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Actualités
	Le Bonjour du «Soir» La prémonition de Boussad Abdiche
	Premier conseil des ministres du 4e mandat Bouteflika lance ses chantiers dans l’urgence
	SON FONDATEUR AFFIRME REGRETTER SON SOUTIEN À UN 4e MANDAT Une nouvelle organisation pour les gardes communaux
	Événements du 8 mai 1945 à Kherrata Le FFS réclame la reconnaissance du statut de martyr aux victimes des massacres
	LE «PROJET DU SIÈCLE» A ENREGISTRÉ 1442 ACCIDENTS ET 482 MORTS EN 2013 L’autoroute qui tue
	Risque de propagation de la fièvre aphteuse en Algérie Lancement d’une seconde campagne de vaccination
	SALON ALGERIA BOAT SHOW  Nautisme et plaisance, un secteur «à l’état brut»
	Monnaie La Banque d’Algérie s’explique sur l’opération de retrait de billets
	Contrôle du Marché financier Les insuffisances que recèle la COSOB
	La liste des cours à réviser pour le bac affichée dans les lycées Le dernier cadeau de Baba Ahmed

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Actualités :

La Banque d’Algérie procédera à un retrait d’anciens billets de banque. Ces derniers représentent une quantité minime soit 0,5% de la masse des billets en circulation et 3% de leur valeur générale. 
Le retrait qui sera opéré est le troisième du genre réalisé par la Banque d’Algérie, après celui du début de l’année 80 à la fin 90 et celui de 1997. 
Les billets qui seront retirés seront utilisés et auront un cours légal jusqu’au 31 décembre 2014 et par la suite pourront toujours être échangés au niveau des banques jusqu’à la même date et à la Banque d’Algérie dès janvier 2015 et jusqu’au 31 décembre 2024, a précisé hier M. Mohamed Brahim responsable à la Banque d’Algérie. 
Selon les responsables de la Banque d’Algérie intervenant hier lors d’une conférence de presse, le retrait a un caractère technique notamment en raison du fait qu’il s’agit de billets de banque de la première et seconde séries d’émission qui ont plus de 30 ans d’âge. 
Ainsi les quantités imprimées et émises de ces séries de billets, ont, pour une grande partie, été remplacées au fur et à mesure dans le cadre du travail quotidien des guichets de la Banque d’Algérie, pour ce qui est des billets qui transitent par la Banque d’Algérie. 
Les responsables noteront également que les nouvelles émissions de billets de banque et de pièces de monnaie depuis 1992 ont permis aussi aux services de la Banque d’Algérie de procéder à un remplacement progressif des anciens billets qui seront retirés et un élargissement des pièces de monnaie en circulation. Il s’agit ainsi du retrait de cinq billets actuellement en circulation. 
Ce sont les billets de cent (100) dinars de types «1981» et «1982» et deux cents (200), vingt (20) et dix (10) dinars algériens de type «1983». 
La Banque d’Algérie expliquera aussi que ces billets ont déjà été grandement remplacés par de nouveaux billets.
F.-Zohra B.

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Actualités :

Ultime «cadeau» de Baba Ahmed aux candidats au baccalauréat. Le seuil des cours, réclamé par ces derniers, a été fixé hier au moment où le ministre de l’Education quittait son poste. Le listing des cours à réviser est depuis hier accroché au niveau des lycées. 
Nawal Imès - Alger (Le Soir)
Depuis hier, les lycéens connaissent le seuil des cours qu’ils devront réviser en prévision des épreuves du baccalauréat. Les chefs d’établissements étaient destinataires d’une liste détaillée des cours à réviser par branches. Le département de l’éducation devait organiser une conférence nationale au cours de laquelle devait été annoncé de manière officielle le fameux seuil exigé par les lycéens mais le départ du gouvernement de Baba Ahmed a chamboulé le calendrier. 
Le département de Baba Ahmed s’est donc contenté d’envoyer les fameuses listes qui sont depuis mardi affichées au niveau des établissements. La nouvelle ministre de l’Education n’a pas jugé utile de présider ladite rencontre arguant qu’il s’agissait non seulement d’une rencontre dont l’ordre du jour avait été décidé par son prédécesseur mais qu’il lui fallait un peu de temps pour s’imprégner et décider des priorités du secteur. Son prédécesseur n’aura finalement pas résisté à la pression des lycéens et cédé à leurs doléances en fixant le fameux seuil jugé par lui-même antipédagogique. 
Baba Ahmed avait à plusieurs reprises fait savoir que cette pratique introduite sous Benbouzid n’était pas de nature à redorer le blason d’un examen de plus en plus discrédité. Baba Ahmed avait même laissé entendre qu’il se dirigeait vers sa suppression. 
Un projet qu’il n’a pas mené à bien, probablement en raison des nombreuses grèves qui ont perturbé l’année scolaire mais également en raison du manque de courage politique. 
La suppression dudit seuil ne sera certainement pas du goût des lycéens. S’il devait revenir sur ce qui est désormais considéré comme un acquis, le gouvernement fera certainement face à des mouvements de colère qu’il n’est pas en mesure d’assumer en cette période postélectorale. Résultat : de concession en concession, les lycéens pourraient un jour exiger de connaître les sujets du baccalauréat sans que cela ne choque plus personne. Pourtant au sein même de la famille de l’éducation, ces mêmes concessions ne sont pas applaudies. Les syndicats du secteur se sont à l’unanimité exprimés contre cette pratique entrée dans les mœurs et proposé d’autres mesures pour redonner à l’examen ses lettres de noblesse. Le retour à la fiche de synthèse en fait partie. Elle permettrait de valoriser le travail fourni par les lycéens tout au long de l’année et de ne pas sanctionner les bons élèves victimes du trac le jour de l’examen. Il appartient désormais à la nouvelle ministre de l’Education de trancher.
N. I.

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Actualités : Premier conseil des ministres du 4e mandat
Bouteflika lance ses chantiers dans l’urgence 

Abdelaziz Bouteflika accélère la cadence. Sitôt effectué, dans l’urgence, le surprenant remaniement du nouveau gouvernement Sellal, il préside quarante-huit heures plus tard, c'est-à-dire hier mercredi, le premier Conseil des ministres de son quatrième mandat. Bouteflika s’engage au Conseil des ministres à concrétiser tous ses engagements de campagne électorale. Et ils sont tellement nombreux.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir)
Durant ce premier Conseil de l’après-présidentielle du 17 avril, il a été beaucoup question de «stabilité». Bouteflika estimera que ces élections «ont vu le peuple algérien vaillant se prononcer fermement contre le désordre, la violence, et la fitna. Il aura fait montre d’un sursaut patriotique exceptionnel (en s’engageant) à barrer la route à l’aventurisme et à ses prophètes» ! Décidément, Bouteflika ne veut toujours pas «lâcher» sa bête noire de toujours, Ali Benflis ! 
L’on ne peut également pas ne pas relever cette autre phrase assassine, qui suit immédiatement après, sans doute destinée, celle-là, à la cible permanente du patron du FLN : «les Algériens et les Algériennes ne sauraient accepter que la démocratie s'exerce hors des règles et des institutions définies dans la Constitution, ou loin d'une conduite pacifique qui s'impose à tous, ni encore moins, en contresens de la volonté souveraine exprimée par notre peuple»... Cela étant, Bouteflika ne manquerait pas de «compenser son attaque par un vibrant hommage aux forces de l’ANP. 
Et, inhabituellement chez lui, Bouteflika évoquera même la dernière opération antiterroriste menée par l’armée à Tinzaouatine ! On lit ainsi, dans le même communiqué que «le Conseil des ministres a été informé de l'opération brillamment menée par l'Armée nationale populaire il y a deux jours, dans la région de Tinzaouatine, durant laquelle a été annihilée une dangereuse tentative d'infiltration d'un groupe terroriste lourdement armé, dont les éléments sont originaires du Mali, de Libye et de Tunisie». L’homme qui a bâti toute la légitimité de son quatrième mandat sur ce thème de la stabilité insistera particulièrement sur ce point, estimant que «cette nouvelle agression extérieure interpelle toute la société algérienne pour faire preuve de la plus grande vigilance et soutenir ainsi l’engagement des forces de l’ANP et des forces de sécurité face au terrorisme abject». L’on est en tout cas vraiment très loin du discours récurrent sur la «réconciliation nationale».

«Nous devons engager une véritable course contre la montre»
Face à son nouveau gouvernement, visiblement chargé d’une mission temporaire, Bouteflika s’était montré très ferme et très exigeant. 
Ainsi, et évoquant son programme électoral et, partant ses engagements, il dira : «En tant que pouvoirs publics, nous devront engager une véritable course contre le temps (...) pour satisfaire les attentes de notre peuple ». Le toujours patron du palais d’El Mouradia citera même une série de chantiers à lancer dans les plus brefs délais, et dans tous les domaines ! Il est entre autres question de la mise en place, des autorités de régulation de la presse écrite et audiovisuelle, de la mise en œuvre du nouveau découpage administratif, de l’accélération du processus d’adhésion de l’Algérie à l’OMC, de la lutte contre la corruption et la bureaucratie, de l’accélération du processus des réformes économiques et, même, d’un programme spécial approvisionnement du marché national durant le mois de Ramadhan. Cela, en même temps que l’élaboration du plan quinquennal 2015-2019. 
Le gouvernement est également instruit de préparer dans les plus brefs délais le nouveau plan d’action. «Ce dossier sera de nouveau abordé dans quelques jours à l’occasion de l’étude, en Conseil des ministres, de ce projet de plan d’action que le gouvernement aura à présenter devant l’Assemblée populaire nationale puis devant le Conseil de la nation». Sellal devra en effet se présenter devant le Parlement courant ce mois de mai.

«Ouyahia mènera les consultations sur la révision de la Constitution début juin»
S’agissant de son dossier le plus immédiat, à savoir la révision de la Constitution, Bouteflika met fin au suspense. Hier,au cours du même Conseil des ministres, il a fixé les échéances du processus des consultations. Il est ainsi précisé dans le communiqué du Conseil que l’ensemble des partis politiques , des représentants de la société civile et du mouvement associatif ainsi que les personnalités nationales seront destinataires du contenu de ce que sera la nouvelle Constitution telle que proposée par le pouvoir. Ce, avant d’être ensuite conviés à des consultations à partir de début juin. 
Toute l’opération sera conduite par le ministre d’Etat, directeur de cabinet de la présidence, Ahmed Ouyahia.
K. A.

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Actualités :

Par Maâmar Farah
Feu Boussad Abdiche, le talentueux billettiste d'El Moudjahid, ne limitait pas son art au seul encadré qui faisait sa réputation auprès des lecteurs; il en usait avec subtilité dans les discussions de tous les jours. Au boulot, au café, dans les longues promenades, ou tout simplement chez lui, à Bab-El-Oued, autour d'un repas chaud, il brillait souvent par ses sorties subtiles et étonnantes. Son humour corrosif nous aidait à mieux supporter les mille et une privations d'une époque où l'argent n'allait pas aussi facilement dans les poches des importateurs.
Un jour, et alors que nous étions en train de siroter un café au «Palma», il pesta contre les pénuries ! Tu sais, me dit-il, «s'ils le pouvaient, ils nous priveraient d'air et alors on sera obligé de faire la chaîne pour acheter de l'oxygène au Souk-El-Fellah !»
Boussad, tu rigolais certes mais ta prémonition vient de se réaliser en Chine : un milliardaire y vend de l'air pur en canettes !
maamarfarah20@yahoo.fr

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Culture : 

Par Kader Bakou
Comment expliquer ces suicides par le feu, dits «immolations», dans les pays dits «arabes» et dont les habitants se considèrent pourtant musulmans ? Le suicide est interdit par l’Islam et les religions monothéistes.
Une immolation (du latin immolare «offrir un sacrifice») est à l’origine un sacrifice religieux ou encore un holocauste quand le sacrifice de l’animal est pratiqué par le feu, après immolation.
Le mot hébreu utilisé dans la Bible est «corban» et signifie une «offrande à Dieu», qui a le même sens religieux que le «qorban» mentionné dans le Coran.
Contrairement à ce que les gens pensent généralement, l'immolation peut être pratiquée par différents moyens et méthodes, autres que le feu.
Ces suicides par le feu qui défraient la chronique, pour des raisons «politiques» ou «sociales», peuvent, à la rigueur, être considérés comme des actes d’auto-immolation. Mais à la gloire de quel «dieu» ?
K. B. 
bakoukader@yahoo.fr

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Sports :

La 29e et avant-dernière journée du championnat d'Algérie de Ligue 2 professionnelle de football, prévue vendredi, s'annonce explosive et probablement décisive pour l'accession en Ligue 1, avec au programme deux chocs : USM Bel Abbès-USM Blida et ASM Oran-NA Hussein-Dey. 
Le leader, l'USMBA, qui reste sur une victoire en déplacement contre le MC Saïda (2-1) accueillera l'USM Blida avec la ferme détermination de conserver sa première place et composter officiellement son retour parmi l'élite. Les hommes d'Abdelkrim Bira qui ambitionnent de finir le championnat champions n'auront pas la mission facile contre une équipe de l'USM Blida qui jouera à fond son infime chance d'accession. 
L'équipe de la ville des Roses qui a renoué avec le succès contre le MSP Batna (0-1) est à trois longueurs du podium, à deux journées de l'épilogue, et vendra chèrement sa peau face à l'USMBA. L'autre choc de cette journée mettra aux prises le NA Hussein-dey (2e), l'équipe en forme de cette fin de saison avec son poursuivant direct l'ASM Oran. Les Oranais qui ont cédé leur seconde place à leur adversaire du jour après leur semi-échec face à l'AB Merouana (1-1) la journée précédente, sont bien décidés à s'imposer à domicile pour reprendre leur bien et assuré leur montée. Intraitables à domicile, les protégés de Kamel Mouassa devraient toutefois se méfier énormément des Sang et Or invaincus depuis plusieurs journées. L'entraîneur Younès Ifticène, un spécialiste des montées en L1, est conscient que la partie sera ardue et qu'il faudrait être costaud sur tous les plans pour revenir avec un résultat positif avant d'accueillir l'OM lors de l'ultime journée. L' O Médéa (4e) à deux longueurs du podium, est toujours en course pour la montée et jouera gros, quand elle accueillera l'AB Merouana qui a pratiquement assuré son maintien. L'équipe dirigée par Nabil Neghiz, auteur d'un succès en déplacement contre l'USM Annaba (1-0), est condamnée à vaincre son hôte tout en espérant un faux pas du trio de tête. 
Dans le bas du classement, sauf surprise de dernière minute, ce qui paraît invraisemblable, le MSP Batna (14e), l'USM Annaba (15e) et l'ES Mostaganem (16) devraient évoluer en championnat de division nationale amateur la saison prochaine. 
Le MSPB se rendra à Bou-Saâda pour affronter l'AB (8e), l'USM Annaba jouera à Oum El Bouaghi face à l'USC, tandis que la lanterne rouge l'ESM jouera pour la seconde fois de rang sur sa pelouse face au WA Tlemcen. Le CA Batna (13e) qui n'a pas encore assuré son maintien devrait profiter de la réception du MC Saïda déjà en vacances, pour finir le travail.

Start
Vendredi 9 mai (17h)
Bou-Saâda : A Bou-Saâda-MSP Batna 
Hadjout : USMM Hadjout-AS Khroub
Oum El-Bouaghi : US Chaouia-USM Annaba 
Médéa : O Médéa-AB Merouana
Oran : ASM Oran-NA Hussein-Dey
Batna : CA Batna-MC Saïda
Bel-Abbès : USM Bel-Abbès-USM Blida
Mostaganem : ES Mostaganem-WA Tlemcen.

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Sports :

Le leader du championnat professionnel de football de Ligue 1, l'USM Alger, aura besoin d'une victoire pour être sacré champion, à l'occasion de son match, samedi, face au CR Belouizdad, alors que la lutte pour une place sur le podium s'annonce acharnée, à quatre journées de la clôture de la compétition. 
Avec une avance de 11 points sur son dauphin, l'ES Sétif, le club algérois pourrait sceller le championnat ce samedi, lors de la 27e journée, et renouer ainsi avec le titre, le premier depuis 2005. 
Les joueurs d'Hubert Velud, qui restent sur un carton à domicile face au MC Oran (5-2), aborderont ce derby avec l'intention de réaliser un succès qui suffira à leur bonheur. De l'autre côté, le CRB (13e, 27 points), aura à cœur de l'emporter pour s'approcher davantage du maintien, après avoir longtemps flirté avec la relégation. Une victoire permettrait aux poulains du duo Henkouche-Yahi de souffler et de terminer le reste de la saison en toute sérénité. L'ESS (2e, 49 points) accueillera le CABB Arréridj, dans un derby des Hauts-Plateaux qui devrait, a priori, revenir aux locaux, qui veulent terminer vice-champions, d'autant qu'ils restent sous la menace de la JS Kabylie, à trois longueurs derrière. Le CABBA (15e, 20 points), battu chez lui mardi par la JSK (1-0) en mise à jour de la 26e journée, a pratiquement compromis ses chances de maintien. Le club kabyle, qui semble avoir oublié sa désillusion de la finale de la Coupe d'Algérie, a bien réagi à Bordj, et compte confirmer ce résultat lors de la réception de l'USM Harrach (4e, 43 points), à huis clos, dans un match à «six points» pour une place sur le podium. 
Outre la JSK et l'USMH, d'autres formations luttent pour la 3e et la 4e place, qualificatives aux compétitions internationales. Le MC Alger (5e, 41 points), battu à El Harrach (1-0), devra se racheter à domicile face au MO Béjaïa (11e, 28 points), pour espérer terminer la saison en beauté. Le MC El-Eulma, qui partage la 5e place avec le MCA, effectuera un déplacement à l'Arbaâ pour croiser le fer avec le RCA (8e, 39 points), dans un match a priori équilibré et ouvert à tous les pronostics. En bas du classement, le premier relégable, la JSM Béjaïa (14e, 22 points), n'aura pas droit à l'erreur à domicile face au CS Constantine (7e, 39 points), si elle ne veut pas anéantir ses derniers espoirs de maintien. La lanterne rouge, le CRB Aïn Fekroun (20 points), sera en péril à Oran face au MCO (12e, 27 points) qui ne jure que par la victoire pour s'approcher de son objectif du maintien. Enfin, le match ASO Chlef-JS Saoura opposera deux équipes qui espèrent quitter le ventre mou du classement et s'approcher des premières places.

Start
Samedi 10 mai (17h)
à Tizi-Ouzou : JS Kabylie-USM Harrach (à huis clos) 
à Sétif : ESS-CABB Arréridj 
à Oran : MCO-CRB Aïn Fekroun
à Alger 20-Août-1955 : CR Belouizdad-USM Alger 
à Larbaâ : RCA-MC El-Eulma
à Béjaïa : JSMB-CS Constantine
à Chlef : ASO-JS Saoura
à Alger Omar-Hamadi : MCA-MO Béjaïa.

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La jurisprudence Khelil, acte fondateur  de la République mafieuse !
	Par Hakim Laâlam   Email : hlaalam@gmail.com
Attaques contre Amar Saâdani. La Kasma de… … Neuilly-sur-Seine s’insurge et condamne fermement ! A ce rythme, et surtout au rythme des révélations de sites comme Mondafrique, ce ne sera plus bientôt à l’Algérie d’exiger de la France coloniale la repentance, mais bien à la France de demander à nombre de nos très hauts responsables d’exprimer leur repentir… immobilier, bancaire et hospitalier ! La liste des «heureux propriétaires des bords de Seine» s’allonge, à l’évidence. Presque autant que s’allonge et s’étire ma perplexité. On m’a toujours dit que pour occuper un poste dit «sensible» ou de «responsabilité de souveraineté», les postulants ou les postulés devaient passer au tamis d’une enquête d’habilitation. Depuis au moins l’an 1999, j’ai la très nette impression que le filet de ces enquêtes a vu ses mailles se distendre de manière notable. Voire même a enregistré des trous énormes par lesquels passent allègrement de gros poissons. Mais en même temps, faut aussi que je ne vous prenne pas pour des buses, en faisant semblant de tomber des nues face à cette passoire des enquêtes d’habilitation. En aparté, on vient de me confirmer qu’elles ont continué à être menées, consciencieusement même, mais qu’elles ont pris, au fil du temps, ce temps du châtelain, une valeur plus documentaire, plus consultative qu’exécutive. Je veux bien le croire lorsque je vois que le motif de première pollution du fleuve parisien, la Seine, n’est plus à chercher du côté des rejets opérés en amont par des usines polluantes, mais est dû à l’agglutination massive de matières hautement toxiques, nocives en provenance d’Algérie et ayant acheté balcons et dépendances aux abords de ce cours d’eau. Je veux bien le croire, surtout, au vu de ce qui constitue à mes yeux, mordicus, sans que personne n’arrive un jour à me convaincre du contraire, l’acte fondateur de l’an II de la république mafieuse : l’exfiltration de Chakib Khelil, l’ancien ministre de leur sous-sol ! A la limite, pourquoi s’offusquer comme je le fais aujourd’hui des frasques immobilières et bancaires d’un musicien raté et danseur sans grâce du ventre mou du système, lorsque j’ai été, comme vous, témoin impuissant du sauvetage hollywoodien d’un Chakib Khelil qu’ils ont embarqué dans un avion vers une longue pause judiciaire ? Y a pas de raison ! Cet épisode est un acte de piraterie d’Etat ! Il fait, si j’ose dire, jurisprudence ! L’exfiltration de Khelil permet aujourd’hui toutes les autres outrances. Dans le magma mafieux, tout le monde et n’importe qui pourra désormais faire partie des exécutifs III, IV, V et suivants. Le tabou vertueux est définitivement défloré. Sauvagement. Un viol ! Et, à la limite, il me fatigue même aujourd’hui de la jouer scandalisé en poussant des cris d’orfraie face aux parcs immobiliers des Frères militants de quelques partis présidentiels qu’ils soient. Et de quelque bord de la Seine où ils investissent, pour eux et leurs enfants héritiers, notre argent volé ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.  H. L.