer la coordination,  la cohésion, l’efficacité et le partage des informations entre les institutions  impliquées, les pays voisins et au niveau régional». M. Caetano a mis l’accent sur «le renforcement de la sécurité des frontières», en précisant : «L’identité des personnes doit être vérifiée pour savoir s’ils appartiennent à des groupes criminels ou à des groupes de terroristes.
  • Il doit y avoir des systèmes de vérification sur place des cargaisons qui entrent dans les pays ou qui sont envoyées à partir de ces pays (…) et il devrait y avoir un échange d’informations sur place avec les autorités et les pays voisins afin que tout le monde soit conscient du danger. Les espaces maritime et aérien doivent aussi être sécurisés, l’argent doit être contrôlé et ceux qui ont commis des actes terroristes doivent être jugés, inculpés et condamnés.»
  • En conclusion, le directeur du Caert a déclaré : «Les renseignements doivent être collectés pour identifier les conspirations et les complots possibles afin d’éviter qu’ils ne soient commis. Des investigations doivent être menées pour arrêter les terroristes  et les criminels puis les présenter devant la justice.»
  • Salima Tlemçani
  • Crise au sein de l’Alliance présidentielle
  • «L’après-Bouteflika» aiguise les ambitions
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  • le 31.10.11 | 01h00 Réagissez
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  • Le triumvirat de l’Alliance présidentielle – le Front de libération nationale (FLN), le Rassemblement national démocratique (RND) et le Mouvement de la société pour la paix (MSP) – se tire dans les pattes.
  • Ce n’est pas la première fois que les chefs de ces partis, respectivement Abdelaziz Belkhadem, Ahmed Ouyahia et Bouguerra Soltani, se livrent une telle bataille et à une aussi frontale diatribe, et échangent des amabilités, mais il faut dire que cette fois, le ton utilisé par les trois responsables politiques est monté d’un cran.  Le secrétaire général du FLN dénonce «l’opportunisme» du RND, tandis que le président du MSP accuse ses deux alliés d’«avoir détourné les réformes du président Bouteflika». En principe et logiquement, l’Alliance présidentielle n’a plus raison d’être tant les divergences entre ses trois composants sont devenues importantes. Qu’à cela ne tienne, personne ne veut prononcer le divorce. Les trois partis s’y accrochent comme on s’accrocherait à une bouée de sauvetage en raison du manque de visibilité et de lisibilité politiques dans le pays. Il n’y a pas à s’y méprendre, cette confrontation a des soubassements autres que ceux annoncés par les acteurs eux-mêmes.
  • Les prétendus différends autour des «réformes politiques» cachent mal des enjeux nettement plus importants et plus concrets. Il s’agit surtout des décisives élections législatives puis locales et de l’élection présidentielle de 2014, qui constituent en réalité le vrai motif de cette guéguerre entre les trois têtes de file de l’Alliance présidentielle.  Dans un autre contexte, celui d’il y a quatre ans par exemple, le mariage contre nature entre des entités hétéroclites que rien ne rassemble sauf la rente, aurait eu encore de beaux jours devant lui. Mais les données ont été tellement bouleversées que le compagnonnage donne l’air d’atteindre ses limites et de battre de l’aile. Pour ce faire, deux facteurs aussi importants l’un que l’autre sont intervenus : le premier est incontestablement le fait que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, autour duquel est tissée l’Alliance présidentielle, ne peut visiblement plus se présenter pour un autre mandat et ce (c’est le deuxième facteur) dans un contexte marqué par les révoltes et les changements politiques qui se déroulent dans le Monde arabe et en Afrique du Nord. Des paramètres ayant certainement été pris en compte par les soutiens du chef de l’Etat.
  • Ce que beaucoup appellent donc «l’après-Bouteflika» – et il semblerait qu’on y est déjà – a réveillé des ambitions insoupçonnées chez nombre d’acteurs politiques dans le pays. Abdelaziz Belkhadem, Ahmed Ouyahia et Bouguerra Soltani nourriraient chacun le désir d’accéder à un destin national. Tous les trois ont eu à l’exprimer, chacun à sa façon. Le premier a dit : «Pourquoi pas ?», le second s’était engagé «à ne pas se présenter contre le président de la République» – et maintenant que ce dernier semble incapable de briguer un quatrième mandat ? – et le troisième est grisé par la montée des mouvements islamistes dans le Monde arabe, il est tenté alors lui aussi d’essayer le coup. Par quelque bout qu’on les prenne, leurs dernières sorties publiques ne peuvent avoir d’autres explications. Elles ne sont en fait que l’expression de leurs ambitions dans un «après-Bouteflika» caractérisé par un flou total quant à l’avenir politique du pays.
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  • Said Rabia
  • Sidi Bel Abbès : La faculté de médecine en effervescence
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  • le 31.10.11 |
  • La faculté de médecine de Sidi Bel Abbès a été paralysée, hier, pour la deuxième journée consécutive, par un mouvement de grève initié par des étudiants en médecine, en chirurgie dentaire et en pharmacie.
  • Dès le matin, un sit-in a été observé devant les locaux de l’administration alors que les principaux accès ont été bloqués.
  • Les grévistes dénoncent, à travers ce mouvement de protestation, la «falsification» de procès-verbaux de notes finales d’examens, notamment ceux de la filière médecine (biochimie), ayant conduit à l’ajournement d’une dizaine d’étudiants alors qu’ils étaient portés admis. Par contre, un certain nombre d’étudiants auraient été admis en troisième année alors qu’ils étaient recalés, d’après des documents authentifiés remis à El Watan.
  • Des preuves accablantes mettant en cause plusieurs enseignants ont été réunies et adressées à différentes institutions, selon un représentant des protestataires. Il s’agit, entre autres, de procès-verbaux de notes finales contradictoires portant la même date (session de juin 2011). Des PV que certains enseignants ont refusé de parapher, ajoute-t-il, pour signifier leur refus de cautionner les pratiques de favoritisme telles que dénoncées par les étudiants de médecine.  Ce mouvement de protestation fait suite, rappelons-le, au sit-in observé jeudi dernier au niveau de la faculté, dont l’accès principal a été couvert de banderoles hostiles à l’administration universitaire. Des banderoles sur lesquelles on pouvait lire : «Non à la hogra», «Non à la vente des notes», «Où est la dignité de l’étudiant ?».
  • Le wali de Sidi Bel Abbès, qui s’est rendu hier à la faculté de médecine où il s’est entretenu avec les représentants des étudiants, s’est dit disposé à intervenir pour trouver une solution à cette situation. Cette affaire, qui a désormais tous les aspects d’un manquement grave à l’éthique scientifique dans l’une des plus importantes facultés de médecine du pays, devrait interpeller les instances académiques au plus haut niveau. Des praticiens des secteurs public et privé ont, d’ailleurs, exprimé leur désapprobation face à ce genre de pratiques, tout en appelant le doyen de la faculté ainsi que l’ensemble des membres du conseil scientifique à présenter leur démission.
  • Une commission d’enquête composée de quatre membres, instituée par le recteur de l’université, a entamé hier son travail à l’effet de faire la lumière sur cette scabreuse affaire. Elle devrait rendre ses conclusions dans les plus brefs délais, a indiqué hier le vice-recteur chargé de la pédagogie. Des conclusions que grévistes et enseignants attendent impatiemment…
  • Mammeri Abdelkrim

 

 



31/10/2011
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