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Syrie: l'ambassade russe à Damas touchée par un obus
le 22.09.13 | 11h18 | mis à jour le 22.09.13 | 13h23
Un obus rebelle a touché pour la première fois dimanche à Damas l'ambassade...
Un obus rebelle a touché pour la première fois dimanche à Damas l'ambassade de la Russie, qui a accusé Washington de lui faire du chantage pour qu'elle approuve une résolution de l'ONU contre son allié syrien. "Un obus de mortier est tombé sur le terrain de l'ambassade sans faire de victime", a indiqué une source au sein de la représentation russe à l'agence officielle syrienne Sana, ajoutant que la chancellerie "fonctionne normalement". L'ambassade a été visée par le passé mais c'est la première fois que son périmètre est touché, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) qui s'appuie sur un vaste réseau de militants et de sources médicales à l'intérieur du pays.
Kenya: agents israéliens et forces kényanes au secours des otages
le 21.09.13 | 12h02 | mis à jour le 22.09.13 | 15h54
Des agents israéliens sont intervenus dimanche aux côtés des forces kényanes...
Des agents israéliens sont intervenus dimanche aux côtés des forces kényanes dans le centre commercial Westgate de Nairobi, où au moins 59 personnes ont été tuées dans l'assaut d'un commando islamiste, toujours retranché sur place avec des otages. "Les Israéliens viennent d'entrer et ils secourent les otages et les blessés", au Westgate Mall, réputé être en partie la propriété d'Israéliens, a indiqué à l'AFP une source sécuritaire sous couvert d'anonymat. Interrogé par l'AFP, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Paul Hirschson, a indiqué n'avoir pas pour "habitude de commenter une quelconque opération conjointe de sécurité qui pourrait ou non être en cours". Un autre responsable israélien a laissé entendre qu'il pourrait ne pas s'agir d'une intervention armée à proprement parler, mais plutôt d'un appui logistique. A l'intérieur du centre commercial, la confrontation dure depuis plus de 24 heures entre le commando islamiste et les forces kényanes.
le 01.09.13 | 06h55 | mis à jour le 01.09.13 | 09h09
le cancer touchera plus d'Algériens Les cancers du côlon, du poumon et de l’utérus restent les plus répandus en Algérie, avec un taux de 50%, touchant la...
battante et combattante algérienne «Je suis née en 1927 à Alger. Depuis 1993, je suis veuve de Abdelkader Safir qui fut journaliste… J’ai vécu mon...
Provocations des salafistes à Aghribs Une rumeur a été propagée, la semaine dernière, par un groupuscule de salafistes d’Aghribs, chef-lieu de commune...
USMA 1 - MCA 0 L’USM Alger a remporté, hier, au stade du 5 Juillet, le derby algérois qui l’a opposé, pour le compte de la 5e...
Necib hors match L’arbitre Redouane Necib a renvoyé, hier, une piètre image de l’arbitrage algérien, plus particulièrement en...
Les Canaris stoppés dans leur élan Les Kabyles, qui étaient dans une belle dynamique de résultats positifs qui les a propulsés en haut du tableau, ont vu leur...
Damas fait un petit pas La Russie semble contente de ce petit pas de Damas qui a respecté son premier engagement, à savoir remettre à l’OiaC dans les...
l'Egypte à la croisée des chemins Se présentera-t-il à la présidentielle promise en 2014 en Egypte ? La question est sur toutes les lèvres, mais le...
Culture
Archie Shepp, come-back à Alger ! Le 6 e Festival culturel international du diwan d’Alger se déroulera du 27 septembre au 3 octobre à la salle Ibn Zeydoun de Riadh El...
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Réunion des services secrets américains, anglais et algériens
La lutte contre le terrorisme au menu
Les services secrets algériens, américains et anglais examinent la situation sécuritaire en Tunisie.
Une réunion secrète a été tenue, le 17 septembre dernier au siège du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) à Beni Messous, regroupant des officiers des services secrets de renseignements des trois pays. L’objectif, explique une source sûre, est la lutte contre le terrorisme dans la région et la dégradation de la situation sécuritaire en Tunisie qui a pris des proportions alarmantes depuis l’accession des islamistes au pouvoir.
L’USM Alger a remporté, hier, au stade du 5 Juillet, le derby algérois qui l’a opposé, pour le compte de la 5e journée du championnat de Ligue 1, au MCA sur le score d’un but à zéro rééditant ainsi l’exploit réalisé, le 1er mai dernier, à l’occasion de la finale de la Coupe d’Algérie.
Le seul but de la partie a été inscrit par Gasmi (12’) sur un penalty contesté par les Mouloudénes qui ont estimé que le défenseur Belaïd a commis sa faute à l’extérieur de la surface de réparation. Au tout début du match, les choses étaient équilibrées même s’il y avait un léger avantage pour les Usmistes qui donnaient l’impression d’être mieux en jambes. Tentant une incursion sur le côté, Gasmi est bousculé par Belaïd (10’) à la limite de la surface de réparation. L’arbitre Necib n’hésite pas à siffler un penalty transformé en but par le même joueur. Deux minutes après ce but, Yachir pénètre dans la surface de réparation de l’USMA. Khoualed, bousculé intentionnellement par un de ses coéquipiers, glisse et fait tomber, pour sa part, l’attaquant mouloudéen qui réclame un penalty mais l’arbitre ne bronche pas.
Nucléaire: l'Iran réaffirme son droit à enrichir l'uranium
le 22.09.13 | 10h03
Le président iranien Hassan Rohani a réaffirmé dimanche le droit de son pays...
Le président iranien Hassan Rohani a réaffirmé dimanche le droit de son pays à enrichir de l'uranium sur son sol, à la veille de son départ pour l'Assemblée génerale de l'ONU où cette question sera au centre des discussions internationales. "Le peuple iranien veut se développer et ne cherche pas à fabriquer l'arme atomique", a-t-il martelé, alors que les grandes puissances occidentales soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert de son programme civil. Mais, a-t-il dit lors d'un discours à l'occasion du défilé annuel des forces armées, l’Occident doit accepter "tous les droits de la nation iranienne, notamment les droits nucléaires et à l'enrichissement d'uranium en territoire iranien dans le cadre des règles internationales
Troisième semaine de reprise des cours et déjà une action de protestation. Elle est à l’initiative de la Coordination des professeurs techniques des lycées techniques qui revient à la charge pour exiger la réhabilitation d’un corps qui a souffert du démantèlement de l’enseignement technique du temps de
Troisième semaine de reprise des cours et déjà une action de protestation. Elle est à l’initiative de la Coordination des professeurs techniques des lycées techniques qui revient à la charge pour exiger la réhabilitation d’un corps qui a souffert du démantèlement de l’enseignement technique du temps de Benbouzid.
Nawal Imès - Alger (Le Soir) La Coordination des professeurs du technique revient à la charge. Elle appelle non seulement ses adhérents mais également l’ensemble des enseignants du secondaire à s’unir et à adhérer à l’action de protestation prévue mardi prochain en interrompant les cours pendant une heure entre 10 h et 11 h. Ladite coordination a lancé un appel à l’ensemble des syndicats du secteur leur demandant de se joindre à l’action pour soutenir leurs collègues de l’enseignement technique qui ont subi de plein fouet les conséquences du démantèlement de l’enseignement technique. Poursuivant son combat pour la réhabilitation des professeurs du technique, la coordination appelle à la régularisation de la situation des professeurs du technique en fonction des tâches qui leur sont confiées au sein des établissements scolaires, à la réhabilitation du certificat d’aptitude professionnelle et technique. Pour la coordination représentant les enseignants du technique, un même salaire doit être attribué à ces derniers puisqu’ils accomplissent les mêmes tâches que leurs collègues enseignants du secondaire. Après le démantèlement de l’enseignement technique, des professeurs se sont retrouvés à enseigner des matières n’ayant rien à voir avec leurs spécialités dans des lycées généralistes. Pire encore, certains se retrouvent à effectuer des tâches au niveau des laboratoires ou des bibliothèques. Le patrimoine des lycées techniques a également été dilapidé. Les magasins, ateliers et laboratoires techniques ont été fermés ou transformés en salles de cours, les équipes pédagogiques du technique ont été dissoutes alors qu’il avait fallu une dizaine d’années pour les constituer. Aujourd’hui, les enseignants du technique, les chefs de travaux et les chefs d’ateliers ont été dispersés à travers les lycées d’enseignements général. Une situation inacceptable pour la coordination qui les représente. N. I.
Le prix du poulet a frôlé les 460 dinars le kilo. Les mesures d’aides destinées aux aviculteurs mises en place par le ministère de l’Agriculture et du Développement rural ont-elles montré leurs limites ? Le président du Comité interprofessionnel de la filière avicole qui refuse de remettre en cause le dispositif prévoit une baisse importante du prix du poulet d’ici la fin septembre.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) En faveur des prix de poulet acceptables, les aviculteurs bénéficient, depuis début septembre et pour la seconde fois consécutive, des exonérations de la TVA sur l’aliment destiné à la volaille et la suppression des droits de douanes. Cependant, cette mesure d’assouplissement n’a nullement influencé sur le prix du poulet qui se vend à 460 dinars le kilo. Le président du Comité interprofessionnel de la filière avicole explique que la filière est en phase d’organisation. Selon ce dernier, la mesure prise en faveur des aviculteurs ne peut être remise en cause. Cependant, dit-il, les aviculteurs ne font pas d’élevage en été, de peur des pertes qu’ils peuvent subir en raison de la chaleur. La hausse du prix du poulet, pendant cette période de forte chaleur, poursuit ce responsable, est momentanée. «Il ya eu une forte consommation du produit durant le Ramadhan et le mois d’août qui est une période de fêtes», a souligné M. Aïdouni pour justifier cette hausse. Selon lui, le prix du poulet reprendra son cours normal d’ici fin septembre et sera vendu entre 280 à 300 dinars le kilo. Du côté du ministère de l’Agriculture, l’on explique qu’il ya eu une forte mise en place de poussins durant le mois de juin dernier. A côté, il ya une forte consommation du produit durant le mois deRamadhan et le mois d’août. Une période de chaleur où les aviculteurs se sont abstenus à l’élevage du poussin. Les aviculteurs qui continuent de travailler d’une manière traditionnelle dans des bâtiments dépourvus de moyens d’aération et de ventilation refusent ainsi de prendre le risque de perdre leurs élevages durant les périodes de forte chaleur. Pourtant, souligne-t-on, au ministère de l’Agriculture, l’Etat à mis à la disposition des aviculteurs des crédits pour se doter de moyens modernes d’élevage. Des moyens auxquels les aviculteurs n’ont pas adhéré pour ne pas payer des taxes supplémentaires, indique-t-on. A travers cette mesure d’aide, le ministère de l’Agriculture vise à atteindre une production de 1,1 million de tonnes à court terme, soit un niveau de consommation annuelle par habitant de 30 à 40 kg contre 20 kg actuellement. Or, pour produire ces quantités, les reproducteurs de poussins chair doivent mettre sur le marché quelque 20 millions de poussins par semaine au lieu de 14 millions actuellement. A souligner que le taux de mortalité du poussin varie entre 2 et 3% dans les autres pays développés contre 20% chez un éleveur algérien. S. A.
Pour le porte-parole du comité de coordination des mutuelles, Abdelkader Harmat, «le gouvernement devrait reconnaître à la mutuelle, davantage de droits et de liberté pour la gestion de ses fonds, pour ses activités et dans sa coopération avec les autres composantes du secteur de l’économie sociale et solidaire».
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) L’avant-projet de loi sur les mutuelles, qui sera prochainement soumis à l’APN, suscite ces jours-ci un grand débat entre mutualistes. Surtout que le ministère du Travail, de l’emploi et de la Sécurité sociale, n’a pas associé le partenaire social dans l’élaboration de ce texte de loi. Abdelkader Harmat, porte-parole du comité de coordination des mutuelles, et néanmoins membre du réseau euro-méditerranéen de l’économie sociale et solidaire, porte un regard sur l’avenir de ce secteur, dans un document rendu public : «Pérenniser la forme et la culture mutualistes est une donnée essentielle du moment. Nous avons besoin d’un statut identique pour l’ensemble de la branche mutualiste», une manière poursuit-il de «rendre la gestion de ce secteur moins opaque». Cependant, il trouve que «cette évolution rencontre des résistances au sein de l’administration chargée de la Sécurité sociale et des dirigeants d’un certain patronat bien évidemment et parfois même au sein du mouvement mutualiste lui-même. Certains de ses dirigeants se sont efforcés de faire tourner en arrière la roue de l’histoire, uniquement dans le but de masquer leur mauvaise gestion auprès de cette même administration, mais là, c’est peine perdue. Une nouvelle période a vu le jour, c’est celle d’un mouvement mutualiste indépendant, démocratique et libre, agissant de ses propres forces pour défendre ses droits et libertés et coopérant de plus en plus activement avec le mouvement syndical. Cette évolution peut connaître des aléas des retards ou certains reculs, mais elle est irréversible». Par ailleurs, Abdelkader Harmat n’a pas manqué de rappeler les propos du Premier ministre quand il a souligné qu’«il est du devoir de tout responsable et à tous les niveaux d’accepter de discuter avec les acteurs des secteurs concernés de l’opportunité et de la faisabilité d’une politique commune». Cela dit, il ajoute : «Bien que le rapport final puisse apporter des orientations en termes de gestion, des recommandations trahissent plutôt une attitude prudente.» Enfin, il fait savoir que «la réforme de la loi sur la mutualité est décidée afin d’adapter les textes législatifs aux nouvelles orientations», lesquelles, de son avis, doivent être d’une tendance plus libérale afin d’assurer l’avenir de la mutuelle en Algérie. M. M.
Le leader du championnat d'Algérie de Ligue 2 professionnelle de football, le WA Tlemcen, tenu en échec par le MC Saïda (0-0), ne compte plus qu'un seul point d'avance sur le nouveau dauphin l'USM Bel-Abbès, qui a disposé difficilement de l'O Médéa sur le score de 2 à 1, lors de la cinquième journée. En déplacement à Saïda, les Zianides ont été accrochés par le MCS qui s'est montré une nouvelle fois incapable de s'imposer sur sa pelouse. Un score de parité qui fait les affaires du nouveau poursuivant, l'USM Bel Abbès, vainqueur au forceps face à l'OMédéa (2-1). Le meilleur buteur du championnat Hocine Achiou a ouvert la marque pour l'USMBA dès la première minute de la partie sur penalty mais c'était sans compter sur la réaction des visiteurs qui ont réussi à égaliser par Tchiko à la 5e minute également sur penalty. En infériorité numérique après l'expulsion de Amoura, l'O Médéa a fini par céder dans le dernier quart d'heure sur une réalisation de Nouri Ouznadji. Un succès qui permet aux hommes d’Abdelkrim Bira de s'emparer de la deuxième place à une longueur du leader. A l'opposé, son adversaire du jour recule à la sixième place à trois unités du premier. Le CA Batna, auteur de son troisième succès consécutif contre l'USMM Hadjout (1-0) grâce à un but de Hadjidj, est l'autre grand bénéficiaire de cette journée. Les protégés de Ali Fergani occupent, désormais, la troisième place du podium avec 9 points. L'USM Blida et l'ASM Oran, vainqueurs respectivement de l'A Bou-Saâda (2-1) et de l'US Chaouia (1-0) remontent à la quatrième place avec 8 points. En bas de classement, la journée a été marquée par le premier succès de la saison de l'USM Annaba et l'AB Merouana. Les Annabis ont disposé de l'AS Khroub (2-0) grâce à Bakhti et Abed et l'ABM a attendu la réception de son voisin le MSP Batna pour engranger les trois points de la victoire sur une réalisation de Boutemdjet. La cinquième journée a été marquée par l'expulsion de trois joueurs : Amoura (O Médéa), Madour (A Bou-Saâda) et Boukhenchouche (AB Merouana).
La lecture des résultats enregistrés, avant-hier, lors de cette deuxième étape du championnat national de la division une messieurs au niveau des quatre groupes démontre le fort démarrage des habituels animateurs de cette compétition. Parmi les belles victoires enregistrées, il y a celle d’Aïn Touta, vainqueur logique de Saïda qui se cherche encore et le succès de Bordj Bou-Arréridj à Alger. D’un côté, les Auréssiens démontrent que le travail de longue haleine a porté ses fruits alors que les Bordjiens ont su recomposer un ensemble compétitif après avoir vécu une terrible saignée. Quant aux nouveaux promus en ce palier, ils alternent le bon et le mauvais. Au groupe A, les Pétroliers et les El Biarois démarrent en trombe comme escompté, en témoignent leurs victoires, respectivement aux dépens de Rouibéens et des Blidéens. Ces derniers semblent encore dépaysés par ce nouvel environnement. Les Tizi-Ouzéens se sont rachetés devant les Béjaouis alors qu’Arzew a raté une victoire à Ouargla mais est revenu au bercail avec le point du nul. Dans la poule B, c’est un regroupement de cinq formations. Dans ce quinquet, le Mouloudia d’Oran revient en ce palier après plusieurs saisons de disette. Les Oranais se sont imposés de fort belle manière face aux Auressiens de Barika. Nous retrouvons aussi en tête, Boufarik, Baraki et M’sila. Pour le troisième groupe, c’est inhabituel comme classement puisque 6 équipes se partagent le fauteuil de leader. Ce sont Aïn Touta, Maghnia, Saïda, Mila et Tadjenanet. C’est une surprise de retrouver cette dernière à la première loge. Pour la formation de Bab-El-Oued, chère à Hamidou, sa mauvaise entame est quelque peu surprenante. Cependant, le fait d’être seule lanterne rouge ne devra pas les déprimer et laisser aller à l’abandon. Dans le quatrième et dernier groupe, les Bordjiens affichent déjà leur belle santé et ils l’ont démontré en s’imposant à Alger face aux protégés de Djelamid. Aussi, une défaite, même à domicile pourrait être une raison pour se remettre en question et se corriger car la compétition ne fait que débuter. N’oublions pas les Skikdis qui se placent aussi parmi les prétendants. L’autre formation d’Ouargla, celle du Widad prouve que son accession est méritée et ce ne sont pas les Sétifiens qui les contrediront puisqu’ils les Sudistes les ont battus aisément. Plutôt, ce sont les représentants des Hauts-Plateaux qui devraient se secouer vu cette léthargie qui les rend fébriles. H. C.
Café littéraire de Béjaïa : Samedi 28 septembre à 10h : L’auteur et reporter sportif Mohamed Boulahrouz animera un café littéraire au Théâtre régional de Béjaïa, autour de son ouvrage Les Mouvements culturels et sportifs à Bougie. La rencontre sera couronnée par une vente-dédicace. Le public est cordialement invité.
Galerie d’Arts Asselah (39, rue Asselah-Hocine (Alger- Centre) Jusqu’au 30 septembre : Exposition «Image et idée» de l’artiste peintre Chorfi Hacène.
Théâtre National algérien Mahieddine-Bachtarzi (Alger) : Du 23 au 30 septembre : Journées théâtrales du Sud. Lundi 23 septembre : A 18h : cérémonie d’ouverture. A 19h : Pièce El Rifaa de Azzouz Abdelkader, une production de l’Association culturelle des arts dramatiques Sarkhat El Rouk’h de Tamanrasset.
Centre culturel Oued Koriche, Alger Vendredi 27 septembre à 21h30 : Récital chaâbi avec Smaïl Lahouaoui.
OFFICE RIADH EL-FETH, ALGER Du 27 septembre au 3 octobre à 19h : Festival international de la musique diwan, à la salle Ibn Zeydoun.
MAISON DE LA CULTURE MOULOUD MAMMERI, TIZI-OUZOU Jusqu’au 22 septembre : 9e édition du Festival des arts du récit et du conte Le grain magique.
CENTRE DES CONVENTIONS D’ORAN Du 23 au 30 septembre : 7e édition du Festival culturel international d’Oran du film arabe.
MAISON DE LA CULTURE HASSAN EL-HASSANI, MÉDÉA Du 25 septembre au 2 octobre : 8e édition du Festival national du théâtre comique.
PALAIS DES RAÏS, BASTION 23, ALGER Du 29 septembre au 5 octobre : Semaine culturelle du Venezuela en Algérie.
Institut français d’Alger Jusqu’au 24 octobre : Exposition de Salah Khaldi. Vernissage le mardi 24 septembre à 18h.
Galerie Baya, Alger Jusqu’au 19 octobre : exposition de l’artiste peintre Meriem Kazouit.
Complexe culturel Abdelouahab-Salim, Chenoua Jusqu’au 30 septembre : Exposition de l’artiste peintre Djamel Talbi. MUSÉE PUBLIC NATIONAL DE L’ENLUMINURE, DE LA MINIATURE ET DE LA CALLIGRAPHIE, ALGER Jusqu’au 28 septembre : Exposition de l’artiste peintre Farah Laddi, sous le thème «Algérielle, une pluralité singulière».
Dar Abdeltif, chemin Kechkar-Omar, El-Hamma, Alger Jusqu’au 9 octobre : Résidence du photographe allemand Andréas Rost, en collaboration avec l’institut Goethe. Du 28 septembre au 10 octobre : Résidence du photographe belge Jim Symkay.
MUSÉE NATIONAL D’ART MODERNE ET CONTEMPORAIN, ALGER Du 21 septembre au 21 novembre : Exposition de Djamel Tatah.
MUSÉE PUBLIC NATIONAL CIRTA, CONSTANTINE Jusqu’au 30 septembre : «Aouchem», prolongation de l’exposition de l’artiste Mustapha Adane.
Salle El-Mouggar, Alger Jusqu’au 30 septembre : Projection du film L’archipel des sables de Ghaouti Bendeddouche (14h-16h-18h et 20h, sauf dimanche 22 septembre).
Institut culturel italien d’Alger Inscriptions aux cours de langue italienne. En prévision de la reprise des cours, prévue le samedi 5 octobre 2013, les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 septembre 2013, de dimanche à jeudi (9h — 16h). Adresse : Institut culturel italien, 4 bis, rue Yahia-Mazouni, El-Biar, Alger. Tél/fax : 21.92.51.91/021.92.38.73. Courrier : amministrazione.iicalgeri@esteri.it / www.iicalgeri.esteri.ii
Saïdani l’a déclaré : «Le FLN fera ce que Bouteflika voudra.»
Mon Dieu ! Eloignez les enfants !
Quand tu es jeune dans un pays à majorité de jeunes mais gouverné par ce carré d’As, Abdekka, Saïdani, Bensalah et le Tayeb-Band, qu’est-ce qu’il te reste à faire ? T’allonger et attendre que le chantier du tramway commence dans ta ville afin que la première rame te passe dessus et te délivre. Par exemple ! C’est une option, effectivement. Mais pour ça, il te faut être sûr que le chantier démarrera à temps et sera livré dans les délais. Autant croire que Amar Ghoul est vraiment un dirigeant islamiste, si tu vois ce que je veux dire ! Non ! Il y a des moyens plus rapides de se sortir d’affaire en terre d’Algérie. Oui ! Et par l’art, s’il te plaît ! La musique, tu y as pensé à la musique ? Je vois bien que non ! Pourtant ! Tu devrais commencer à creuser la chose. Il y a des créneaux porteurs en musique. Dans les instruments à vent et dans les percussions. A toi de voir quels sont tes penchants. La flûte ou le bendir ! Moi, ce que j’en dis, je n’ai aucun a-priori. J’estime seulement que ces deux instruments peuvent mener à tout ! Tu peux entrer ainsi dans l’Histoire, succéder à Larbi Ben M’hidi, juste porté par le rythme d’un des deux instruments ! Eh oui ! Bon, d’accord, pas de manière chronologique, mais tout de même ! T’es là, figurant dans la galerie des Boss du parti qui a fondé l’Etat-nation. Et y a pas que ça, mon n’veu ! La flûte ou le bendir, ou les deux associés dans une jam d’enfer, ça peut aussi te permettre de «recadrer» un Premier ministre en lui ordonnant de se taire et de continuer à faire son boulot de «patron d’un exécutif de technocrates». Si ! Si ! Je t’assure ! Toi, le flûtiste ou le bendiriste, tu peux balancer ça à la figure d’un énarque, d’un mec qui a étudié et tout le toutim, tout le monde reprend l’info le lendemain, sans que ça ne choque plus personne. Ceci étant, je suis d’accord avec toi ! Personne n’oblige personne à rien ! L’énarque peut aussi décider que ça suffit, que les musiciens n’ont pas à lui clouer le bec et à lui dicter ce que lui, Premier ministre, doit ou ne doit pas faire. S’il ne se rebiffe pas, qu’il avale alors toute la partition ! Flûte, bendir, orgue et ghaïta. Personne n’oblige personne à rien. Mais je persiste et signe : l’avenir est dans la zizic ! Au diable le savoir ! Et puis, au fond, et en attendant que tu te décides à opter pour la flûte ou le bendir, je peux bien te l’avouer maintenant. Ce qui m’inquiète au plus haut point dans mon pays, ce n’est pas tant qu’un saltimbanque de mauvaise salle des fêtes ou de troquet mal famé arrive à la tête du FLN. Non ! Ce qui me fait dresser les rares poils que j’ai encore sur le bras, c’est qu’il n’y ait plus d’airbags pour empêcher ce genre de chocs, d’incidents, d’accidents. En clair, Saïdani ne m’intéresse pas. Ce sont les valideurs du personnel de cabarets, musiciens et comiques compris qui accaparent ces dernières heures toute mon attention. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
La chancelière allemande Angela Merkel a remporté dimanche un triomphe...
La chancelière allemande Angela Merkel a remporté dimanche un triomphe personnel lors des législatives, son parti conservateur CDU recueillant plus de 42% des suffrages, mais elle devra probablement gouverner avec l'opposition sociale-démocrate, selon les estimations des télévisions. L'allié libéral de la CDU, le FDP aurait échoué à atteindre les 5% nécessaires pour avoir des députés au Bundestag, pour la première fois dans l'histoire de l'Allemagne fédérale, alors que les sociaux-démocrates du SPD auraient recueilli 26 à 26,5% des suffrages.
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