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Il y a celles que la libération de la parole a permis de dénoncer plus fort les agressions dont elles sont victimes. Celles qui se retrouvent exposées à de nouveaux dangers pendant que les hommes sont mobilisés au front. Ou encore celles dont les nouveaux dirigeants aimeraient davantage contrôler les mœurs.
Une secousse tellurique de magnitude 3,6 degrés sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée vendredi à 10h 09 dans la wilaya de Béjaïa, a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG).
L'épicentre de la secousse a été localisé à 7 Km au sud-est de Béjaïa, a précisé la même source.
APS
Bou Ismaïl
le 08.03.13 | 10h00
Un prototype de drone algérien est en fabrication au Centre de soudage et de contrôle (CSC) de Bou Ismaïl, dans la wilaya de Tipasa, a-t-on constaté, hier, au cours de la visite de ce centre par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia.
Réalisé par une équipe de jeunes ingénieurs de ce centre, le drone sera opérationnel avant la fin de l’année 2013, ont annoncé des responsables du CSC au ministre au niveau de l’atelier de développement d’un système avionique avec des matériaux entièrement algériens. L’idée de ce prototype d’avion sans pilote a été lancée en 2010 lors de la visite du président de la République à l’université de Ouargla. Elle s’est ensuite poursuivie par la réalisation des divers matériaux et équipements au niveau du centre de soudage et contrôle de Bou Ismail grâce à une équipe d’ingénieurs chevronnés qui ont travaillé sur une base de données de 1050 drones, a-t-on indiqué.
En se référant à la loi 06/01 sur la corruption, Chakib Khelil et consorts risquent gros dans l’affaire Sonatrach. Selon l'article 27 relatif aux marchés publics, il peut écoper d'une peine allant jusqu'à 20 ans de prison. En touchant à la mamelle des Algériens, il a porté un très grave préjudice, qui est à la fois financier, éthique, moral et de souveraineté sans oublier qu’en favorisant des sociétés étrangères dans l’octroi de contrats à coups de pots-de-vin, il n’a pas veillé ...Suite
En se référant à la loi 06/01 sur la corruption, Chakib Khelil et consorts risquent gros dans l’affaire Sonatrach. Selon l'article 27 relatif aux marchés publics, il peut écoper d'une peine allant jusqu'à 20 ans de prison.
Fin de calvaire pour les étudiants de l’ISMAS. Ils ont décidé de mettre fin à leur grève de la faim entamée depuis près de deux semaines après un accord conclu avec la tutelle. Jeudi, une commission de travail mixte (étudiants- ministère de la Culture) a été mise en place pour trouver des solutions aux revendications des étudiants. Les travaux de la commission devront être finalisés dans un délai ne dépassant pas un mois. L’ISMAS ouvrira de nouveau ses portes demain.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - La mobilisation des étudiants de l’Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l’audiovisuel (ISMAS) a visiblement réussi à faire reculer Khalida Toumi qui a décidé de la levée de l’instruction du gel des activités pédagogiques à l’institut. La ministre de la Culture, n’approuvant pas la colère des étudiants ayant déclenché un mouvement de protestation le 24 février passé pour demander des conditions de travail convenables et une équivalence à leur diplôme, a tout de suite réagi en décidant de la fermeture de l’institut et ordonnant aux étudiants d’évacuer les lieux le 27 février dernier. Les grévistes font alors fi de cette décision et décident de squatter les lieux. L’affaire a été portée en justice qui, le 4 mars dernier, tout en déclarant la grève des étudiants légale, a ordonné aux étudiants, sur instruction du ministère de la Culture, de vider l’école. Encore une fois, les grévistes tiennent tête et, sous prétexte que la décision ne leur a pas été notifiée, ils ont refusé de libérer les lieux. Une détermination qui a payé, puisque le ministère de la Culture cède et décide d’ouvrir les portes du dialogue, deux semaines après le déclenchement de ce mouvement de protestation. Jeudi dernier, une délégation ministérielle s’est déplacée à l’institut et «un accord a été trouvé entre les étudiants de l'ISMAS et le ministère de la Culture afin de suspendre la grève et de désigner un comité composé de représentants des étudiants de l'ISMAS et des représentants du ministère de la Culture dans le but d'œuvrer à l’application de la plate-forme de revendications soulevées par les grévistes». Ali Mizi, porte-parole des étudiants de l’ISMAS, a expliqué que «pour montrer notre volonté à dialoguer, nous avons décidé de mettre fin à notre grève de la faim. Jeudi, nous avons reçu une délégation ministérielle avec laquelle il a été conclu la mise en place d’une commission mixte qui veillera à l’application de notre plate-forme de revendications ». L’étudiant a expliqué que la commission se penchera sur la principale revendication, à savoir la question du diplôme. «Une formule sera trouvée pour élever le niveau du diplôme actuel à un niveau équivalent à la licence et sera soumis au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, ceci dans un délai ne dépassant pas un mois», at- il encore expliqué. En ce qui concerne les trois autres ateliers (formation et encadrement pédagogique, matériel et moyen pédagogique et la vie culturelle et sociale), poursuitil, la commission a décidé d'étudier leur mise en application la semaine prochaine, soit dès lundi. Les cours reprendront, demain dimanche, à l’ISMAS. Cependant, le retour à la protestation n’est pas exclu, avertissent les étudiants qui soulignent que «tout dépendra de la tournure que prendra le travail de cette commission ». S. A.
Par Maâmar Farah Va dire à la femme de ménage qui essaye depuis l'aurore de mettre un peu d'ordre dans cette salle des fêtes transformée en bergerie et dans ce bureau sens dessus-dessous, elle qui s'est levée avec sa ménopause, sa laideur, son stress et son lombago, va lui dire «bonne fête, madame !», toi, le ministre, la secrétaire d'Etat, le P-dg, le proviseur ou, simplement, le chef du personnel ! Les prémices du printemps étaient bien là, l'amour aussi ; les roses ont surfé sur les vagues des «je t'aime !» et «je t'adore !», les chanteurs et les chanteuses ont bien chanté et les nuages se sont inclinés devant le roi soleil. Le 8 Mars peut retourner dans sa crypte, froide et triste ; les ouvriers du château ont fermé la lourde porte et le chef du protocole a apposé un scellé inviolable ! Retournez à vos misères, à vos maigres pensions de divorcées répudiées, à vos petits droits, à votre rôle de mineure... Retournez à votre statut d'être inférieur. Le 8 Mars 2014, le chef du protocole sera au rendez-vous pour ouvrir la porte de la fête. Mais le soleil, sera-t-il au rendez-vous ? maamarfarah20@yahoo.fr «Hier, j'ai dansé et chanté et j'ai même jeté un gobelet de café sur le chignon de Sihem Lavabo. Et ce n'est pas fini, moi, les nanas qui veulent occuper la deuxième page de mon livret de famille, je les maquille à ma manière... J'ouvrirais même un institut d'inesthétique !» (Tata Aldjia)
Les rencontres des quarts de finale de la Coupe d'Algérie de football, prévues les 28, 29 et 30 mars, s'annoncent «chaudes et équilibrées» entre des équipes aguerries à cette compétition populaire. Sept des huit équipes encore en lice, dont le détenteur l’ES Sétif (8 coupes), ont, en effet, déjà remporté la coupe d'Algérie. Seul le CS Constantine n'a pas encore inscrit son nom au palmarès de cette épreuve. L'Entente de Sétif, avec ses huit coupes en autant de finales, rencontrera un autre spécialiste de l'épreuve, le CR Belouizdad, finaliste malheureux de la dernière édition et détenteur de six titres sur neuf finales jouées. Après avoir fait un grand pas vers la conservation de son titre de champion, l'équipe phare des Hauts-Plateaux veut se consacrer désormais à la Coupe d'Algérie, dont il est le détenteur et l'un des spécialistes de l'épreuve populaire. De son côté, le MC Alger, dont le dernier trophée remonte à 2007, sera opposé au CS Constantine, qui cherche toujours à graver son nom sur les tablettes de la coupe d'Algérie. L'autre affiche de ces quarts de finale de Dame Coupe opposera l'USM Alger, détenteur de sept coupes d'Algérie, au NA Hussein Dey, seul club représentant la Ligue 2 professionnelle La quatrième affiche de ce tour opposera, dans un derby de l'Ouest, le WA Tlemcen au MC Oran, deux équipes à la peine en championnat de Ligue 1. Le MC Oran (4 coupes), mal classé en championnat (13e), accueillera la formation tlemcenienne (2 coupes) qui aspire, pour sa part, à continuer son bonhomme de chemin en Coupe, en dépit de la difficulté de la tâche.
«La DTN sera ma priorité et au centre de mon travail lors des quatre prochaines années de mon mandat. Il faut agir à la base pour assurer une formation de qualité aux jeunes de demain. Nous devons assurer la relève, pas seulement dans les clubs, mais aussi dans les ligues et les fédérations pour permettre à de jeunes universitaires et de jeunes cadres de prendre nos places et continuer de gérer le football national dans les meilleures conditions», a fait savoir le candidat-élu. Raouraoua, certainement outré par les déclarations de ceux qui pensent que le «salut du football» passera par un retour aux sources, la formation des jeunes du crû, assurera qu’il persistera dans sa «politique» d’importer des joueurs d’origine algérienne formés dans les centres de formation français. «Tant que nous n'aurons pas de centres de formation et que nos clubs ne forment pas de bons joueurs à 100% Algériens», a-t-il confié feignant ignorer que la «politique» de formation au niveau des clubs est le prolongement de celle d’une fédération qui n’a d’yeux que pour les «A». Raouraoua est convaincu que l’avenir du football algérien passe par cette imparable parade du tout import. Il certifiera sa thèse par un consensus trouvé au sein même du corps des entraîneurs et des formateurs. «A la FAF et en concertation avec les différents entraîneurs, nous sommes quotidiennement en quête de nouveaux talents pour renforcer nos équipes nationales. Nous suivons ce qui se passe en Algérie et à l'étranger, et ce, dans toutes les catégories. La sélection des U-20, qui s'apprête à disputer le championnat d'Afrique de la catégorie, compte d'ailleurs sept joueurs évoluant en Europe», affirmera le boss de la FAF qui annoncera que son instance s’attèlera durant le prochain mandat à former 2 à 3 000 arbitres et 300 formateurs spécialisés de football lesquels seront versés dans les 32 centres en construction, sur le budget de l’Etat. L’objectif de ce plan d’actions est de pérenniser la présence de notre sélection A(les autres peuvent attendre) lors des prochaines échéances internationales. «Nous devons avoir un réservoir de qualité pour préparer les équipes nationales aux prochaines échéances, notamment les Mondiaux 2014 et 2018 car nous avons rajeuni l'équipe nationale qui est en mesure maintenant de jouer deux coupes du Monde et plusieurs coupes d'Afrique de suite», estime le premier responsable du football national. Le professionnalisme est à faire Mohamed Raouraoua qui veut donner de nouveaux moyens pour réussir son prochain pari avouera que «son» projet de développer le football, a besoin de temps et qu’il compte, pour ce faire, sur les prochaines acquisitions infrastructurelles. «Nous devons achever la construction de toutes les infrastructures en chantier. Nous ambitionnons aussi de construire un centre médical de très haut niveau, en attendant de concrétiser un programme ambitieux avec le ministère de la Jeunesse et des Sports pour la construction de centres techniques régionaux et un centre technique national à Bouinan, sans oublier un hôtel cinq étoiles au siège de la FAF», a expliqué le patron de la FAF. Du temps, c’est ce que le dossier du professionnalisme a également besoin. Raouraoua qui ne veut pas parler d’échec, charge les clubs qui, à ses yeux, sont responsables des lenteurs connues par l’instauration d’un véritable professionnalisme dans le football algérien. Sèchement, Raouraoua qui n’est pas à sa première engueulade envers les clubs des L1 et 2 estimera que «des clubs vont passer, d’autres jamais». Des clubs qui ont tout de même accepté de lui renouveler leur confiance pour les quatre prochaines années «et plus si nécessaire», comme l’a confié l’un d’entre eux à la fin des travaux de l’AGE… M. B.
La 23e journée du championnat de Ligue 1, engagée hier par le choc JSMB-ESS, se poursuivra cet après-midi avec le déroulement d’un certain nombre d’affiches. A savoir deux derbies, l’un au sommet (USMA-USMH) et le second concernant les équipes en quête de survie, deux classiques CSC-MCA et JSK-CRB), sans oublier le match-couperet entre l’USMBA et le CABBA, ou bien les inédits MCO-MCEE et JSS-CAB.
Besoin d’un plombier, de louer une voiture, de réparer un chauffage, d’acheter des matériaux de construction, de changer de serrure, de dénicher une chambre d’hôtel…? A qui s’adresser ? Un rapide coup d’œil à L’Annuaire des entreprises, et les coordonnées sont là, à portée de main, par ordre alphabétique. Cerise sur le gâteau : les pages centrales de cet ouvrage nous offrent une belle balade à Wahran el Bahia et ses environs : Tlemcen, Mostaganem, Sidi Bel Abbes, Aïn Témouchent.
Ça y est ! L’annuaire des professionnels 2013, spécifique à la région ouest, vient de sortir. Publié par les Pages Maghreb , il offre aux professionnels ainsi qu’aux particuliers un répertoire complet des bonnes adresses, contacts et numéros de téléphone à avoir sous la main en cas de besoin. Banques, hôpitaux, automobiles, cliniques, agences immobilières, hôtels, sociétés de gardiennage…, une mine d’informations pratiques et utiles. Besoin d’un plombier, de louer une voiture, de réparer un chauffage, d’acheter des matériaux de construction, de changer de serrure, de dénicher une chambre d’hôtel…? A qui s’adresser ? Un rapide coup d’œil à L’Annuaire des entreprises, et les coordonnées sont là, à portée de main, par ordre alphabétique. Cerise sur le gâteau : les pages centrales de cet ouvrage nous offrent une belle balade à Wahran el Bahia et ses environs Tlemcen, Mostaganem, Sidi Bel Abbes, Aïn Témouchent… L’aspect culturel de l'Algérie n’est pas en reste : musique, art culinaire et costumes traditionnels féminins se déclinent à travers plusieurs pages. Sabrinal L’Annuaire des entreprises région ouest). Les Pages Maghreb. Edition 2013. 540 P.
Les 2es Journées du film jordanien en Algérie sont programmées à partir du 13 mars à travers le réseau de la Cinémathèque algérienne, annoncent les organisateurs. Ces 2es Journées sont organisées par l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et la Royal Film Commission de Jordanie (RFC) en partenariat avec la Cinémathèque algérienne. Les œuvres d'un film documentaire et deux longs métrages de fiction, réalisés par de jeunes cinéastes débutants, seront projetées pour la première fois à Alger les 13 et 15 mars. Le dernier vendredi (2010), long métrage de Yahia Al Abdallah, Oncle Nashaat (2011), film documentaire de Aseel Mansour et 7 heures de décalage (2012), long métrage de Deema Amr, seront projetés durant ces deux jours. Les courts métrages Le boxeur est mort de Naji Abu Nowar et Talons aiguillesde Fadi Haddad, ainsi que les longs métrages Captain Abu Raed de Amin Matalqa et Villes Transitde Mohamed Hushki, avaient été projetés à Alger aux 1res Journées du film jordanien de 2012.
Avec un aussi beau sourire, c’est tout de même pas la mer à boire !
Farid Bedjaoui aurait investi une partie de sa fortune dans des vignobles. Finalement, au fond, ça doit être…
… un bon gars
Je ne le connais pas personnellement. Mais de prime abord, je lui trouve une tête plutôt sympa sur les photos diffusées par la presse. Par exemple, lui sourit. Vous prenez d’autres ministres, d’autres responsables du pays, ils font la gueule tout le temps. Pour ne citer que Ziari. Là, j’ai sous les yeux un cliché illustrant un papier sur sa candidature à la succession de Belkhadem à la tête du FLN, eh bien le gars tire la tronche. M’enfin ! Tu es candidat, c’est une bonne nouvelle, souris au moins ! Mais bon, le sujet, ce n’est pas la tête à Ziari mais plutôt celle du ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi. Réellement, il a la bobine du mec franc du collier. Tu irais taquiner le gardon en sa compagnie sans aucun problème. Sauf qu’il n’y a pas de rivière à gardons en Algérie. Par contre, il y a de la sardine ! Et hier vendredi, sur un marché de l’Algérois, un marché à proximité de la mer, à quelques mètres seulement pour tout vous dire de la mer et d’un port de pêche, j’ai acheté de la sardine à 400 dinars le kilo. Pourquoi je vous raconte mes courses à écailles ? D’abord, parce que c’est tout de même 400 dinars pour une poignée de sardines vachement malheureuses et flétries au fond du sachet dans lequel elles m’ont été servies. Ensuite, il se trouve que j’aime la sardine. Oui ! J’adore la sardine. Et un ami, sachant cela, me racontait hier toujours, vendredi — une journée durant laquelle la sardine est décidément au centre de ma vie — qu’il était en mission de travail en Tunisie, la semaine d’avant. Et là, en Tunisie, plus précisément dans la région de Mahdia, il a acheté de la sardine à un dinar tunisien le kilo. Un dinar tunisien, c’est l’équivalent de 50 dinars algériens. Cet ami a tenu à me préciser, par ailleurs, que tous les autres produits de large consommation ont flambé de prix en Tunisie, depuis notamment les événements, mais la sardine, elle, est restée bon marché. Alors voilà ! J’en viens à notre nouveau ministre de la pêche et du poisson. A un visage aussi avenant, aussi souriant et ouvert, je n’ai qu’une question à poser : peut-on un instant laisser de côté le discours savant sur la protection de nos ressources halieutiques, l’injection de nouvelles capacités techniques et matérielles de pêche, l’encouragement tous azimuts des jeunes entreprises d’élevage et autres beaux projets qui sentent la crevette royale tous les midis sur nos tables, et exiger ceci de tout bon ministre efficace et souriant : de la sardine à 50 dinars régulièrement, ou presque. Juste cela, loin du blabla et des théories… vaseuses. C’est un challenge pour un ministre. Venir à la rescousse des petites bourses et enfin redonner un sens à l’expression, hélas aujourd’hui incompréhensible, «sardine = viande du pauvre». Un ministre comme le nôtre, avec un aussi beau sourire, doit pouvoir relever ce genre de défis. Sinon, c’est moi qui finirais par tirer une tête à la Ziari ! Tout en fumant du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue. H. L.
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Selon le procureur général de la Cour d’Alger, Belkacem Zeghmati
«Cadence accélérée» pour l’affaire Sonatrach 2
08-03-2013
Photo : M. Hacène
Par Amirouche Yazid
Au centre des débats depuis son éclatement au grand jour dans les médias, l’affaire Sonatrach 2 est appelée à connaître «une cadence accélérée», selon le procureur général de la Cour d’Alger, Belkacem Zeghmati. Cette accélération dans le traitement judicaire de l’affaire, qui a éclaboussé des figures du pouvoir comme elle a choqué des pans entiers de citoyens, dépend des résultats auxquels parviendront les commissions rogatoires internationales lancées par la justice algérienne.
Pour le procureur général, «l’information judiciaire connaîtra, sans nul doute, une cadence accélérée dès réception des résultats des commissions rogatoires internationales par le juge d’instruction et la convocation ou l’émission de mandats de justice à l’encontre de
Au centre des débats depuis son éclatement au grand jour dans les médias, l’affaire Sonatrach 2 est appelée à connaître «une cadence accélérée», selon le procureur général de la Cour d’Alger, Belkacem Zeghmati. Cette accélération dans le traitement judicaire de l’affaire, qui a éclaboussé des figures du pouvoir comme elle a choqué des pans entiers de citoyens, dépend des résultats auxquels parviendront les commissions rogatoires internationales lancées par la justice algérienne....
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahmani Après bien des conciliabules, des tractations et des promesses en coulisses, le bureau du syndicat d’entreprise du complexe sidérurgique ArcelorMittal ...
Par Bahia AlioucheLes projets industriels initiés par le ministère de la Défense nationale (MDN) en partenariat international ont été, jeudi dernier, au cœur des discutions ...
Par Ziad Abdelhadi Il a été enregistré ces deux dernières années beaucoup d’investissement dans le secteur de l’industrie mais celui portant sur la réalisation d’une aciérie ...
Par Amar Rafa L’Alliance de l’Algérie verte a fêté jeudi dernier son premier anniversaire. Cette alliance créée le 7 mars de l’année dernière, par les ...
Un incendie s’est déclaré mercredi dernier, en début d’après-midi, dans l’un des dépôts d’une société sud-coréenne sous-traitante du Groupe Samsung en charge de la réhabilitation de la raffinerie....
Des centaines de personnes ont marché, jeudi matin, à Aït Douala, à une quinzaine de kilomètres de Tizi Ouzou, pour demander la libération de Laceuk Ali, un jeune originaire du village Tala Khelil, commune d’Aït Douala, disparu depuis le 23 février dernier....
De notre envoyé spécial à Hassi Messaoud Smaïl Boughazi Le groupe public Fondal s’apprête à intégrer le réseau de sous-traitance du projet Renault. «On a une fonderie ...
Pour Rachid Benaissa, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, la valorisation des ressources génétiques est l’ «une des questions centrales de la sécurité alimentaire»....
Pour le développement du partenariat algéro-suédois dans le domaine de la santé Le développement des relations algéro-suédoises dans le domaine de la santé a été, jeudi ...
Par Samira Imadalou Figure emblématique du socialisme, des nationalisations et des contrôles de l’Etat sur l’économie, Hugo Chavez a laissé derrière lui un pays fortement dépendant ...
Hugo Chavez est mort. Celui qui a symbolisé la révolution bolivarienne et la lutte des peuples pour leur émancipation d’un ordre néolibéral injuste, est décédé à Caracas à 58 ans. Accusé de «populisme» par les Occidentaux et leurs redoutables machines médiatiques, Chavez était populaire et pas seulement dans son pays, le Venezuela. Dans un monde arabe où les dirigeants cultivaient la poltronnerie envers Washington et les capitales occidentales, il était «un Homme» selon la formule populaire en Algérie et ailleurs....
Par Bahia Aliouche L’arrêt, pour le dixième jour consécutif, de la production à la cimenterie Lafarge de Hammam Dhalaâ (M’sila), occasionne, selon le président de la ...
De notre envoyé spécial à Hassi Messaoud Smaïl Boughazi La Compagnie d’assurance des hydrocarbures Cash devrait lancer sa filiale assurance personnes avant la fin de l’année ...
Par Ziad Abdelhadi De par le nombre de salons qui se tiennent tout au long de l’année et entièrement consacrés à l’industrie agro alimentaire nationale, on ...
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahmani Deux (02) sacs en plastique soigneusement emballés et contenant 47 kilos de kif traité, ont été découverts il y ...
Par Salah Benreguia L’opérateur public de téléphonie mobile, Mobilis, a affiché, en 2012, un bénéfice net de plus de 12 milliards de dinars (plus d
L'Évènement
De notre envoyé spécial à Annaba
Amine Echikr
Bien que l’aéroport d’Annaba soit fermé, c’est en Premier ministre décidé à lancer un maximum de chantiers qui s’est déplacé, jeudi, dans cette wilaya de l’est du pays. Une visite d’inspection et de travail qu’affectionne particulièrement Abdelmalek Sellal en homme de terrain et de dossiers. Inspection de divers chantiers, éradication des marchés informels et contact avec la population étaient à l’ordre du jour.
Un mégaprojet doit être lancé au niveau de Draâ Errich. Il s’agit d’une nouvelle ville dotée de 50 mille logements et des infrastructures de base qui sont nécessaires à la vie et aux commodités des futurs habitants. A la présentation du master-plan, il était clair que quelque chose devait manquer. Le projet ayant été initié par la direction de l’urbanisme et de la construction, la vision de la future ville était plus pensée en matière de construction de logements que d’une ville «complète». Le ministre de l’Habitat et la ministre de la Culture avaient des avis divergents sur la place
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